Les histoires très courtes

La valse cauchemardesque


Je souffre...
J'ai si mal...
Mes yeux sont remplis de larmes...
Mes mains sont tachées de sang...
Qu'ai-je fait ?
Ce corps par terre...
NON !!!
Ca ne peut pas être lui, ce n'est pas possible...

Crayonne se réveilla en sueur. Son coeur battait à tout rompre. Elle se leva et s'approcha de la fenêtre sur la pointe des pieds. Il ne fallait pas réveiller les autres, car demain serait le grand jour. Le ciel était remplis d'étoiles, la lune était pleine, et Crayonne se demandait si Sano regardait le même ciel.
Sano...
Son coeur se serra dans sa poitrine. Eprouvait-elle encore des sentiments envers lui ? Tout se mélangea dans son ésprit... Ses souvenirs, le temps passer avec lui... N'avait-elle pas décider de tout renier lorsqu'elle l'avait rejoint ?
La confrérie des sorciers maléfiques...

Il ne dormait pas, il regardait le ciel lui aussi, et ressassait son passé... Il entendait Pini ronfler bruillamment. Son coeur briser lui faisait atrocement mal. Il redoutait l'instant ou elle se trouverait face à lui.
Pourquoi ?
Pourquoi avait-elle fait cela ?
Pourquoi était-elle partie ?
Pourquoi avait-elle elle renoncer ?
Tant de question qui ne trouveraient sans doute jamais de réponses...
Mais il sentait que cet instant se raprochait, qu'il était imminant. Mais est ce que Sano aurait le courage de se battre contre Crayonne ?

Le soleil était déjà haut dans le ciel quand la bataille commença. De tout côté, ce ne fut que cris, hurlements et pleurs...
Sano la retrouva.
Elle se tenait derrière Pini, qui n'avait pas sentit sa présence, et avant que Sano n'ait pu prévenir son meilleur ami, elle le fit disparaître...

Crayonne sentit son coeur battre la chamade. Elle savait qu'elle l'aimait encore, mais les ordres de ses supérieurs étaient clairs : elle devait le supprimer. Elle avança vers lui, le tenant en joue avec sa baguette.
"Crayonne..."
"Ta dernière heure est arrivée Rotter..."
"Crayonne... Ecoute moi..."
"C'est trop tard... Tout sera fini dans quelques instants..."
Sano s'avança vers Crayonne. Elle commencait à trembler de tout ses membres, ses sentiments mélées ne lui permaittaient pas d'agir tout de suite. Sano se trouvait face à elle à présent.

"Je t'aime..."
Sano la prit dans ses bras et la serra contre lui. Des larmes coulaient le long de ses joues. La réspiration de la jeune fille s'accélera, elle ne savait plus à quel saint se vouer.
"Je t'aime ma p'tite Cray'... Peut importe tout ce que tu as pu faire jusqu'ici..."
Crayonne le repoussa violement et le remit en joue avec sa baguette.
"Tais toi... Je t'en supplie, tais toi..."
Elle aussi était en larmes à présent. Elle l'aimait toujours, elle l'aimerai toujours...

Doll vit Crayonne en tentant de rejoindre Sano. Elle s'avança, doucement, préparant son sortilège.
Car Doll ne lui pardonnait pas sa trahison.

Crayonne sentit une douleur fulgurante lui traversé le corps. Elle avait l'impression que tout se passait au ralentit. Elle tomba sur le sol, face au ciel. Au loin, le soleil se couchait doucement, les premières étoiles étaient apparues. Elle avait froid, et ce, malgrès les bras de Sano qui la soutenait. Il pleurait, elle ne comprenait pas pourquoi. Elle tendit sa main et lui caressa la joue. Sano avait l'air plus perdu que jamais. Elle ne pouvait pas le laisser seul dans cet état, elle ne voulait pas... Mais ses yeux se fermaient contre son grès, son souffle s'arrêta doucement. Et Sano se mit à hurler.

Je souffre...
J'ai si mal...
Mes yeux sont remplis de larmes...
Mes mains sont tachées de sang...
Qu'ai-je fait ?
Ce corps par terre...
NON !!!
Ca ne peut pas être toi, ce n'est pas possible...

Crayonne se réveilla en sueur. Son coeur battait à tout rompre. Elle se leva et s'approcha de la fenêtre sur la pointe des pieds. Il ne fallait pas réveiller les autres, car demain serait le grand jour. Le ciel était remplis d'étoiles, la lune était pleine, et Crayonne se demandait si Sano réussirait l'examen de demain...

Une valse cauchemardesque s'était offerte à la jeune fille cette nuit, et elle pria secrêtement pour qu'elle n'ait jamais lieu...

~FIN~

Chocolats ensorcellés !!!


Boudebar, salle commune de sakédor.
Demain, ce serait la st valentin. Et Crayonne se demandait ce qu'elle allait bien pouvoir offrir à Sano.
Doll : Pourquoi pas des chocolats ? Tout le monde aime le chocolat ! Surtout moi !
Alors Crayonne se décida à suivre ses conseils. La nuit venue, lorsque tout Boudebar s'endormit, elle se faufilla dans les cuisines. Personne en vue...
Crayonne : Bon... Ca ne doit pas être bien compliquer de faire des chocolats... Il suffit juste que je trouve un livre avec une bonne recette...
Oui, euh, comment dire, Crayonne n'était vraiment pas douée en cuisine V_V;
Alors elle s'attella à la tache, fouillant partout dans la cuisine à la recherche des ingrédients et mettant un bazare pas possible dans la salle. Enfin, au petit matin, elle avait fini.
Crayonne (toute fière d'elle) : J'ai enfin réussi ! Et sans faire exploser la cuisine ! J'en ai fait un peu beaucoup quand même... Bah j'en donnerais aussi à Doll et à Pini ^^...
Quelques heures plus tard, c'est avec des cernes sous les yeux que Crayonne offrit ses chocolats à l'amour de sa vie.

Et c'est alors que tout commenca...

Sano, Pini, et Doll mangèrent des chocolats.

Quelques instants plus tard, Doll se mit à courrir partout en riant à gorge déployée, ce qui n'était pas habituel. Pini grognait et menaçait quiquonque s'approchait de lui. Quand à Sano, il dansait et chantait des airs de beuveries tels que "viens boire un ptit coup à la maison", "du rhum, des femmes" et consorts. Alors Crayonne se dit que quelque chose n'allait pas avec ses chocolats. Le livre de recette d'hier n'en était peut être pas un. Elle déscendit à la cuisine, rencontrant en chemin un Loico en train de se faire tabasser par un Pini fou de rage. Et effectivement, le titre du fameux livre de recette n'était autre que "1001 recttes pour s'amuser" aux éditions farce et attrappe. En lisant de plus près la rectte, Crayonne poussa un soupir de soulagement : les effets des chocolats se dissiperont dans une heure.

Le soir même, Crayonne s'excusa auprès de ses amis. Seul Pini était satisfait des effets du chocolats et voulait en reprendre. ^^;

Le lendemain matin, Crayonne reçut une lettre de Bélial.

"Miss Crayonne Badranger,
Je vous écrit cette missive pour savoir si vous seriez prête à refaire vos chocolats ensorcellés pour le banquet de fin d'année. J'ai hate de voir les différentes préstations des élèves.

Bélial Lindanagall"

Joyeux Noël à Boudebar

La neige tombait doucement en cette fin du mois de décembre. Ce soir c'était noël, et elle ne serait pas à ses côtés... Sano soupira. Comme chaque année, Crayonne était partie passez les vacances de noël chez ses parents. Il se retourna et observa les autres élèves qui, comme lui, étaient restés à Boudebar. C'est là qu'il vit Pini se casser la figure et retomber lourdement sur le sol en tentant d'accrocher une étoile sur le gigentesque sapin qui trônait au milieu de la salle des banquets. Habituelement, Sano se serait gentiment moqué de lui, ou aurait ésquissé au moins un sourire. Mais non. Rien ne parut sur le visage sombre de tristesse.
"Tu pourrais faire un effort au moins !"
Sano se tourna vers Doll qui venait d'arriver. Elle continua :
"Tu devrais t'amuser au lieu de te morfondre dans ton coin comme un gamin malheureux. Crayonne n'est pas là, certe, mais ce n'est pas une raison. Ce n'est pas comme si elle avait été enlevée, si elle s'était enfuit ou tout autre choses... "
"Tu peux pas comprendre Doll..."
Il lança un soupir à faire fendre une âme. La jeune fille s'énerva.
"Hé bien fait comme tu l'entends !!! Mais ne viens pas te plaindre après éspèce d'idiot !!!"
Elle repartie furax.

La fête de Noël allait bientôt commencer. Tout les préparatifs étaient arrivés à terme. Tout les élèves étaient réunis dans la grande salle. Tous ? Non ! Un irreductible s'était réfugié dans le dortoir et se morfondait sur lui même. Cet irreductible, c'était Sano... Mais laissons le se morfondre tout seul dans son coin...
Dans la salle des banquets, Teubé et Saké n'avaient pas attendu le début de la fête pour se saouler au saké. Du coup, Bélial leur avait lancé un sort qui devait les rendre sobres pour la soirée... Après cet incident mineur, le professeur de défense contre les forces du bien se leva et demanda l'attention de tous.
"Bien... Ce soir c'est Nöel, et vous savez à quel point je déteste cette fête... Enfin, je la déteste moins quand je reçoit quelques présents de valeurs... Bon, bref. Ce soir c'est nöel. Et comme c'est nöel, j'ai décidé, moi, personnellement moi même, de dépécher la gagnante du karaoké qui a eut lieu à Halloween pour vous chanté une petite chanson de nöel avant de vous jeter sur la nourriture qui est étalé devant vous..."
Et lorsque Bélial eut finit sa phrase, Crayonne apparut dans l'encadrement de la grande porte. Elle s'avança jusqu'au centre de la pièce et commença a chanter.

"Noël ensemble
Passer Noël ensemble
Noël ensemble
Passer Noël ensemble
Noël ensemble"

"Oublier les frontières
Dépasser nos querelles
Ce soir nous rassemble
Refuser d'être seul
Revenir à l'enfance
Et pouvoir rêver
D'un sapin qui touche le ciel
De former une guirlande
Et quand tout n'est qu'étincelle
Qu'une étoile nous attende"

Tout le monde écoutait. Pas un seul bruit, pas une seule mouche ne se fit entendre. Elle la voix de la jeune fille emplissait l'atmosphère du château...

"Noël
Ensemble
Passer Noël ensemble
Noël, Noël
Ensemble
Passer Noël ensemble"

"A la lumière du jour
Et contre le silence
Qui nous entoure
Laisser faire la magie
Des flocons de lumière
Et les regards remplis de soleil
Quand les nuits se ressemblent
D'un mot une prière
Faire que nos mains se tendent"

Du fond du dortoir, Sano entendit la petite voix s'insinuer dans son ésprit. Alors il murmura le nom de Crayonne.

"Noël
Ensemble
Passer Noël ensemble
Noël
Ensemble
Passer Noël ensemble
Noël ensemble
Noël ensemble"

Il se releva et décendit les escaliers quatres par quatres.

"Et se promettre un rendez-vous
Chaque année en décembre
On sait pourquoi on court
Quand on cherche l'amour
Quand on cherche l'amour"

Et lorsque Sano ouvrit la porte, il la vit. Elle était devant lui. Et elle finissait sa chanson.

"Noël, Noël
Ensemble
Passer Noël ensemble
Noël ensemble
Noël
Ensemble "

Tout le monde se leva pour l'applaudir. Sano s'approcha d'elle. Alors elle se tourna vers lui, l'embrassa sur la joue et lui murmura :
"Joyeux nöel Sano..."

meuh ce que c'est mignoon
juste une question, la chanson elle est de toi? parceque ça me dis quelquechose
jsuis contente parceque jme demandais si tu allais faire une tite histoire pour noel et c'est le cas! youpi!!

Répond avec du retard :
La chanson n'est pas de moi. Je l'ai trouvé sur le net en surfant et je l'ai trouvée tellement mignonne qu'il fallait que je fasse une fic avec.

Heureuse que cela t'es plus ma chtite Fio. Et toi ? Tu en fera une dis dis dis ???

hum faudrai que je finisse les ensorcelés quand même >__<
mais un truc que j'aimerai bien: essayer d'imaginer un truc entre teubé et fiona histoire de pouvoir faire des bisous à la prochaine soirée sano rotter quoi LOL (quand même une fic là-dessus ça pourrait être rigolo)

Oh oh oh, des cadeaux des cadeaux!!!
C'est bien une petite fanfic toute chou pour noël ça.
Bon la suite des ensorcelées à lire moi... dur les fêtes pas le temps pas le temps!!

C'est tout meugnon tout ça dis-moi ^^

J'adore !! et pis, oui, une fic avec Teubé et Fio because je veux abso-lu-ment voir à quoi peut bien ressembler un rendez-vous avec Teubé lol

Un rendez vous entre fio et teubé?
bah à titre d'exemple, là on vient de mater charlie et la chocolaterie et comme j'avais chaud, j'ai enlevé ma chemise et je suis partie dans une danse à la chip'n dale debout sur le canapé en hexibant mes fesses à la face de Fio. (fesses-à-la-face-de-fio quelle jolie phrase)

C'est vrai ça !!!!
Je veux un texte, m'en fiche qu'il soit court ou long, sur la rencontre entre Teubé et Fio !!!

En plus, cela me permettrai de l'inclure dans ma story...

bah aller, planchons sur une idée de texte sur ce sujet.
sinon l'anecdote est véridique looooooooooooooool XD quel homme

Une petite histoire de Saint Valentin.
Elle se situe entre les chapitres 15 et 16 du volume 4.

ETRANGE SAINT VALENTIN

"Jours après jours, semaines après semaines Elle me haïssait.
Mais moi je l'aimais..."


Il était vingt heures trente.
Crayonne rangea ses affaires dans son sac, sortit de la bibliothèque où elle passait le plus clair de son temps dernièrement, et prit le chemin de la salle commune de Sakédor.
Il faisait encore froid en cette mi-février, et elle regretta de ne pas avoir mis de cape. C'est au détour d'un couloir qu'elle l'apperçu.

Ce matin même...
« Joyeuse Saint Valentin ! » Murmura une Crayonne toute souriante. Sano la fixa, quelques secondes avant de grogner sous les regards étonnés de Pini, Doll et quelques autres Sakédor.
Sano se fichait bien que cela soit la Saint Valentin. Il s’assit. Il ne pensait qu’à une seule chose: se préparer pour pouvoir faire face à ses nouveaux ennemis.
Concentré sur des « plans de batailles », il ne vit pas l’excitation monter chez les Sakédors, mais aussi dans les autres Maisons.
Réglés comme du papier à musique, les créatures magiques entrèrent dans la Grande Salle, déversant leur flot de lettres et de paquets. Sano leva distraitement les yeux pour voir un tas de cartes devant l’assiette d’un Malofoy fier comme un paon.
Crayonne boudait silencieusement.

Elle avait passé pratiquement toute sa journée à la bibliothèque. Et le temps s'était écoulé sans qu'elle ne s'en apperçu vraiment, laissant tomber ce qui devait être une journée "en amoureux" pour une journée d'étude tout ce qu'il y avait de plus banal...
A cette heure ci, tout le monde devait sûrement se trouver dans la grande salle des banquets. Elle soupira en pensant à Sano, puis elle s'arrêta face à une silhouette qu'elle ne reconnut que trop bien.
"Loico Malofoy..."
Il souri et s'avança vers elle.
"Tu n'en as pas assez de passer tes journées à lire ? Tu me donnes mal au coeur."
Crayonne l'ignora.
"On doit parler !" Continua le brun.
"Je n'ai rien à te dire, laisse moi maintenant Loico !" S'exclama la jeune fille quelque peu agacée, accompagnant ses paroles d'un geste vague de la main.
La réaction du whiskytard ne se fit pas attendre, il agrippa sans ménagement Crayonne par le col de sa chemise l'obligeant à lui faire face. Son visage portait le masque déformé de la fureur et ses yeux pénétraient intensément dans ceux indifférents de la jeune fille.
"Ecoute moi bien parce que je ne me répéterais pas!"
Loico relâcha sa prise, se sentant bizarre. Il leva les yeux discrètement vers la fenêtre d'où provenaient les rayons de lune.
Crayonne ne l'avait encore jamais vu dans cet état. Il fouilla dans une de ses poches et en sortit un petit paquet qu'il posa doucement dans la main de la jeune fille.
"Joyeuse Saint Valentin..."
Il se retourna presque immédiatement après avoir prononcé ces mots et partit en courant, laissant là une Crayonne plus que perplexe.

Elle n’allait quand même pas lui en vouloir pendant cent sept ans ?!
Depuis qu'il l'avait retrouvée à la salle commune, Crayonne ne lui avait pas adressé un seul mot.
"Crayonne…" commença Sano.
Aucune réaction visible.
"Dis quelque chose…"
La jeune fille soupira enfin tout en fixant son livre
"Quelque chose."
Il ferma les yeux, inspirant profondément pour tenter de contrôler les battements effrénés de son cœur.
Crayonne referma son livre, l'observant avec un regard aussi noir que les ténèbres.
"Je suis déso…"
"Je m’en fiche", le coupa-t-elle froidement.
"Cray…
"Je m’en fiche j’ai dit."
"Mais pas moi. Je ne veux pas que… "
Alors qu’elle prenait résolument la direction de l’escalier, une main attrapa son bras et la força à se retourner.
"Crayonne... "supplia Sano d’une voix rauque.
Ne sachant pas quoi ajouter, il se contenta de la fixer de ses yeux sombres et désolés, pour tenter de la radoucir.
"Quoi ?!"
"Tu vas être fâchée encore longtemps ?"
Son regard bleu le transperça.
"Ah parce que tu crois que je suis fâchée ?"
"Tu ne l’es pas ?"
Elle ouvrit la bouche, la referma et se délivra finalement de son emprise..
Crayonne secoua la tête et commença à monter les marches.
"Non ! Non… Enfin… On n’a pas …Enfin… Crayonne !" cria-t-il derrière elle.
Elle s’arrêta, le temps de lui lancer un regard vif.
"Que je sache, j’ai le droit de faire ce que je veux non ?"
"Attends", dit-il en faisant un pas vers elle.
Crayonne se figea.
Il lut sur son visage qu’elle n’avait nullement envie de blablater et il fut surpris qu’elle vienne néanmoins s'approcher de lui.
"Je suis désolé", commença-t-il en fixant ses chaussures.
"De quoi ?"
Déstabilisé, il ne sut que répondre mais fit l’effort de ne pas fuir en prétextant un quelque chose urgent.
"De tout… Je crois…"
"Rien que ça ?" répondit-elle, plus sarcastique qu’elle ne le voulait.
Sano fut soulagé de sentir sa voix libérée de la colère.
" Tu dois comprendre que ce n’est pas simple…"
"Je sais."
Silence pesant, vite brisé par la voix claire de Crayonne.
"Même Loico m'a offert quelque chose pour la Saint Valentin. Tu es le seul qui m'ai oublié Sano..."
Il la regardait sans dire un mot. Elle avait raison, comme d'habitude...
"Crayonne..."
Il l'a prit par le bras et enfoui sa tête au creux son épaule, assez étonné qu'elle se laissa faire aussi facilement.
"Je t'aime..."
Il lui repeta trois fois.
"Pardonne moi..."
"Idiot..."
Elle l'embrassa.

Dans la salle commune des whiskytards, Loico observait le ciel étoilé par une des grandes fenêtres. Interieurement, il pensa :
"Jours après jours, semaines après semaines Elle me haïssait. Mais moi je l'aimais... Et bientôt, je la tuerais..."

En espérant que cela vous plaise....