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 les histoires très courtes (by crayonne)

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MessageSujet: les histoires très courtes (by crayonne)   les histoires très courtes (by crayonne) Icon_minitimeSam 13 Oct - 20:29

~ La fin de Dolldemort ~

La jeune femme avançait dans les profondeurs de la nuit. Au loin, elle pouvait appercevoir la demeure de celui que la confrérie avait appellé le traitre... L'avenue du vin était déserte à cette heure tardive, et seul le silence régnait. Tel une ombre, elle marchait silencieusement vers son objectif.
Enfin elle allait se venger...
Enfin elle allait le punir comme il se devait...
Soudain, elle s'arrêta. Quelqu'un la suivait, elle en était sûre et certaine. Elle se retourna et vit une autre ombre, semblabe à elle même, qui s'avançait vers elle. Elle souria.
"Charles ? Qu'est ce que tu fiche ici ?"
L'ombre ota son capuchon, laissant son visage à découvert. C'était un jeune homme aux cheveux chatains, court. Il portait des lunettes, mais elles n'arrivaient pas à cacher son regard perçant couleur noisette. Il prit la parole.
" Je n'interferrerais pas dans tes projets, mais j'ai promit à Eléonore de garder un oeil sur toi pour que tu ne fasse pas de choses insensées... "
"Je n'ai pas besoin d'aide ! Retourne auprès de ta femme et de ta fille, tout se passera bien... Je te le garantit..."
"Tu devrais te méfier Dolldemort... Ce Saké Rotter cache bien son jeu... N'oublie pas qu'à cause de lui..."
"Je ne le sais que trop bien, Charles..."
Elle l'ignora et continua son chemin. Et tandit qu'elle avançait, elle se remémora la soirée de la veille.

Dans la maison de Charles et Eléonore Badranger, Dolldmort avait réunit ce qui restait des membres de la confrérie de sorciers maléfiques. Peut d'entre eux avaient échapper au DESASTRE. L'un d'eux prit la parole :
"A cause de ce traitre, Cedricus et les autres se retrouve enfermé dans cet hopital Pikatrik... Nous devons organiser une expedition punitive... "
"Ce serait une excellente idée, mais se serait risquer que d'y aller tous ensemble..."
Eléonore tenait sa fille endormie dans les bras.
"L'un d'entre nous ira là bas... Mais qui ?"
"Je vais lui rendre une petite visite moi même..."
Tout le monde s'était retourné vers Dolldemort. Cette dernière continua.
"Il paira pour la traitrise dont il a oser faire preuve contre moi..."

Elle setrouvait devant la maison du coupable à présent. Dolldemort serra sa baguette et sonna à la porte. Après quelques instants, quelqu'un vint lui ouvrir : Saké Rotter...
"Tiens ? C'est toi ? Que veut tu ?"
Elle lui lança un regard rempli de haine, puis le pointa de sa baguette.
"Hein ? Mais qu'est ce que tu... "
"SORT DE DESTRUCTION MASSIVE !!!"
Dolldemort avait pronomcé la sentence en même temps que le sortilège. Saké Rotter retomba lourdement sur le sol. La jeune femme ne vérifia même pas si il était mort. Après avoir reçut un sortilège aussi puissant, comment le pouvait-il ? Puis elle pénétra à l'interieur de la maison...

Au loin, Charles Badranger avait tout observé. Et ce que craignait sa femme s'était finalement produit : Dolldemort allait disparaitre...
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Redfish
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MessageSujet: Re: les histoires très courtes (by crayonne)   les histoires très courtes (by crayonne) Icon_minitimeMer 17 Oct - 2:19

Euh c'est quoi ? C'est de Crayonne ça non ?
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MessageSujet: Re: les histoires très courtes (by crayonne)   les histoires très courtes (by crayonne) Icon_minitimeMer 17 Oct - 10:34

C'est pour ça qu'il y a écrit : By Crayonne ^^
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MessageSujet: Re: les histoires très courtes (by crayonne)   les histoires très courtes (by crayonne) Icon_minitimeJeu 18 Oct - 11:23

Ouaaaaaaaaaah c'est trop bien ^^ Encore, Encore, Encore, Encore...

La Suiteuh !!
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MessageSujet: Re: les histoires très courtes (by crayonne)   les histoires très courtes (by crayonne) Icon_minitimeMar 23 Oct - 16:18

Bah la suite, c'est Sano Rotter 1 non ?
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MessageSujet: Re: les histoires très courtes (by crayonne)   les histoires très courtes (by crayonne) Icon_minitimeMar 23 Oct - 20:26

je demandais d'autres petites histoires pas la suite directe les histoires très courtes (by crayonne) 273r

je suis une incomprise les histoires très courtes (by crayonne) 273p
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MessageSujet: Re: les histoires très courtes (by crayonne)   les histoires très courtes (by crayonne) Icon_minitimeJeu 17 Jan - 11:11

Une petite histoire qui m'est venue cette nuit.

~~~ Souvenirs Douloureux ~~~

Il était assis, les yeux fixés vers le sol.
Il avait tout perdu en une nuit.
Un vent frais lui caressait le visage... Mais il ne bougeait pas, stoique.
Il avait l'impression que son coeur allait se briser en mille morceaux à chaque fois qu'il se rememorerait cette nuit atroce...
"Monsieur, pourquoi tu pleure ?"
Il releva la tête pour se retrouver face à une petite fille. Elle ne devait pas avoir plus de cinq ans.
"Tu es triste monsieur ?"
Elle l'observait de ses grands yeux bleux, des yeux qu'il aurait reconnu entre mille.
"Eleanore..."
La petite fille prit un air boudeur.
"Bah nan, moi j'm'appelle pas comme ça ! Moi je suis Crayonnneuh !!!"
Il se surprit à sourire. Elle était vivante... Et elle ne se rappelerait pas de cette horrible nuit. Il tendit la main vers elle. Mais elle recula.
"Tata ne veux pas que je parle avec des zinconnus..."
Elle baissa la tête.
"Mais tu avais l'air si triste monsieur, j'ai pas pu m'en empêcher..."
"Tu es trop gentille... Ne fais pas la même erreure que moi..."
Crayonne ne comprenait pas. Elle afficha un air interogatif.
"Tu as fais quelque chose de pas bien ?"
Il soupira.
"J'ai fait des choses horrible, par amitié, mais aussi par amour... Je l'aurai suivit jusqu'en enfer si cela avait été possible... Même maintenant, je l'aime encore, malgrès toute les horreurs que nous avons fait..."
"De qui tu parle monsieur ?"
"De ma femme..."
"Elanore qu'elle s'appelle ?"
Il secoua la tête. Déjà toute petite, elle n'arrivait pas à prononcer le nom de sa mère correctement. Il la repris.
"Eléanore.."
Crayonne souria.
"C'est joli comme nom, pas comme Crayonneuh."
Il souria de plus belle. Elle avait toujours cette manie d'insister sur le E à la fin de son prénom.
"Crayonne est un très beau nom... Ne l'oublie jamais..."
Il lui caressa les cheveux et sentit son coeur se serrer.
"Faut pas pleurer monsieur ! T'es un grand, et les grands ça pleure pas !!!"
"Je sais... Mais je ne peut pas m'en empêcher..."
"Monsieur... Faut pas être triste, sinon Elanore elle sera triste aussi..."
Il restèrent quelques minutes à se regarder ainsi. Puis la petite fille baissa la tête. Les yeux rivés sur le sol, la mine boudeuse (come si souvent, pensait-il) elle lui dit.
"Faut que je rentre sinon Tata elle va me gronder..."
IL aquiesca, et la regarda partir.
Il sentit un poids sur son coeur s'envoler.
Elle ne se rappelerait jamais de cette nuit atroce.
Elle vivrait heureuse, loin du monde de la sorcellerie...
C'est ce que Charles espèra de tout son coeur avant de disparaître...


~~~ The End or To be Continued ~~~

Maintenant, à vous de savoir si Charles est mort (et dans ce cas là se serait son fantôme) ou si il est encore vivant quelque part...

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MessageSujet: Re: les histoires très courtes (by crayonne)   les histoires très courtes (by crayonne) Icon_minitimeJeu 17 Jan - 13:26

Ouaaaah, j'adore cette histoire sur l'enfance de Crayonneuh. Moi, je vote pour la vie de Charles.
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MessageSujet: Re: les histoires très courtes (by crayonne)   les histoires très courtes (by crayonne) Icon_minitimeJeu 17 Jan - 18:43

Je ne sais pas si se serait faisable : dans le volume 4, Crayonne retrouve sa tombe.
Mais qui nous dit qu'elle n'est pas vide ?
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MessageSujet: Re: les histoires très courtes (by crayonne)   les histoires très courtes (by crayonne) Icon_minitimeDim 20 Jan - 0:25

c'est très mignon ^^

moi je penche plutôt pour le fantome.
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MessageSujet: Re: les histoires très courtes (by crayonne)   les histoires très courtes (by crayonne) Icon_minitimeMar 22 Jan - 20:02

Fantôme ou pas fantôme ?
Barf, c'est pas à moi de décider ^^;
Peut être qu'il réaparaitra un jour, dans un autre fic...
Fu fu fu...
les histoires très courtes (by crayonne) 273v
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MessageSujet: Re: les histoires très courtes (by crayonne)   les histoires très courtes (by crayonne) Icon_minitimeMar 12 Fév - 13:38

Oui, encore une histoire courte.
Oui, encore une histoire ayant pour thème les parents à Crayonne.
Oui, le titre de cette histoire est en rapport avec la chanson du même nom.
Oui, je suis en train de l'écouter en ce moment même.
Oui, je vous souhaite une bonne lecture.

Raining Blood

Le parc était froid et brumeux, et l’aube commençait à poindre.
Le sinistre Novembre avait envahi La ville, gelant tout ce qu’il trouvait sur son passage.
Charles Badgrangre remarqua que les étoiles brillaient encore lorsqu’il quitta, silencieux et solitaire, le repaire des mangemorts.
Dolldemort lui avait demander de se débarrasser d'une famille de Boidelos qui en savait trop sur leurs occupations. Et le jeune homme avait accepté, comme à son habitude, avec un sourire.
Il allait être calme, et commencer à travailler.
Ce qu’il fit.
Il n’avait pas le temps pour autre chose.
Il n’arrivait pas à s’expliquer ces changements d’humeur chez lui, mais il réussit à faire le vide dans sa tête et se mit en route vers la petite maison.
Il était vrai que, généralement, il n’accordait que peu d’intérêt au boidelos, sauf s’il s’agissait de les punirs...
A cette pensée il se traita de sadique, ce qui le fit intérieurement sourire, puis ouvrit tranquillement la grande porte de bois.
Tout le monde dormait encore...
"C'est toute un famille de boidelos que tu dois éliminer... Crois tu que tu seras à la hauteur, Charles ?"
C'était la voix d'Eleanore. Elle l'avais suivit, une fois de plus.
Lorsqu’il leva vers elle un visage empreint d’une fureur glacée, elle comprit qu’elle était allée trop loin en remettant en cause ses compétences en magie noire.
Charles était plus qu’exaspéré, plus qu’en colère. Il semblait prêt à lui faire du mal. Son regard, presque fou, la clouait sur place.
Il avança vers elle, sans la quitter du regard, ses yeux si noirs vrillant les siens.
Eléanore réalisa soudain qu’il était très grand.
Il était son ami, il ne pouvait pas lui faire de mal… Et pourtant… Son regard…
Celui d’un loup.
Elle lui fit face avec le sentiment de se préparer à un combat.
Ils étaient à présent à quelque centimètres l’un de l’autre, et elle sentait l’aura de fureur qui se dégageait de lui.
Elle avait baissé les yeux.
Elle ne pouvait soutenir son regard plus longtemps.
Lui en revanche, avait les yeux rivés sur son visage.
Elle pouvait en sentir la brûlure.
Elle l’entendit lui dire, chuchotant, et d’un ton presque badin :
« Je connais des sortilèges dont la seule évocation pourrait te donner des cauchemars jusqu’à la fin de ta vie. »
Il se pencha davantage, tout près de son oreille.
« Veux tu les entendre ? »
Elle se sentait très, très mal. Elle avait très chaud. Ses yeux étaient fermés, ses paupières contractées.
Il était trop près.
Il avait trop d’emprise sur elle. Trop.
Sa respiration devenait de plus en plus saccadée, et elle sentait qu’elle allait craquer d’un moment à l’autre.
Il répéta :
« Le veux tu ? »
Manifestement, c’est ce qu’il souhaitait. Elle aquiesca silencieusement. Un sourire se forma sur le visage de Charles. Il recula. Il posa sa main sur le mur du hall d'entrée.
"Storm Gust..."
Une pellicule de glace se forma, rafraichissant l'athmosphère dans toute la maison. Les murs, les meubles, le sol et tout les objets s'étaient galcés.
Un cri retentit à l'étage. Un homme descendit les escaliers en trombe, puis se trouva face aux deux mangemorts. Il n'eut pas le temps d'aligner trois mots que Charles avait déjà tendu sa main vers lui.
"Ice Blade !"
Des pics de glaces s'étaient formés, puis foncèrent droit sur la victime, la transperçent de toute part, ne lui laissant aucune chance de survie.
Puis la scène se répétat trois fois par la suite, sur chacun des membres de la famille de Boidelos.
Charles se tourna vers Eléanore, un sourire aux lèvres.
Elle aurait voulu lui lancer un regard ironique.
Elle aurait voulu lui faire une remarque acerbe. Elle aurait voulu être tranchante.
Elle aurait voulu lui faire mal.
Elle ne put que baisser les yeux et s’abandonner quand, dans une attitude prédatrice et majestueuse, le regard sombre, il s'avança vers elle.
Et avant même de comprendre ce qui le retenait encore, elle se retrouva dans ses bras.
Elle eut la sensation qu’il allait la tuer à la serrer ainsi, mais elle se sentait prête à mourir, dans une telle étreinte.
Elle sentit son souffle près de son oreille, son coeur battait de plus en plus vite. Elle crut qu'il allait exploser.
Puis Charles chuchota d'une voix douce :
"Sois à moi pour toujours Eléanore... "
Elle le regarda droit dans les yeux, et souria.
Oui, elle serait à lui, le mage noir le plus puissant après sa meilleure amie.


Bon, maintenant, place aux questions sans réponses...
- Si ils étaient aussi fort que ça, pourquoi est ce qu'ils se sont fait laminés aussi facilement par le désastre ?
- On a pas vu Eléanore à l'oeuvre, malheureusement, il faudra que je montre l'étendue de ses pouvoirs sans trop en dévoiler parce que
Spoiler:

- Maintenant, on sait de qui Crayonne tiens la plupart de ses pouvoirs, c'est cool.
- Charles est-il vraiment mort par la suite ? Un sorcier aussi balèze ne se laisserait pas aussi facilement avoir...
- Eléanore est morte, ça c'est sûr et certain.

A bientôt pour d'autres histoires courtes !
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MessageSujet: Re: les histoires très courtes (by crayonne)   les histoires très courtes (by crayonne) Icon_minitimeMar 12 Fév - 14:01

Encore, encore, encore !!!!!!!

Et pis, m'dame Crayonneuh, c'est y possible d'avoir des histoires courtes de saint valentin cette année ou pas ?
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MessageSujet: Re: les histoires très courtes (by crayonne)   les histoires très courtes (by crayonne) Icon_minitimeMar 12 Fév - 15:05

Bah euh, faut voir ça avec mon imagination ^^;
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MessageSujet: Re: les histoires très courtes (by crayonne)   les histoires très courtes (by crayonne) Icon_minitimeMar 18 Aoû - 10:28

Oh my God, une histoire qui m'est sortie de la tête comme ça, tout d'un coup !

L'Héritier de Dolldemort

Il fallait se faire une raison : Dolldemort n’était plus.
Elle avait disparut avec la famille Rotter.
Eleanor n’arrivait pas à y croire. Sa meilleure amie, la mage noire la plus puissante du monde de la sorcellerie alcoolisée avait été éradiquée à cause d’un enfant. Un gamin qui venait à peine d’avoir un an. La seule chose qui lui remontait un tant soi peu le moral était le fait qu’avant de disparaitre, Dolldemort avait réussit à se venger de Saké Rotter.
« Eleanor, tu devrais te reposer… »
La voix de Charles résonna doucement dans le petit salon. Eleanor se retourna vers lui. Il tenait leur enfant endormie dans ses bras.
Eleanor était en colère. Contre Dolldemort, contre Saké Rotter et sa famille, contre elle-même. Elle observa sa fille. Une toute petite fille qui venait tout juste d’avoir un an. Comme celui qui avait définitivement mit fin à la confrérie des sorciers maléfique. La jeune femme eut alors une idée terrible. Elle s’approcha de son enfant et l’arracha presque des bras de son père.
« Crayonne… Ma petite Crayonne… Tu seras l’instrument de résurrection de Dolldemort ! Et tu m’aideras, n’est ce pas Charles ? »
L’homme baissa doucement la tête. Il ne pouvait rien lui refuser. Elle pouvait lui demander n’importe quoi, il aurait accepté. Mais là, utiliser leur propre enfant pour assouvir ses délires, il n’arrivait pas à comprendre.
« Eleanor, tu ne crois pas que… »
Mais il n’avait pas achevé sa phrase qu’elle lui lança un regard noir.
« Je sais à quoi tu penses… Mais je te promets qu’elle n’aura rien… Tout du moins, pour le moment… »
« Eleanor ! »
Il avait crié cette fois. Elle se retourna à nouveau, l’air hautain. Charles ne pouvait pas la laisser faire une chose pareille.
« Tu ne peut pas te faire à l’idée que Dolldemort est définitivement morte ? Laissons tomber la confrérie des sorciers maléfiques, nous pourrions vivre… »
« La ferme ! »
Il recula. Eleanor avait les larmes aux yeux, mais ces derniers étaient remplis de haine.
« Charles, nous allons trouver un moyen d’utiliser la gamine comme réceptacle pour la résurrection de Dolldemort. Je ne veux plus t’entendre geindre de la sorte ! »
« Mais ce n’est qu’une enfant ! »
« Et alors ? Je t’en ferais d’autre des enfants si tu veux ! »
Charles protestait devant tant de cruauté gratuite de la part d’Eleanor.
« Eleanor, je t’en supplie, arrête ça ! »
Hors d’elle, la jeune femme répliqua :
« Je me fiche bien de savoir qu’elle vive ou meurt, tant que je réussis à ramener Dolldemort à la vie. Et après, on pourra s’occuper de tout ces Boidelos qui ne servent strictement à rien, et pourquoi pas, de tout ceux qui tenterons de nous barrer la route ! »
Charles réfléchissait. D’aussi loin qu’il la connaissait, il savait que Eleanor et Dolldemort étaient très liées. Elles avaient passé leurs enfance ensemble et étaient les meilleures amies du monde. Toutes deux vouaient une haine sans bornes aux Boidelos.
Même si il savait qu’Eleanor était plus faible que lui, il ne pourrait jamais lui faire le moindre mal.
Parce qu’il l’aimait depuis le jour où il l’avait rencontré.

C’était le jour de la rentrée à Boudebar. Elle venait d’être admise chez les Vignaigres, tout comme Dolldemort. Il aurait voulut être avec elle, mais le sort en avait décidé autrement : il avait été choisit par le Choixpeau Magique pour intégrer la maison des Sakédors.
Combien de fois l’avait-il croisé au détour d’un couloir ?
Combien de fois avait-il passé des heures à l’observé pendant les cours ?
Combien de fois l’avait-il suivit juste pour la voir ?
Charles Badgranger ne pouvait plus s’arrêter de penser à elle : il l’aimait comme un fou. Mais est ce que c’était réciproque ? Il en doutait fortement.

Un jour, alors qu’il avait suivis Eleanor et Dolldemort jusqu’à la bibliothèque, il surprit les bribes d’un dialogue qui le laissa pantois. Eleanor s’acharnait sur ses crayons, les brisant en petits morceaux et maugréant à voix basse.
« J’en ai assez Dolldemort… Assez de savoir que ces Boidelos se la coule douce alors que nous en avons bavé à cause d’eux… »
« Tu sais que tu viens de me donner une idée ? Je suis sûre qu’elle va te plaire… »
Un sourire malicieux apparut sur les lèvres de Dolldemort. Elle continua :
« J’ai envie de créer un groupe. Mais pas n’importe quel groupe ! Un groupe de sorciers qui ont la haine des Boidelos et qui ne vivrais que pour les exterminer ! »
Eleanor se mit à applaudir discrètement.
« Bien entendue, tu en serais la chef Dollie… »
« Il n’y a vraiment que toi pour m’appeler comme ça… Un jour, tout leur tombera dessus sans qu’il n’y comprenne quoi que ce soit, et ce jour là, ils gouteront notre vengeance ! »
Charles avait tout entendu. Mais il ne savait que faire. Les dénoncées et s’attirer les foudres de la jeune fille qu’il aimait par-dessus tout, ou bien alors…
« Excusez moi toutes les deux… »
Dolldemort et son amie relevèrent la tête vers le jeune homme. Charles regardait Eleanor, il la dévorait pour ainsi dire des yeux. Dolldemort le sortit de sa rêverie.
« Qu’est ce que tu veux ? Tu ne vois pas que nous sommes occupées ? »
Charles lança à voix basse :
« J’ai tout entendu… »
Un lourd silence s’était installé, puis le jeune homme répéta.
« J’ai tout entendu… Et je… Je ferais tout ce que vous me demanderez… »
Dolldemort s’était mise à pouffer de rire.
« Tu as entendu ça Léa ? Qu’est ce que tu crois mon pauvre ? »
« Je pense qu’il pourrait nous être utile… »
Eleanor avait prononcé cette phrase très calmement. Elle continua de sa voix froide :
« Je l’ai déjà vu à l’œuvre, et il est plutôt doué… Plus que moi en tout cas… C’est maintenant qu’il faudrait commencer à recruter nos homme de main Dollie… »
« Très bien… Et toi, tu es ? »
« Charles Badgranger… »

Charles soupirait en repensant à son passé.
Il venait de la maison Sakédor, sa destiné aurait été tout autre si il n’avait pas rencontré Eleanor. Il aurait pu devenir membre du DESASTRE avec la puissance qu’il avait.
Mais il avait préféré choisir une autre voie. La même que celle de sa femme.
Combien de fois avait-il tué au nom de la confrérie ?
Combien de fois s’était-il incliné devant ces caprices ?
Combien de fois s’était-il rallié à ces idées alors qu’il n’en avait que faire ?
Combien de fois se serait-il tué pour elle ?
Mais là, c’était trop pour lui… Sacrifier sa propre fille à ces idées lui était tout bonnement insupportable. Il alla retrouver la jeune femme dans la chambre d’enfant.

Eleanor était plongée dans un énorme livre. Dans le petit lit, Crayonne dormait. Charles s’approcha doucement de sa femme.
« Comment peux-tu envisager une chose pareille Eleanor ? Ta propre fille ! »
« Tais-toi Charles ! Je n’ai pas envie de discuter plus longtemps avec toi ! »
L’homme secoua la tête doucement.
« Léa…Tu ne pense pas que ce qui est arrivé est de sa faute ? Nous l’avions prévenue ! »
« Et elle ne nous a pas écouté !!! »
Eleanor s’était mise à hurler. Crayonne s’était réveillée en larme. Charles l’avait prise dans ses bras et tentait de la calmer.
« Ecoutes moi Léa, je ferais tout ce que tu veux, peux importe ce que tu me demanderas mais arrête de penser à sacrifier ta fille ! C’est trop cruel ! »
La jeune femme s’arrêta d’un seul coup et se retourna vers Charles.
« Tu as bien dis tout ce que je veux ? »
Charles acquiesça.

Charles Badgranger regarda tout autour de lui.
Il y avait quelque chose d’étrange dans l’air. Tout était blanc, recouvert par la neige. Un froid glacial fendait l’air.
Il se mit à avancer, malgré la neige, le vent et le froid. Et à travers les arbres gelés, il découvrit les ruines de ce qui semblait avoir été un manoir.
Ses cheveux battaient l’air au rythme saccadé du vent. L’homme entra dans les ruines. Il faisait toujours aussi froid, mais au moins, le vent était inexistant. Il avança le long des couloirs sans vie.
Un large sourire se dessina sur ses lèvres. Ici, il y avait ce qu’Eleanor recherchait. Un grimoire ancien ayant appartenu à Rettdeboir Whiskytard. Peut être laisserait-elle Crayonne tranquille si il lui ramenait.
Elle l’avait promis.
Charles entendit des voix au loin. Il allait devoir tuer, à nouveau…

Il était revenu au bout de quelques jours à peine. Il avait réussit. Eleanor souriait quand elle était venue lui ouvrir la porte. C’est à cet instant qu’il avait ressentit quelque chose d’étrange.
Crayonne…
Il monta au premier dans la chambre de la petite fille, manquant de tomber dans l’escalier tant il était pressé et inquiet.
Elle était là, elle avait tendu les bras vers lui quand elle l’avait aperçut, un large sourire aux lèvres. Mais quelque chose n’allait pas, et il le ressentait. La puissance de la petite fille n’avait plus rien à voir avec celle qu’elle avait avant qu’il s’en aille.
Eleanor apparut au coin de la porte, un grand sourire sur les lèvres. Charles se tourna vers elle, mais ne dit mot.

« Qu’est ce que tu lui a fait Léa ? »
Charles était sortit de ses gonds. Eleanor lui avait répondu d’une voix sèche :
« J’ai fais ce que je voulais faire depuis le début ! Il me suffisait juste de t’éloigner d’ici pour pouvoir le faire… Tu es tellement prévisible mon pauvre Charles… »
Elle avait déblatéré ses mots sur un ton qui se voulait le plus blessant possible. Et elle avait réussit.
« Tu es vraiment ignoble… Comment… »
« Comment ai-je pu faire une chose pareille ? Arrête Charles… Crayonne deviendra celle qui ramènera Dolldemort à la vie ! Elle sera adulée pour ça ! »
« Tu ne sais pas… Tu ne sais rien Léa… »
« Et toi tu n’es qu’un idiot fini ! »
Elle allait sortir de la salle quand Charles se plaça devant elle.
« Tu n’en a pas assez de penser à te venger ? »
Eleanor l’ignora royalement et tenta de passer à sa gauche. Charles l’attrapa par le bras et la plaqua contre le mur.
"On doit parler !"
"Je n'ai rien à te dire, fout moi la paix Charles !"
Il l’obligea à lui faire face. Son visage portait le masque déformé de la fureur et ses yeux pénétraient intensément dans ceux indifférents de la jeune femme.
"Écoute-moi bien parce que je ne me répéterais pas ! Fais lui le moindre mal et je te jure que je n’hésiterai pas… Et ce n’est pas parce que tu es une femme que je serais doux avec toi ou quoi que se soit ! "
Charles relâcha sa prise, se sentant bizarre. Eleanor ne l'avait encore jamais vu dans cet état. Elle tenta quand même d’avoir le dernier mot :
« Ca me rend malade de discuter avec toi… »

Une journée magnifique s'annonçait, un soleil radieux venait réchauffer l'hiver et la neige qui avait tout recouvert durant des jours commençait peu à peu à fondre, laissant de nouveau apparaître le pavé des rues et les toits d'ardoises. Eleanor avait sourit, assise devant la petite fenêtre de sa chambre, admirant le paysage qui s'étendait en dessous d’elle.
Elle avait réussit à se faire détester de celui qu’elle aimait par-dessus tout. Elle sentit une présence derrière elle et se retourna. C’était Charles.
Sa froideur et sa distance avait laissé place à un regard doux et chaleureux… Eleanor détourna son regard. Le jeune homme parla :
« Tu ne sera jamais heureuse avec moi… »
Il y avait une pointe de tristesse dans sa voix.
« Compte tenu de toute cette histoire, c’est évident… »
Les mots étaient sortit tout seul. Eleanor aimait faire du mal, mais elle s’en voulait…
La jeune fille baissa la tête tendit que le sorcier scrutait l’horizon. Elle réfléchissait à ses paroles : il avait raison. Eleanor n’y avait jamais réellement pensé.


Dernière édition par Crayonne le Jeu 27 Aoû - 12:43, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: les histoires très courtes (by crayonne)   les histoires très courtes (by crayonne) Icon_minitimeMar 18 Aoû - 10:28

Ce soir là, tout devait basculer dans l’horreur la plus totale.

Charles et Eleanor s’étaient repliés dans la chambre de Crayonne. Au rez-de-chaussée, on pouvait entendre les lourds bruits de pas martelant le sol, et des voix hurlaient presque. Eleanor avait prit sa petite fille dans ses bras. Charles s’était mit devant elles. Il réfléchissait à toute vitesse : il n’y avait aucune échappatoire possible. Il se tourna vers sa femme :
« Je vais les retenir… Essaye de partir avec la petite… »
« Mais tu es fou ! Ils vont te tuer ! »
Charles lança un sourire à sa femme.
« N’importe quel homme serait près à mourir pour protéger ceux qu’il aime, tu ne croit pas ? »
« Imbécile… Il n’y a vraiment que ces imbéciles de Sakédor pour déblatérer des idioties pareilles !!! »
Elle pleurait toute les larmes de son corps. Crayonne dormait malgré les bruits alentours. Charles posa son regard sur sa fille unique.
Elle ne devait pas mourir maintenant.
Eleanor la déposa doucement dans le placard et en referma la porte.
« Ici au moins, ils n’y feront pas attention… »
« Qu’est ce que tu compte faire Léa ? »
« Me battre à tes côtés… Je ne peux pas te laisser mourir bêtement… »
C’est à cet instant que la porte s’ouvrir dans un immense fracas.
Charles et Eleanor reculèrent d’un seul coup.
Face à eux se trouvaient plusieurs membres du DESASTRE. Leurs yeux ne ne manifestaient que la peur et la colère lorsqu’ils virent les visages de ceux qu’ils recherchaient.
« Charles et Eleanor Badgranger, vous êtes en état d’arrestation… Tout ce que… »
Mais l’homme n’eut pas le temps d’achever sa phrase.
Charles avait commencé une incantation. Ses doigts dessinant une figure invisible et étrange dans l’espace, une sombre technique se préparait, d’une puissance peu commune.
« Meurt... »
Son bras droit s’était tordu dans l’air dans un étrange demi-cercle. Son corps émit un funeste éclat sombre, plus noir encore que son cœur. Et Charles aimait particulièrement cet instant. Face à lui, ses ennemis mourraient les uns après les autres, leur corps dissous dans l’espace. Quand à lui, il se tordait de douleur sur le sol. Eleanor s’était penchée sur lui.
« Ce sortilège… Pourquoi ? Tu sais bien qu’il te vide d’une grande partie de ton énergie magique ! »
Mais à peine Eleanor avait-elle finit sa phrase que d’autre agents du DESASTRE étaient apparut. La jeune femme sauta et se précipita vers ses adversaires.
« Crevez tous autant que vous êtes !!! »
La voix avec laquelle il avait dit cela était effrayante. Froide, inhumaine. On aurait dit une invocation. Mais rien ne vint. C'était juste une manière d'engager le combat.
« ICE BLADES !!! »
Une série de pics de glaces s'enfoncèrent dans les corps aux chairs tendre qui se trouvaient face à elle. Aucun d’entre eux ne survécut. Fière d’elle, Eleanor se retourna vers Charles, un grand sourire aux lèvres. Charles hurla :
« LEAAAAAA !!! »
Mais c’était trop tard. Beaucoup trop tard.
Eleanor n'avait rien senti. Le choc avait été violent, évidemment, mais elle n'avait aucunement eu le temps de réaliser ce qu'il lui arrivait. Elle retomba lentement sur le sol, et ses yeux se refermèrent, doucement.
Pour toujours.

Saké Rotter s’avançait dans la pièce, toujours sur ces gardes. Il ne quittait pas Charles des yeux. Charles qui se tordait de douleur sur le sol et qui tentait de rejoindre le corps sans vie d’Eleanor.
Il était seul.
Tout seul.
Cette impression de solitude glacée, il l'avait déjà ressentie. Quand cela s'arrêterait-il? Autour de lui, juste le néant. Il avait peur. Une sorte de peur viscérale, incontrôlable, le saisissait au ventre. Il se sentait nu, vulnérable, face aux ténèbres glacées et à sa propre conscience. Mais, plus que jamais, il était seul, désespérément seul.
« Saké Rotter… Vivant… Qui l’eut crut… »
Saké recula de lui-même, profondément déçut. Néanmoins, il se surprit à lui répondre.
« J’ai eut beaucoup de chance ce jour là… »
Charles se releva doucement, titubant. Le regard ailleurs, il s’adressa à Saké :
« Est-ce que tu es prêt à te battre pour sauver ta vie ? »
« Tu veux te battre contre moi ? Regarde dans quel état tu es Charles… Il est loin, le premier de la classe quand nous étions ensemble à Boudebar… »
Saké sentait monter en lui une colère indéfinissable. Il continua :
« Tu sais ce que ça fait maintenant de perdre ceux à qui l’on tiens le plus… Tu aurais pu devenir quelqu’un de bien, mais tu as préféré choisir une toute autre voie… »
Charles avait perdu son calme au moment ou il avait entendu ses paroles.
« Va crever Saké !!! »
Il s’était jeté sur lui, mais Saké l’avait facilement évité. Charles n’avait pas eut le temps de se retourner. Il avait sentit quelque chose le traverser. Une lame froide, implacable, mortelle. Il sentit ses os craquer et son sang le quitter, alors que la douleur fulgurante remontait à son cerveau et se propageait dans tout son corps. En face de lui, à quelques centimètres de son visage, Saké Rotter le fixait, d’un regard triste et méprisant. Il se vit dans ses yeux brillants, il se vit, lui. Il vit son sang se déverser sur le sol. Il vit son regard étonné. Puis il retomba lourdement sur le sol.
Charles Badgranger n’était pas encore mort. Saké le savait. Il s’approcha du corps allongé sur le sol qui se tortillait pour vivre et demanda :
« Où est l’héritier de Dolldemort ? »
Le regard de Charles se posa sur l’armoire dont la porte s’était doucement ouverte. Saké s’en rapprochait doucement, tendit que ses yeux se refermaient. Puis soudain, plus rien, le noir total...


Tout était désormais finit.
Qu’allait-il faire à présent ? Alors qu’il se tenait là, à l’entrée de ce qui fut autrefois sa maison, ignorant même la pluie ruisselant sur son visage, une foule de souvenirs lui revint en mémoire. Tellement de tristesse et de mélancolie, de remords et de lassitude régnaient en lui.
Pourquoi n’avait il pas agit lorsqu’il en était encore temps ?
Pourquoi l’avait il laissée mourir ?
La seule femme qu’il n’avait jamais aimée, la seule… Qu’il ne pourrait à présent jamais plus tenir contre lui, qu’il ne pourrait plus entendre parler ou même rire, qu’il ne pourrait jamais plus étreindre… Il sentit ses larmes coulées le longs de ses joues et il se retint pour ne pas éclater en sanglots.
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MessageSujet: Re: les histoires très courtes (by crayonne)   les histoires très courtes (by crayonne) Icon_minitimeMer 26 Aoû - 18:59

Trop cool d'en savoir plus sur les parents de Crayonne. Tout ça, ça me donne envie d'écrire sur Rodeline mais bon...
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