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 Sano Rotter 5, la guerre des sorciers

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Redfish
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MessageSujet: Sano Rotter 5, la guerre des sorciers   Sano Rotter 5, la guerre des sorciers Icon_minitimeLun 4 Fév - 13:46

Il n'est pas obligatoire pour la compréhension de l'histoire d'avoir lu l'histoire qui précède, à savoir :
Sano Rotter 5 l'héritier des Sakédors, pour comprendre La guerre des sorciers mais c'est préférable. Seul bémol l'héritier des sakédors n'a jamais été terminé et ne le sera probablement jamais.
Sur ce bonne lecture !


Chapitre
Boudebar under attack.

La tour saignante n’était pas la tour la plus impressionnante de l’école, son architecture étant assez modeste. Ce nom de « tour saignante » lui avait été donné en rapport à son toit en chapiteau d’une couleur rouge sombre qui rappelait la couleur du sang. Mais la plupart des élèves pensaient que la tour s’appelait ainsi tout simplement parce qu’elle abritait le bureau de Bélial Lindanagall craint par tous.
Il est 9h ce matin là et la directrice de Boudebar est déjà penchée sur ses papiers. La paperasse administrative n’est pas son fort, c’est même le genre de taches qu’elle confierait volontiers à l’autre tache qui n’est autre que Rochelderoy Belheart ses sous directeurs si seulement il en était capable. De temps en temps Bélial lève le nez de ses papiers pour espionner cette drôle de chose qui s’est introduit, elle ne sait pas comment, dans son bureau. Elle s’ennuie tellement qu’elle se surprend même à taper la causette avec.
– *sigh* Toi tu n’as pas ce genre de problème n’est ce pas. Tu déambules un peu partout, sans te soucier de rien. Alors que moi j’ai une école à gérer, le ministère de la beuverie sur le dos, des élèves qui ont la sale manie de s’attirer autant d’ennuie qu’ils m’en créées. Et par dessus le marché j’ai un de ces mal de tête ce matin… c’est jamais bon signe dit elle en se massant les tempes. Mais le pire dans tout ça c’est que je te parle à toi, stupide chose immonde. Oh ne me regarde pas comme ça, je plaisantais. Je tolère ta présence du moment que tu ne me déranges pas pendant mon travail.
Et Bélial se replongea dans sa paperasse.
Dehors le soleil matinale brillait d’un magnifique éclat innondant la pièce d’une lueur réconfortante et pas une once de vent, bref des conditions idéales pour…
– Des conditions idéales pour ne pas la louper, dit un Détraké sniper perché sur son rateau à 70 mêtres de là et protegé de la vue de tous par une cape d’invisibilité. La baguette qu’il tenait avec ses deux mains était extremement sophistiqué et semblait emprunter beaucoup à la technologie moldu. La poigné était de forme telle, qu’elle se tenait comme la crosse d’un revolver et à l’extremité de celle-ci, il y avait un viseur pour être sur de ne pas louper la cible. Afin de maintenir la stabilité de l’arme, celle-ci était fixé au rateau. Bref c’était une arme de mort sur laquelle était assis un psychopathe et c’est Bélial Lindanagal qui en était la cible. Le détraké lui était relié à ses comparses restés au sol par une oreillette talkus et attendait le feu vert.
« Tu es sur qu’elle est seule ? »
« Oui, si un autre sorcier était dans le bureau avec elle, l’angle de la fenetre m’aurait permis de le voir. Néanmoins elle a levé un instant la tête pour parler, elle est peut être en conversation avec quelqu’un par talkus ou alors elle parle seul et comme elle n’a pas sa baguette dans les mains je penche plutot pour cette hypothèse. »
« Très bien, fait ce que tu as à faire et ne la loupe pas. Dès qu’on sera debarassé d’elle, on pourra investir les lieux. »
« Alors tenez-vous pret, ce ne sera pas long… »
Le détraké qui pendant la conversation n’avait pas quitté sa cible des yeux ressere son etreinte sur la crosse. Dans le viseur toujours la tête de Bélial penché sur la paperasse, elle ne se doute de rien, le détraké tire… la fenetre du bureau se brise.
A Boudebar aujourd’hui un drame s’est produit.

Il est 9 heures donc, ce matin là et la quasi-totalité des élèves est déjà en cour, les autres dorment encore. Pour ne pas changer, Crayonne surveille une heure de colle dans la salle de defense contre les forces du bien tandis que Pini subis avec ses camarades de 4ème année, le très ennuyeux cour de pharmaceutique de Cédricus Schizofrénus. Voisin et Kamichan quant à eux, ont la chance de dormir encore. Bref personne ne se doute de ce qui trame dans l’ombre.
Teubé qui en cachette venait de passer la nuit dans les cuisines de l’écoles pour piller les reserves de bières, se remet peu à peu et se dirige vers la grande porte afin de regagner sa cabane ni vue ni connu. Quand il attrape la poignée afin d’ouvrir la porte, celle-ci se met à trembler.
Teubé : Oula… il est vraiment temps que j’aille me coucher moi, tout tremble autour de moi.
Mais contrairement à ce que pense l’elfe de maison alcoolo, ceci n’est pas l’œuvre de la boisson mais bien de puissant coup donné dans la porte. Celle ci tremble de plus en plus et les gonds commencent à fondre. Teubé recule de quelque pas, il vient de comprendre que le danger est à la porte de Boudebar. Et il fait bien de reculer, sans cela il aurait été écrasé par la puissante double porte massif de l’école qui s’effondre dans l’entrée soulevant un nuage de poussière. Ce qu’il voit le tétanise, il se retourne, cour à toute vitesse et crie :
Teubé : L’ECOLE EST ATTAQUÉE !!!!
Une horde de détraké penêtre dans l’entrée ! Ils sont des dizaines à entrer et au moins une cinquentaine dehors à pousser les autres. Les élèves et les professeurs se trouvant dans les salles de classes du premier étages c’est à a dire les moins éloignés de la porte, entendent un grondement sourd venant du bas.
Dans le bureau du professeur Lindanagall, on ne se préocupe pas, ou du moins pas encore, de ce qu’il se passe en bas. La fenêtre a volé en éclat sous l’effet d’un tir venu de dehors et a atteint sa cible… sa cible qui sans le vouloir s’est interposé au dernier moment entre Bélial et le tireur. En effet au moment même où le détraké prononçait la formule mortelle, deux yeux étranges sont apparu derriere la fenetre. Deux yeux entre lesquelles on voit un trou béant provoqué par le tir. Le sort d’attaque « snipa » a terminé sa course dans la carapace de 30cm de haut de l’escargôt géant de Péruvie qui gît maintenant, mort sur le sol.
Il n’a rien vu venir le pauvre Bavouille et c’est surement mieux ainsi. Sa carapace dont plusieurs morceaux se sont envolé sous la violence de l’impact laisse s’échapper maintenant un liquide visqueux. Un autre liquide s’échappe aussi par sa tête et son regard… non je ne vous detaillerai pas le regard de la dépouille de notre cher Bavouille. Mais son sacrifice n’aura pas été vain, sans le savoir il a sauvé la vie de Bélial Lindanagall qui elle même pourra en sauver beaucoup d’autre.
Car Bélial, calmement, s’est levée. Elle s’est dirigié vers la créature qui vient de lui sauver la vie en dépis de la sienne. Nullement dégouté par l’amas de chaire et de carapace sanglante, elle pose une main dessus et le remercie et elle en fait le serment :
« Bavouille, en ton nom il y aura des morts aujourd’hui. Ton sacrifice n’aura pas été vain. »
Bélial se releve, à nouveau elle même, à nouveau dure, à nouveau froide. Elle voit le détraké sniper au loin. Car le sniper n’a pas bougé depuis qu’il a tiré, ne comprenant pas ce qu’il s’est passé il a preferé attendre. Fatale erreur pour lui, quand on loupe Bélial Lindanagall on doit s’attendre à ce que « elle » ne vous loupe pas. Elle leve sa baguette et une puissante vague d’energie rouge s’en échappe emportant avec elle, ce qui restait de la fenêtre et même une partie du mur. Toujours l’œil collé à son viseur, le détraké voit la mort lui arriver dessus. Tétanisé, il ne peut faire un seul geste et son corps est desintegré aussitôt.
Bélial : Faible d’esprit est celui qui pense pouvoir se débarasser de moi aussi facilement. Alors comme ça Louisus s’est décidé à passer à l’action. Le temps est donc venu…
Dans les étages inférieurs Crayonne qui surveille une heure de colle voit le puissant rayon sortir de la fenetre de la directrice.
Crayonne : Qu’est ce que?!
Tout le monde sursaute en meme temps qu’elle dans la salle, c’est alors que l’alerte générale retentit dans toute l’école. Plus personne ne peut ignorer que quelque chose de pas normal est en train de se produire.
Crayonne : Restez à vos place !! Inutil de s’affoler, je vais voir ce qui se passe.
Crayonne sort alors de la salle et est bousculé aussitôt par les élèves de la salle d’à coté mené par Pini :
« Fuyez tous!!! »
Crayonne : Pini !
En entendant cela, les élèves collés s’échappent de la salle à leur tour.
Crayonne : Rah Pini reviens !
Mais Pini ne l’entend pas. Il reste à tout casser, une centaine d’élève dans l’école et certains dorment encore, mais la cohue général est suffisante pour semer un sacré bordel dans les couloirs.
L’alerte ayant été donné assez tôt, les systèmes de défense de l’école se sont mis en marche et plusieurs trappes se sont ouvertes avalant une bonne dizaine de clowns tueurs tandis que d’autres se font empalé par des pics sortit de nulle part. Teubé quant à lui est en train d’esquiver comme il peut les coups d’un détrakés en se cachant derriere une statue.
Heureusement pour lui les professeurs Gwenolafée et Jack Daniel arrivent sur les lieux en sortant leur baguette.
Jack Daniel : Mais qu’est ce qui se passe ici ! Sort d’attaque « BOUMx10 » !
Dix détrakés sont repoussés.
Gwenolafée sauve Teubé avec un « Manumilitari! » Qui attache le détraké qui tentait d’attaquer le gardien des clés.
Teubé : Merci !
Mais il en reste beaucoup d’autres et les pièges sont insuffisant pour tous les arreter. D’ailleurs un détraké démineur utilise le sortilège « Notrap » pour les desactiver une bonne fois pour toute.
Gwenolafée : « Crystal wall! »
Un grand mur de crystal magique se dresse entre eux et les détrakés.
Jack Daniel : Ca ne les retiendra pas longtemps. Ils sont trop nombreux, on doit se mettre à couvert. Dit Jack Daniel en tentant d’entrainer Teubé et Gwenolafée vers le petit escalier qui les menera à la salle des banquets.
Teubé : Que font les autres professeurs!
Jack Daniel : L’école est grande, on ne peut pas les attendre et quand bien même, ces sales clowns sont en surnombre.
Finalement ils gagnent la porte de la salle des banquets mais Gwenolafée les arrete :
Gwenolafée : Oh non !
Eh oui c’était à prevoir, quand l’alerte général sonne dans une école, les élèves ont le reflexe de vouloir en sortir. C’est pourquoi une cinquantaine d’entre eux vient de descendre par les étages pour rejoindre l’entrée principale, se retrouvant entre le mur de crystal et les escaliers menant à la salle des banquets.
Gwenolafée : Repartez vous mettre à l’abris! N’essayez pas de sortir !!!
Malheureusement les élèves n’ont pas le temps d’entendre leur professeur et se sont déjà tous retrouvé bloqué contre le mur, qui sous l’assaut conjoint des élèves d’un coté et des détrakés de l’autre, fini par ceder. Il se brise et les éclats du crystal magique disparaissent.
Les élèves se retrouvent nez à nez avec les détrakés. Des deux cotés il y a un petit moment d’hésitation sur la démarche à suivre. Finalement c’est la peur des élèves qui parle la premiere et ceux-ci commencent à pousser des cris de terreur, les détrakés s’en bouchent les oreilles tellement c’est assourdissant.
Jack Daniel : Les idiots, ils vont se faire tuer.
Gwenolafée : Pas tant que je serais là, Teubé avec moi !
Teubé doit se décider à sortir sa baguette magique toute rabougri car assez vieille, rarement utilisé et pas entretenu du tout, pour passer à l’attaque.
Tel des héros de films de cape et d’épée, Teubé et Gwenolafée sautent du parvis des escaliers en prenant appuie sur la rambarde et se retrouvent entre les détrakés et les élèves.
Gwenolafée : Partez d’ici créature du diable!!! « Syrento Malicius!!! »
Le Syrento Malicius s’inspire de la légende des syrenes qui poussaient des cris pour attirer les marins. Ce sort en est un peu l’inverse car il sert à repousser l’enemis avec un son si fort qu’il provoque une douleur aigu insuportable pour l’adversaire.
Des ondes sonores s’échappent alors de la baguette du professeur Gwenolas et la douleur des détrakés est insuportable.
Teubé : Les gamins planquez-vous dans la salle des banquets, vite!
Les élèves font alors demi-tour pour rejoindre les quelques marches de l’escalier de la salle des banquets.
Le Syrento Malicius demande un sacrée effort de la part du Gwenolafée dont le visage se crispe sous la concentration. Tandis que les élèves commencent à entrer dans la salle des banquets l’un des détrakés, malgré la douleur insuportable causé par le sort, parvient à assomer le professeur avec un sort de projection qui envoi celle-ci contre le mur.
Teubé : Merde ! Vite les enfants depechez-vous !
Le temps que les détrakés récupèrent des dommages subis par le sort de Gwenolafée, les élèves ont le temps de gagner la salle des banquets.
– Teubé, dépêcher vous ! Cria Jack Daniel en voyant Teubé hésitant.
Teubé : Et le professeur Gwenolas !
Jack Daniel : On a pas le temps d’aller la chercher et si vous ne venez pas on refermera la porte sur vous !
Teubé : Arg j’aurai bien besoin d’une diversion. ><
Comme s’il s’adressait à sa marraine la fée (qu’il n’a jamais eu) le vœu de Teubé fut exaucé sur le champ. En effet, semblant venir de nulle part Rochelderoy Belheart arriva par les escaliers… enfin arriva c’est vite dit, disons plutôt qu’il déboula comme une grosse pierre en criant « voilà la rescouuuuusse!!! ». Comme une boule de bowling il percuta les détrakés en première ligne et les fit valser.
Teubé : Que… o_o
Rochelderoy : Je suis la diversion. @_@
Teubé : Juste ce qu’il me fallait ! Pour une fois que tu peux te rendre utile, retiens les !
Pendant que Teubé courait vers Gwenolafée, Rochelderoy se relevait tant bien que mal en secouant la poussière qui avait salis ses vêtements.


Dernière édition par Redfish le Mer 26 Jan - 1:53, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Sano Rotter 5, la guerre des sorciers   Sano Rotter 5, la guerre des sorciers Icon_minitimeLun 4 Fév - 13:50

Rochelderoy : J’ai habitué mon public à de meilleures entrées que ça, ma réputation de sauveur de l’impossible va en prendre un coup… Gloups, bonjour messieurs. ^^‘
Les détrakés qui se relevaient, lançaient des regards noirs sur le professeur de stylisme Gothique.
Jack Daniel : Je vois pas l’intérêt de cette action, maintenant c’est le grand nigaud qui est en danger. -__-;
Teubé avait rejoint Gwenolafée qui se remettait un peu de son vol plané et déjà quelques détrakés avançaient prudemment vers eux.
Teubé : Professeur ça va ? N’avancez pas vous !
On dira ce qu’on veut sur Teubé, mais avec une baguette magique dans les mains il n’a jamais fait peur à grand monde, ainsi les détrakés se moquaient bien de ses menace et l’un d’eux lui décrocha une droite qui le mis à terre.
– Et que compte-tu faire petite boniche ? Dit l’un d’entre eux en affichant un air supérieur.
– J’ai toujours rêvé de goûter de l’elfe de maison… dit un autre en se léchant les babines.
– Laissez moi rentrer !!! Hurlait Rochelderoy en courant vers la salle des banquets.
Jack Daniel était bien embêté. Il fallait secourir Teubé et Gwenolafée mais d’un autre coté il ne pouvait pas laisser les élèves seuls (enfin seuls avec Rochelderoy mais c’est pas comme si il comptait).
Gwenolafée : Professeur Daniel… il faut proteger les enfants…
Jack Daniel : Grr…
Un Détraké : Ne vous inquietez pas, nous nous occuperons d’eux dès que possible…
Teubé : Daniel ! Fermez cette putain de porte !!!
Le cri de Teubé reveilla en quelque sorte Jack Daniel qui se résigna à fermer la porte pour proteger les enfants, laissant Teubé et Gwenolafée à leur triste sort.
Gwenolafée : Teubé, je suis désolé… si vous n’étiez pas venu me secourir vous auriez pu vous mettre à l’abri…
Teubé : Pas grave pour moi, mais j’aurai bien voulu être aussi habile que vous en magie pour leur filer une bonne correction. Malheureusement il ne nous reste plus qu’à attendre la fin…
Détraké 2 : T’aura pas longtemps à attendre sale nain, mes compagnons sont déjà en train de défoncer la porte. Alors crêve !!!
Le détraké leva sa baguette dont des piques magiques sortirent. Dans une fraction de seconde, la tête de Teubé serait en morceau.
« BOUM »
Venu de nulle part, une explosion propulsa le détraké contre une statue. En haut des escaliers à la gauche de Teubé et Gwenolafée, une silhouette majestueuse se dressait.
«Vous m’avez habitué à mieux Teubé, vous abandonnez le combat un peu vite. »
« Bélial ! » S’écriairent Teubé et Gwenolafée.
Bélial : On enseigne pas la fatalité à Boudebar. La sorcellerie alcoolisé n’aurait pas survécu à travers les siècles si ses plus ardents défenseurs avaient abandonné à la première occasion. Nous sommes des professeurs et nous donnons des cours à des élèves. Il n’est pas donné à tout le monde d’être le premier en classe mais qu’importe notre intelligence où notre talent, nous avons tous le pouvoir de nous en sortir. Compris ?
Teubé : Oui…
Bélial : Très bien… ALORS BATTEZ-VOUS !! BATTEZ-VOUS POUR VOS VIES!!!
Le cri de Bélial agit comme un déclic dans l’esprit de Teubé et Gwenolafée qui aussitôt se relevent et unissent leur magie pour se débarasser des détrakés les encerclant.
Chez les Détrakés c’est la surprise, ils croyaient être débarassés de la directrice de Boudebar et comprennent que la prise de l’école sera plus délicate que prévu.
Un Détraké : Elle devrait être morte !
Bélial : Pas de chance je suis en grande forme ! CAAAAATAPUUULTAS!!!!!!
Une énorme explosion balais les détrakés et une partie du mur de l’entrée, projetant les clowns tueurs sur la pelouse de l’école.
Bélial : Teubé, allez chercher Jack Daniel ! On aura bien besoin de ses talents de maître des cocktails pour nous revigorer pendant la bataille ! Rochelderoy pourra proteger les enfants tout seul, il n’est pas si mauvaix quand même !


Chapitre
C’est l’heure de se decider.


Pendant ce temps les élèves qui ne s’étaient pas réfugié dans la salle des banquets, attendaient sous les ordres de Crayonne de pouvoir sortir ou non de leur dortoir respectif.
Crayonne pouvait à sa guise se faufiler entre les salons des quatres maisons par des chemins cachés, les reliant.
Dans les dortoirs des Sakédors Pini attendait qu’elle revienne de chez les Boudsouffles.
Aoki : Pini il faut aller se battre !
Pini : Toi, je t’avais bien dis de rentrer à la maison ! L’école est attaqué tu le vois pas ?!
Aoki : Mon sort ne sera pas different du tien, jvois pas pourquoi tu aurais pu rester et pas moi… Tout les profs même Jack Daniel disent que je suis plus doué que mon grand frêre. ^^
Pini : -__– Bon toute façon tant que Crayonne est pas revenu, on bouge pas d’ici.
A ce moment justement, Crayonne refit surface par une trappe dérobé.
Tout les élèves vinrent aux nouvelles.
« Qu’est ce qu’on fait ? » « Qui nous attaque? » « On peut s’échapper? » « Les secours sont arrivés? »
Crayonne : Oh ! Pas tous à la fois !
Pini : Crayonne qu’est-ce qui se passe ?
Crayonne : Bon alors déjà, qui nous attaque. Ca c’est pas difficile à deviner, c’est ce connard de Louisus qui nous envoi ses Détrakés.
Rien qu’au mot « Détraké » la peur envahie les élèves.
« On va tous crever!!! » Crièrent certains.
Crayonne : Non pas tous quand même !
Pini : Ouh… t’as le chic pour rassurer les gens lol.
Aoki : On va pas crever sans se battre !
Pini : T’a vraiment envie d’être dans les premiers à mourir toi…
Aoki s’énerva.
Aoki : Moi je veux défendre l’école Pini ! Libre à toi de te planquer dans le dortoir ! Avec tout ce que tu as vécu, je te croyais plus courageux tu me déçois !
Pini : Moi je veux te proteger ! Plus d’une fois j’ai failli perdre mes amis, c’est pas pour perdre mon ptit frêre !!
Crayonne : On se calme ! Je vous repete ce que j’ai dis aux trois autres maisons. Il est hors de question que j’envois les élèves se battrent contre des Détrakés. Vous êtes tous sous ma responsabilité. Je ferais tout mon possible pour qu’il ne vous arrive rien… du moins tant que c’est moi qui vous protège. ^^‘
Voisin : Comment ça ? Dit Voisin qui s’était approché du groupe.
Crayonne : Eh bien… une partie des élèves s’est réfugié dans la salle des banquets. Je viens d’avoir le professeur Belheart par talkus et d’apres lui, les Détrakés sont arrivé par l’entrée principale, surprenant Teubé, le professeur Gwenolafée et Jack Daniel. Madame Lindanagall a pu repousser tout le monde dehors. Il vaut mieux tous nous regrouper et les élèves des trois autres maisons attendent mes consignes pour se réfugier dans la salle des banquets.
Pini : Voilà, on y sera à l’abris en attendant les secours !
Crayonne : Pini… Louisus a l’aval du ministre de la beuverie. A mon avis, celui-ci ne se doute pas de ce qui se passe ici… Bref, les secours ne viendront pas.
Pini : …Alors, encore une fois on est tout seul face au danger.
Crayonne : Mine de rien, ça nous a plutot réussi pendant nos quatres années. Wink
« Et puis les Détrakés ne sont pas si fort. »
Crayonne : hein?
C’était Kami-chan qui avait pris la parole. Elle était à la fenetre et observait ce qui se passait dans la plaine de l’école.
Kami-chan : Oui, on nous a toujours rabattu les oreilles sur l’horrible cruauté des détrakés à l’hopital Pikatrique. C’est sur que contre des fous bourrés de sort calmant comme Cédricus Scchizofrénus les connaît, ils peuvent passer pour de terribles sorciers. Mais contre des professeurs bourrés de talent et des élèves comme on en a ici, c’est jouable. Oh je ne dis pas qu’on a nos chances, mais l’idée d’un affrontement n’est peut être pas si folle que ça.
Crayonne : Je reconnais bien là, la nièce et filleule de Bélial Lindanagall. ^^
Kami-chan : Pardon?
Il n’y avait pas que Kami-chan qui était étonné.
Crayonne : Faut pas oublier que je suis la stagiaire personnelle de la directrice, ça lui arrive quand même de me confier des petits secrets. ^^‘
Kami-chan : Hum… je pense qu’en ses circonstances, elle ne vous en voudra pas d’avoir vendu la mèche.
Voisin : Ouah je pensais être le seul ici à avoir des ptits secrets comme ça. ^^‘
Kami-chan : Pardon?
Voisin : Euh non rien…
Voisin faisait évidemment reference au fait qu’il connaissait tres bien Saké Rotter. D’ailleurs dès que l’alarme eut retenti dans l’école, il avait essayé de le joindre par talkus, mais celui-ci n’avait pas répondu. Et durant l’attente dans le dortoir, Voisin avait repensé à un autre de ses petits secrets. Le fantome qu’il avait rencontré dans les caves de l’école et ses énigmatiques paroles. « Un grand danger menace l’école et j’ai besoin de toi pour la sauver. c’est à toi que reviens la tâche de m’amener la seule personne qui pourra sauver cette école Crayonne Badgranger. » Le fantômes avait-il prédit l’attaque de l’école par les Détrakés ? Si oui, c’était peut être le moment de lui amener Crayonne…
Mais Voisin arrêta là ses pensés pour écouter la suite de la conversation.
Crayonne : Pini tu as entendu Kami-chan, on a nos chances.
Kami-chan : J’ai pas vraiment dis qu’on avait nos chances…
Pini regarda la plaque posé sur le mur au-dessus de la cheminé qui faisait référence à son camarade.
Pini : On aurait encore plus de chance si Sano était là…
Crayonne : Justement Sano serait déjà en train de combattre ! Et moi je suis bien décidé à lui faire honneur. Alors quand tout le monde sera à l’abris, moi j’irai me battre.
Aoki : Bien dit ! Pini qu’importe ce que tu peux dire ou faire, moi j’irai aussi.
Crayonne : Tu es courageux petit Weslate, je serais honoré de me battre à tes cotés. ^^
Pini : Hey ! Si quelqu’un doit se battre au coté de Crayonne, c’est moi ! Ok je viens aussi. ><
Peu à peu les élèves reprenaient courage et d’autres voulaient se joindre à la bataille.
Crayonne : Hé oh faut pas déconner, tout les premiers et deuxiemes années iront dans la salle des banquets. Les autres je leur laisse le choix. Maintenant le temps presse, alors décidez vous ! Cria Crayonne en ouvrant la trappe qui conduisait aux autres dortoirs.
Car il était temps maintenant que tout le monde se rassemble.
Pini : J’aurai quand même bien voulu que Bavouille soit à l’abri, mais impossible de savoir où il est…

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MessageSujet: Re: Sano Rotter 5, la guerre des sorciers   Sano Rotter 5, la guerre des sorciers Icon_minitimeLun 4 Fév - 13:51

Chapitre
-

Le bureau de Louisus Malofoy à quelques minutes à dos de chocobo de Boudebar. De la fenêtre de son bureau, le directeur de l’hopital pikatrique admirait la scène. Depuis le temps qu’il attendait ce moment, il n’aurait raté ça pour rien au monde.
Louisus : Enfin l’école de Boudebar va être mienne. Des siècles de magie alcoolisé, le berceau de toute une civilisation dans ces quatres murs à porté de ma main. Il faudra plus que quelques professeurs dévoué à leur ridicule cause pour m’empecher de m’en emparer.
Louisus dut détourner son regard de la fenetre quelques instants car l’un de ses sbires venait d’entrer.
Sbire : Maître, tout ne c’est pas passé comme prévu. La tentative d’assassinat de Bélial Lindanagall a échoué. Elle est saine et sauve et prend part actuellement au combat.
Louisus : J’avais prévu cet éventualité, elle n’est pas si facil à abattre. Mais elle comme ses compagnons ne pourront pas résister longtemps à notre attaque. Surtout quand j’aurai envoyé la deuxième vague de mon armée. Mais je prend plaisir à admirer le spectacle pour l’instant, rien ne presse.
Sbire : Mais maître, ne vouliez-vous pas au plus vite débusquer Dolldemort ?
Louisus : Ah ! Dolldemort ! Dolldemort est bien morte et enterrée depuis sa timide tentative de prise de pouvoir il y a trois ans. Je n’ai jamais cru qu’elle ait pu survivre ou puisse revenir par un quelconque moyen. Je me fiche bien de Dolldemort, ce qui m’interesse c’est Boudebar.
Sbire : Oh comme c’est fourbe. *.* Et vous avez utilisé l’excuse de Dolldemort pour discrediter l’école aux yeux du ministère et pouvoir y envoyer les troupes en toute légalité.
Louisus : Bah oui je suis diabolique uhuh.
Sbire : Diabolique oui… chuchota étrangement le sbire pendant que son maitre continuait d’admirer le spectacle par la fenetre.

Et que peut on voir à la fenetre ?
Eh bien le début d’une bataille qui restera à jamais dans les anals de Boudebar. Une bataille décisive pour le destin de l’école qui se joue maintenant. Un rappel de la situation :
Rochelderoy et Jack Daniel se sont réfugié dans la salle des banquets pour y proteger les enfants. Et les détrakés qui avait penetré l’entrée de l’école se sont retrouvé expulsé manu-militari par une Bélial qui laisse libre cour à sa puissance. Le combat se poursuit donc dans la plaine en compagnie de Teubé et du professeur Gwenolafée. Ces deux derniers, bien moins puissant que Bélial preferent rester ensemble pour faire face aux assauts des clowns tueurs.
Teubé : Bélial a beau nous motiver, j’en mene pas large avec une baguette ! « Sort de protection SHIELD ! »
Gwenolafée : Courage Teubé, la bataille ne fait que commencer ! « Sort d’attaque EPEE LUMINEUSE ! »
Teubé : « sort de diversion KESESSA DERRIERE TOI !» Il me faut une autre arme !
Profitant de l’effet de son sort de diversion, Teubé partit en courant en direction de sa cabane.
Gwenolafée : Attention à vous Teubé ! ><
Epaulé par une Gwenolafée déjà bien occupé il put courir jusque chez lui et d’un coup de pied il ouvrit la porte de sa villa, si petite vu de l’exterieur mais immense à l’interieur. Tellement immense d’ailleurs qu’il ne savait pas que depuis la veille au soir, deux détrakés s’y était incrusté pour l’attendre…
Teubé : Bon ça fait quelque temps que je m’en suis pas servi, il faut que je la retrouve mais ça va pas être facil.
Oui car Teubé était plutot du genre bordelique et le sol était sans cesse jonché d’immondice… Pendant qu’il commençait à chercher son arme fétiche, les deux détrakés étaient sorti de leur cachette et sans bruit ils avançaient vers Teubé leur baguette à la main…

Dans les couloirs secret de l’école reliant les dortoirs des quatres maisons Crayonne avait fini de rassembler les élèves restant. Tout en étant attentif aux bruits qui venaient d’en haut, ils se dirigeaient vers la sortie.
Crayonne : Bon alors d’apres ce plan il nous reste encore un escalier à descendre puis faudra prendre à gauche et un peu à droite.
Pini : J’espere qu’il est bon ton plan. Et on atterit où au juste ?
Crayonne : Oh bah ça j’en sais rien, c’est pas écrit. ^^’
Voisin : Quand j’ai appris que j’entrais à Boudebar je m’attendais pas à ce genre d’excursion.
Kami-chan : Tu n’as qu’a voir ça comme une sortie extra-scolaire. Où plutot intra-scolaire puisqu’on est vraiment au cœur de l’école.
Voisin : Alors comme ça Kami-chan tu es la filleule de la directrice ?
Kami-chan : Eh oui.
Voisin : Et… c’est tout ? ^^’ Pourquoi tu me l’as jamais dis ?
Kami-chan : Tu me l’as jamais demandé.
Voisin : -__- Je connais pas tes parents mais en tout cas tu tiens surement beaucoup de ta marraine.
Kami-chan : Oui, j’ai toujours beaucoup aimé cette vieille femme acariatre. Et elle m’a beaucoup apprit. J’ai semble t’il un potientel qu’elle n’a detecté chez aucun autre de mes cousins et cousines. Enfin en tout cas c’est ce que moi je pense.
Voisin : Je me disais bien que tu me cachais quelque chose, tu m’as l’air pleine de secret…
Kami-chan : Je crois n’être pas la seule, lui répondit-elle avec un regard insistant.
Crayonne : Stooop ! Ca y est on y est ! Plus qu’une trappe à ouvrir.
Pini : En esperant qu’elle nous mène pas au cœur de la bataille…
Crayonne : Ce que tu peux être pessimiste toi !
Crayonne s’avança vers la trappe qu’elle commença à soulever.
Crayonne : Ah y’a quelque chose qui bloque.
Aoki : Attend je t’aide.
A deux ils eurent assez de force pour faire basculer l’ouverture et faire basculer aussi ce qui la bloquait. On entendit un grand fracas.
Jack Daniel : Mais qu’est ce que c’est que ça !
Crayonne : Professeur Daniel ! La trappe elle nous a mené ici !
En effet les couloirs secret menaient tout droit à la salle des banquets. Logique puisque à part son plafond pourris qui s’écroulait tout les ans, c’était surement le lieu le plus sur de l’école. Sauf que le professeur Daniel avait eu la mauvaise idée d’installer sa table de travail de potions et coktails sur la trappe.
Jack Daniel : Je suis en train de preparer une batterie de potions qui nous serons tres utile pendant le combat. J’espere pour vous qu’elles ne sont pas toute fichus !
Pini : Vous allez encore nous enlever des points ? ^^’
Jack Daniel : Weslate, pour une fois je vous épargne les points en moins mais si on s’en sort vivant je ne vous promet rien.
Ainsi tout les élèves étaient en sécurités dans la salle des banquets avec Crayonne, le professeur Daniel et Rochelderoy Belheart.
Rochelderoy : Ouf avec Crayonne et Daniel on est tous en sécurité. ^^
Euh oui enfin les élèves ET Rochelderoy étaient en sécurité grace à Jack Daniel et Crayonne.
Après une rapide concertation, ils en étaient arrivé à la conclusion qu’une trentaine d’élèves étaient assez forts et mûres pour combattre les détrakés.
D’un coup de baguette magique Rochelderoy avait teleporté de son atelier jusqu’à la salle, une penderie complete de costume.
Pini : Ouah au moins on va crever avec de belles fringues. -__-
Rochelderoy : Elles ne sont pas seulement belles Weslate. Elles sont aussi ultra protectrice, grace à des matières et des sorts de ma création. Si vous écoutiez mes cours de temps en temps vous le sauriez.
Les tenues étaient quasiment toute identiques. Faites d’un tissu aussi résistant qu’une cote de maille arborant les couleurs non pas des quatres maisons mais les couleurs de Boudebar. Le noir, le rouge, le jaune et le vert, tout cela réuni sans pour autant être ridicule. On peut même dire qu’une certaine classe s’en dégageaient.
Crayonne : Elles sont parfaites. ^^
Kami-chan : Oui au moins dans la confusion on ne risque pas de s’entretuer, fit remarquer Kami-chan en décrochant pour elle une des tenues.
Crayonne : Hep hep hep non Kami-chan. Tu es une première année tu ne combats pas.
Kami-chan : Cinq troisieme année seront tombé que moi je serais encore debout, vous le savez bien, alors inutile de pavoiser. Je ferais couler ma dose et bien plus, de sang de détrakés.
Crayonne : C’est ton sang à toi qui m’inquiete si tu es blessée la directrice risque de me le faire payer. ^^’
Kami-chan : Mais non voyons. Regardez Pini Weslate, il a survécu au professeur Vic Vasysantete, Dolldemort, la confrerie des sorciers maléfiques et bien d’autres. Alors franchement j’ai mes chances…
Pini : Eh oh n’importe quoi je…
Crayonne : Nan Pini elle a raison là-dessus v_v.
Pini : T_T

Retour vers la cabane de Teubé où notre elfe de maison préféré cherche toujours son arme fétiche dans son bordel, sans se douter que deux détrakés sont derriere lui prêt à lui faire mordre la poussière.
« Par la magie de l’aspirine, que mes adversaires se désagrègent. EFFERVESCENCE !!! »
Teubé : Hein ?
Un sort frappa de plein fouet les deux détrakés et comme un cachet d’aspirine qui se dissout dans l’eau, ils fondirent en un millier de petites bulles. Tout le mérite revient à…
Teubé : Cédricus ! ^^
Cédricus : T’as bien failli te faire avoir !
Teubé : Ouai mais t’as assuré, il est terrible ce sort !
Cédricus : C’est ça que de passer sa vie dans les médicaments, ça donne de l’imagination pour créer de nouveau sortilège.
Teubé : Ah je l’ai trouvé !
Teubé sortir de son bordel sa keyblade. Une hache-épée en forme de clé ayant des proprietés magiques.
Cédricus : Arg on va encore avoir des problèmes de copyright avec ton arme…
Teubé : Mais non personne m’a grillé la dernière fois. ^^’ Et puis j’ai vraiment besoin d’une arme là.
Cédricus : Justement Teubé… toi et ton arme vous me seriez bien utiles là.
Teubé : Que veux-tu dire ?
Cédricus : Et bien, dit Cédricus en regardant par la fenetre, les détrakés nous attaquent en ce moment même et tu sais à quel point j’ai un compte à regler avec eux.
Teubé : Hum oui je sais bien que t’en a bavé pendant ton séjour à l’hopital pykatrique, même si tu ne m’en as jamais vraiment parlé…
Cédricus : Ca te dirais de voir à quoi ressemble l’hopital vu de l’intérieur ?
Teubé : Hein ??
Cédricus : Oui Teubé, j’ai un compte regler là bas et j’ai besoin d’un compagnon d’arme.
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MessageSujet: Re: Sano Rotter 5, la guerre des sorciers   Sano Rotter 5, la guerre des sorciers Icon_minitimeLun 4 Fév - 13:54

« HIGH JUMP ! »
Retour dans la pleine où la bataille fait toujours rage entre Bélial Lindanagall, Gwenolafée Legolas et la trentaine de détrakés restant. Bélial qui a fait un saut de haute voltige pour atterir pres de Gwenolafée.
Bélial : Où diable est parti l’elfe de maison ?
Gwenolafée : Il s’est dirigé vers sa cabane je crois. Il voulait y recuperer une arme plus efficace pour lui.
Bélial : Aie aie aie on va encore avoir des problemes de copyright. « ACID MOLARD ! » (je vous épargne la description de ce sort)
Gwenolafée : Mais j’ai vu le professeur Skizofrénus descendre de son rateau volant à coté de la cabane. Quand ils reviendront ça nous fera un combattant de plus.^^
Bélial : Ah bah il aura trainé celui là. Faudrait qu’il arrete de s’inoculer le sort Lexomilus il serait peut etre moins mou.
Gwenolafée : Justement les voila qui ressortent !
En effet Teubé et Cédricus sortaient de la cabane et se dirigeaient vers… la sortie de l’école.
Bélial : MAIS OU EST-CE QUIL VONT LA ?!!!
Teubé au loin : Désolé Bélial, on a un truc à faire ! ^^’’’
Bélial : Rah les pleutres !!!
BAAM
Bélial, Gwenolafée et les détrakés se retournent vers l’origine de ce bruit puissant. C’est la porte de l’école qui a sauté (oui elle avait déjà sauté, mais pour l’effet de surprise ils l’ont remonté à la va vite) dévoilant Crayonne avec les élèves prêt à combattre.
Bélial : Oh ce n’est qu’eux, j’ai cru à de vrais renforts.
Crayonne : Nous voila ! STORM GUST !
Un trou magique apparaît dans le ciel au dessus des détrakés et il en sort des flocons de neige, le tout se transformant rapidement en une véritable tempête.
Pini : Ah ah ça va les refroidir. ^^
Aoki : Sors plutot ta baguette grand frêre !
Le groupe d’élève couraient à toute vitesse vers leur deux professeur. Dorénavent ils étaient à égalité avec les détrakés niveau quantité, restait à voir ce que donnerait la qualité.
Bélial : J’ai pu sauvé Teubé et Gwenolafée mais je ne sais pas si je pourrais tous vous sauvez, vous qui vous jetez dans la gueule du loup.
Crayonne : Rah on en a tellement discuté que j’en ai mal à la tête ! On a décidé de se battre alors c’est pas maintenant qu’on va reculer !
Bélial : Oh vous osez me tenir tête ? Ma foi cela rajoutera des points dans votre rapport de stage…
Bélial s’était interrompu en voyant Pini. Elle avait encore sur ses vêtements le sang de Bavouille, tombé sous l’assaut du détrakés sniper quelques minutes auparavant. Elle jugea que pour l’instant le moment était mal choisi pour lui parler de ça.
Kami-chan : Tenez maraine, voici des potions pour soulager vos blessures et votre fatigue. J’ai aussi une tenu protectrice de Rochelderoy. J’ai la même chose pour le professeur Gwenolas.
Bélial : Oh petite peste ! Vous osez m’appeler marraine ?
Kami-chan : La mèche a été vendu, je le crains. Notre lien de parenté n’est plus un secret.
Bélial : Ma filleule tout fout le camp dans cette école, rappelez moi de vous inscrire dans un établissement digne de ce nom l’année prochaine.
Pini : Bon les aristos, pendant vos longues phrases bien faites et tout, les détrakés ont eu le temps de se remettre. -__-
Oui les détrakés avaient eu le temps de se remettre et de former une ligne. C’est maintenant deux lignes de front qui se faisaient face. Les élèves se battaient pour leur vie et pour leur école. Devant eux des clowns tueurs cruels aux ordres de Louisus Malofoy, lui-même couvert par le ministère de la beuverie croyant que le directeur de l’hopital pikatrik ne se livrait qu’à une simple perquisition pour retrouver Dolldemort, alors que celle-ci jusqu'à preuve du contraire est bel et bien morte…
Les deux clans se font face, chaque combattant a à sa charge, un ou deux enemis en face de lui. Certains ont leur balais à porté de main, pret à commencer un combat dans les airs. D’autres élaborent des tactiques et des stratégies tout en essayant de trouver le point faible de son adversaire. Mais en tout cas, tous attendent le moment propice, la lueur dans les yeux de l’autre ou bien tout simplement la charge de leur chef, pour se lancer dans le combat. Une chose est sur, la pelouse de Boudebar quittera bientôt sa couleur verte, pour un rouge sang.


Chapitre
Les premières gouttes de sang.


Bélial : Mes chers élèves et chers confrères. Plus que jamais il est temps maintenant de mettre en pratique, tout ce que vous avez appris à Boudebar. La bataille va faire rage, mais si vous êtes resté parmis nous jusque-là, c’est que vous y étiez prêt ! Parmis vous se trouvent des sorciers qui assurement, se feront un nom plus tard. Se trouvent également les descendants de grandes familles de la sorcellerie alcoolisé. Fini l’époque ou seul Sano Rotter et ses trois compagnons se battaient pour la survie de l’école. Dorénavant, c’est à chacun d’entre vous que cette tache est confiée. Ce ne sera pas chose facile certe et… zut en général j’ai toujours Rochelderoy pour me dicter la suite de mes discours mais il est resté à l’intérieur. Hum… bref… Que le sang coule pour notre monde et notre fierté. Bastooooooon !
« OUAAAAAAAAAI »


La bataille commença. Les adversaires s’empoignaient tandis que d’autres restaient à distance pour jeter les sorts mortels. Les potions de Jack Daniel et les habits de combat de Rochelderoy étaient à n’en pas douter, un atout sûr pour le clan Boudebar. Ceux ci apportaient un surplus de puissance magique et de protection à leur porteur. Les détrakés n’étaient pas si bien équipé mais la plupart étaient naturelement plus puissant. Bref les forces s’équilibraient.
Bélial se défendait on ne peut mieux et l’on avait pas trop de soucis à se faire pour elle. Crayonne, restait au coté des élèves les plus faibles qui avaient malgré tout choisi de combattre. Au fil du temps elle avait developpé ses pouvoirs de magie de soutien. Pini, lui avait choisi la voie des airs sur un rateau, ce qui lui permettait, en plus de combattre les détrakés en vol, de garder un œil sur son petit frêre resté au sol et de l’aider. Gwenolafée en tant que seul autre professeur prenant part à la bataille s’occupait des blessés comme elle pouvait à l’aide d’autres élèves spécialistes de la guérisons. Plus que dans un contrôle ou un examen de fin d’année, ce combat pour la survie dévoilait les talens de chacun des élèves. Je ne peux vous décrire ici, tout les sorts lancés et les techniques utilisés, l’écriture n’étant pas le meilleur moyen de décrire le combat d’une soixantaine de personne je me contenterais des protagonistes principaux.

Pini volait en rond dans les airs tout en tentant de neutraliser les détrakés qui entraient dans son champs d’action. Mais le risque était grand de toucher ses alliés il agissait donc avec beaucoup de précaution.
Pini : Rah moi jsuis plutot un bourrin, c’est pas évident de bien viser une cible.
Détraké : Y’en a un sur un balai ! Butez le !
Pini : Oups je crois que ça m’était adressé… Viens y si t’es un sorcier, sale mollusque !
Le détraké le prit au mot et fit un venir à lui un rateau. Enfin pas vraiment un rateau.
Les détrakés n’utilisait pas des rateaux volant mais des fourches volantes, plus agressives et rapides.
Pini : Oh il enfourche une fourche ! Tien c’est pas facil à dire « il enfourche une fourche ». c’est comme ta chatte m’épatte ou ta touf m’étouffe. ^^’
Mais pas le temps pour les jeux de mots, le doyen des élèves prit de l’altitude pour distancer le détraké.
Détraké : « laséro ! » « boum ! » « mortemus ! »
Pini évitait les sorts comme il pouvait. Il avait toujours été très bon en vol mais éviter des sorts lancé par derrière n’était pas chose aisé.
Pini : « marre d’huile ! »
Une nappe d’huile s’échappa de l’arriere du rateau de Pini, mais n’étant pas sur le bitume la marre ne fit que retomber sur le sol.
Détraké : Ah ah ! Pauvre idiot tu te crois sur la route ?!
Mais la chance étant du coté de Pini, l’huile atterit sur un élève de Whiskytard qui s’appretait à lancer un sort. Son bras fut dévier par la chute de celui-ci et le sort frappa le détraké en vol.
Pini : Ah ah ! C’était entierement calculé ! (par le fruit du hasard)
Détraké : C’est pas suffisant pour m’arreter, ça me donne juste encore plus envie de te tuer !
L’ainé Weslate savait bien que ce tour de passe n’aura pas suffit mais il en avait profité pour effectuer un virage à 180 degrés afin de se retrouver, à bonne distance, face à face avec le sorcier fou.
Pini : « Ikea ! »
Détraké : Qu’est-ce que c’est que ce sort -__- ?
Le détraké fut surpris quand sa fourche volante se disloqua en pièces détachés par l’effet du sort de « démonte-tout ». Il tomba alors avec les pièces détachés de sa fourche.
Détraké : Ah quel sale tour ! « castorama ! »
La fourche se reforma, plus résistante que jamais.
De la cohue d’en bas on entendit Bélial crier « choisissez bien, choisissez But ! ». Tous se retournèrent vers elle.
Bélial : Mais enfin quoi, dans ces cas là on est obligé de citer trois marques non ?

Pini : Le prochain coup tu t’en relevera pas ! cria Pini en fonçant sur son enemi.
Détraké : Tu peux toujours rever ! répliqua le détraké qui fonça lui aussi sur son adversaire.
Pini se rappela alors la technique qu’il avait utilisé autrefois contre Loico et qui s’était révelé plutot concluante. D’un geste de sa baguette, celle de son enemi se transforma pour un bref instant en violon.
Pini : Mais dis moi ! Pourquoi es-tu aussi violon ?
Bien entendu cette pinade pourri fit mouche une fois de plus et déconcentra fatalement sa cible. Pini en profita pour prononcer une formule qui transforma sa baguette en massue et de toute sa force il frappa la tête du détraké qui en perdit surement une partie de son précieux maquillage de clown avant de s’écraser dans le lac.
Crayonne : Pini a eut le premier ! On peut y arriver !
Cet encouragement pour la Boudebar’s team motiva encore un peu plus les troupes au grand damn de Bélial qui à dire vrai avait déjà eu les cinq premier (mais bon dans pareil condition elle pensa que son honneur passait après le reste).
« schling ! »
Aoki, nullement déconcentré par l’exploit de son frêre était au prise baguette contre baguette avec son adversaire.
Détraké : Tellement pressé de mourir nabot ?
Aoki : grr pas aujourd’hui non.
Le détraké sortit un long poignard de sa veste et Aoki évita de justesse la lame tranchante, non sans y perdre quelques cheveux au passage.
Aoki : c’est pas loyale ça !
« Aoki ! »
Un camarade de classe d’Aoki, à dire vrai, le gros dur de sa classe sortit d’une poche quelque chose qui ressemblait à un revolver et le lui jeta.
Aoki : Caillerus c’est pas le flingue magique que Teubé t’a confisqué en début d’année ? L’arme dans laquelle il suffit de mettre sa baguette pour lancer des projectiles magiques ?
Caillerus : Ouai c’est celle là, il me l’a rendu contre des photos volés de Rochelderoy au toilette.
Aoki hésita un tout petit instant (en même temps en plein combat c’était déjà un miracle qu’il puisse avoir une conversation avec un camarade) il hésita donc un instant sur le fait d’utiliser une telle arme dans un combat mais bon face à adversaire avec un poignard, tout les coups devaient être permis. Il insera donc sa baguette dans l’objet et un premier projectile magique en sorti presque instantanément. N’ayant pas eu le temps de viser c’est un autre détraké qui fut touché.
Il faut savoir que ce genre d’arme n’est pas tellement comparable à ce que nous connaissons, nous les boidelos. Les projectiles qu’elle projette ne sont en aucun cas mortelle mais peuvent quand même faire mal. On peut les comparer à des pistolets à billes pour ce qui est de la douleur qu’ils infligent. Sauf qu’à la place de billes en plastiques se sont des billes de puissances magiques concentrés. Aoki visa ensuite son adversaire initiale qui fit ricocher un premier projectile contre son poignard mais ne put éviter le deuxième qu’il reçut sur le front.
Détraké : Aïiiiiieuuuuuu ! Mais ça fait super mal ton truc ! ><
Aoki : Cool. ^^
Caillerus : Bien joué Aoki !
Ce moment d’inatention fut hélas dramatique pour Caillerus.
« Occupe toi plutôt de TON adversaire, avorton ! « DECHIQUETAS ! » dit le détraké contre qui il combattait.
Une lumière jaillit de la baguette du détraké. Tout sembla aller au ralenti. Le sort atteignit l’épaule de Caillerus et sembla s’y engouffrer. Un courant electrique parcouru le bras de la victime et…
Aoki : Noooon !!!
Le bras gauche de Caillerus vola en éclat dans une gerbe de sang et de muscles déchiquetés le tout accompagné d’un grondement semblable au bruit du tonnerre.
Le cri de douleur de Caillerus résonna dans toute la plaine et personne ne put l’ignorer.
Aoki : Caillerus ! « SHIELD »
La bulle de protection enveloppa l’élève qui gisait à genoux sur la pelouse sur laquelle son sang se répandait.
Bélial : Crayonne ! Un blessé à 4 mêtres nord ouest de vous !
Bélial dictait ses ordres comme une militaire afin d’être la plus efficace possible.
Crayonne : « bélier !»
Le sort de Crayonne lui permit de se frayer un chemin dans la foule tout en la protegeant. Rapidement elle penetra dans la bulle de protection dans laquelle se trouvait Caillerus.
Crayonne : Ne t’inquiete pas Caillerus. « anesthigo ! »
Durant ses aventures avec Sano, Crayonne avait déjà vu du sang mais il faut dire que cette blessure l’impressionnait. Dans la panique le sort d’anesthésie ne fut pas aussi puissant que Crayonne l’aurait voulu et Caillerus souffrait toujours beaucoup. Ce n’était plus un cri qui sortait de sa bouche mais un rale haletant.
Une nuée d’élève prit place autour de la bulle de protection offrant des boucliers supplémentaire. Mais malgré ça Crayonne ne savait que faire, elle commençait à perdre ses moyens devant tout ce sang.
Crayonne : je… je ne… je n’y arrive pas !
Bélial : Crayonne ! Rentrez le à l’intérieur ! « Fire way, road to protection ! »
Quand Bélial utilisait des techniques de haut niveau ça valait le coup d’œil, du jamais vu dans un volume de Sano Rotter ! Son sortilège de soutien trancha une route de flamme mortelle que seul les personnes du coté des justes pouvaient utiliser. Cela permis à Crayonne d’emprunter ce chemin en portant Caillerus sans que les détrakés ne puissent l’atteindre sous peine d’être brulé vif.
Pendant ce temps Bélial préparait déjà une réplique dont elle seule avait le secret.
Bélial : Quant à toi immonde détraké c'est une road of destruction que je te prepare pour avoir ainsi mutilé un de mes élèves...
Aoki : Non laissez le moi ! l'interrompi Aoki qui était entré dans une colère noire.
"N'essaie pas de laisser tomber notre combat !" l'interrompi son enemis furieux d'être ainsi laissé de coté.
Aoki : Très bien vous serez alors tout les deux emportés. dit Aoki les yeux devenu vitreux et un cercle magique apparaissant autour de lui.
Aoki : La botte secrete des Weslates "faille intemporelle ! Que la malediction du temps vous emporte !!!"
Personne ne comprit vraiment ce qui se produisit alors. un trou noir sorti de nulle part et de ce trou noir sortit des chaines qui vinrent emprisonner les deux clowns tueurs avant de les aspirer on-ne-sait-où.
autre détraké : Par le démon ! Quel est ce maléfice !
Bélial : Par moi ! Oui jeune Weslate quel est donc ce tour ?
Mais Aoki ne put répondre, effondré par cet effort magique il s'écroula.

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MessageSujet: Re: Sano Rotter 5, la guerre des sorciers   Sano Rotter 5, la guerre des sorciers Icon_minitimeLun 4 Fév - 13:58

Un détraké : Celui-ci est dangereux butez le avant les autres !
Pini :Aokiiiiiiii !!!
Pini qui de loin avait vu la scène accouru à la rescousse de son petit frêre. Toujours sur son rateau il fit un piqué vers lui et amorça une fort belle maneuvre. Tout en atterissant, il attrapait le manche de son rateau pour s'en servir de baton de combat en criant une formule de propulsion turbo qui eut pour effet de transformer les griffes de son rateau en un réacteur surpuissant.
Le coup qu'il décocha avec son moyen de locomotion devenu une arme envoya trois détraké en même temps dans les airs avec un fracas assourdissant.
Puis rapidement il emporta son frêre en rateau, redevenu simple moyen de locomotion, pour le déposer devant l'entrer de l'école où arrivait à peine Crayonne portant toujours Caillerus.
Crayonne : Pini qu'est-ce qu'il s'est passé ?!
Mais Crayonne n'eut pas le temps de finir sa question que son meilleur ami était déjà reparti au combat.
"Sacré Pini se dit-elle, c'était surement lui le moins motiver pour combattre et finalement il rivalise avec Lindanagall."
Mais une voix familière l'interrompi dans ses pensés.
"Miss Badgranger, par ici !"
C'était le Dr Green enfin sur les lieux qui l'appelait depuis l'entrée de la grande salle.
Crayonne se depecha de trainer les deux élèves jusqu'a la porte.
Crayonne : Dr Green enfin vous voila !
Dr Green : Oui bah vous savez bien que depuis Sano Rotter n'est plus à l'école j'ai beaucoup moins de boulot, donc j'ai ouvert un cabinet à Cognac sur saké, alors le temps d'arriver tout ça...
Crayonne : Rah mais jm'en fous, aidez moi à porter ces deux là !
Jack Daniel qui avait deplacé sa table de travail non loin de l'entré de la salle vit les deux arriver.
Jack Daniel : Qui va là ? (il voit les deux élèves dont l'un avec le bras arraché) Oh mon dieu ! (il se tourne vers les jeunes élèves restés dans la salle pour se proteger.) "sort de diversion : « kecessa derriere vous ??? »
Tout les élèves se retournent, puis il s'adresse à Crayonne et au medecin de l'école.
Jack Daniel : Planquez les par là, faut pas que les jeunes voient ça !
Une apparition de tente magique plus tard, en guise d'hopital de fortune et une fois Aoki et Caillerus au bon soins du Dr Green, Crayonne est prete à repartir au combat.
Jack Daniel : Emportez ces potions avec vous, elles redonneront un peu d'energie à nos troupes.
Rochelderoy : Oui et prenez aussi ces nouvelles tenus (il lui envoie par sort de levitation, une trentaine de tunique qui ont vite fait d'écraser la pauvre Crayonne). J'ai remarqué un défaut de couture sur les autres, on ne peut pas les laisser se battre avec des vêtements qui ne sont pas parfais !
Jack Daniel : Rah Rochelderoy si vous étiez un élève je vous enleverai des points !
Rochelderoy : Pardon ?
Crayonne : c'est bon je peux y aller là ?
Depuis qu'elle était revenu, quelqu'un au fond de la salle observait Crayonne. C'était Voisin. Il était très angoissé depuis le début de la bataille et savait qu'il avait un role à jouer dans tout ça, mais il n'était pas sur de lui. En même temps Crayonne était là et elle risquait de se faire tuer en plein combat si elle y retournait. Si le fantome avait dit vrai quelque mois auparavant se serait de sa faute à lui, Voisin Sakdoss si l'école n'était pas sauvé.
Alors du fond de la salle il se précipita à la rencontre de la stagiaire en défense contre les forces du bien.
Crayonne : Désolé pour les tuniques professeur Belheart mais j'ai un peu peur de faire une cible facil si j'emporte tout ça. ^^'
Voisin : Crayonne !
Crayonne : Bon allez j'y retourne !
Voisin : Crayonneuuuu !
Voisin avait attrapé Crayonne par le bras.
Crayonne : Roh quoi Sakdoss ! Tu vois pas que je suis occupé là ?!
Voisin : Je sais mais c'est important ! >< Je te prendrais juste deux minutes stp !
Crayonne : Bon vient avec moi tu m'expliquera ton problême en route -___-. Jte jure ces mômes...


Chapitre
Les deux stratégies.


Crayonne et Voisin franchirent la porte de la salle des banquets et se retrouvèrent à l'abris des oreilles indiscrètes.
Crayonne : Je t'accorde trente secondes.
Voisin : Argh. Euh bon écoute, enfin écoutez, je sais que ça va vous paraitre bizarre, mais je sais quelque chose que surement personne ici ne sait.
Crayonne : T'as encore 25 secondes pour dire n'importe quelle connerie que tu veux mais si c'est de ce niveau là, je pense qu'on va s'en passer hein !
Voisin : Non attend j'ai pas fini ! Ecoute tu peux me faire confiance ! Ca concerne tout ça, tout ce qu'il se passe en ce moment. Je savais déjà que quelque chose allait se produire.
Crayonne : Hum... oui... disons qu'il y a 80% de chances que tout les ans une guerre éclate dans l'école donc en pensant ça tu prend pas beaucoup de risques.
Voisin : Je le sais parce qu'on me l'a dit !
Crayonne : Rah ! On a pu le temps pour les mystères là ! Les profs (enfin deux profs) et les élèves sont peut être en train de se faire tuer dehors, dont, je te le rappele ta camarade Kamichan alors franchement si tu pouvais m'expliquer clairement et rapidement ce que tu essais de me dire, ça me ferait gagner du temps. Parce que là tu vois j'ai des potions pleins les bras qui attendent d'être bu par nos compagnons pour leur redonner des forces et…
Voisin : "transportass boudebar team!"
Sous l'effet de la formule prononcé par Voisin le stock de potion que portait Crayonne lévita et parti en direction de la plaine.
Crayonne : Mais ! Qui t'a autorisé à...
Voisin : Suis moi.
A cet instant Crayonne vit dans les yeux de Voisin une lueur qu'elle ne connaissait que trop bien. La même étincelle qui brillait dans le regard de Sano quand il était sûr de lui. Alors abandonant tout bon sens elle prit la decision de le suivre sans poser de question...
Crayonne : ...comme une pigeonne qui ne sait pas resister à un regard comme celui-ci.
Voisin : Gné ?
Crayonne : Rien laisse tomber...
Dehors alors que la bataille faisait toujours rage, personne ne remarqua les deux silhouettes, protegé par un sort d'invisibilité de toute façon, qui étaient sorties par le trou béant de l'entrée de l'école pour longer le mur de l'enceinte en direction de l'entrée des caves.
Crayonne : Si tu m'emenes encore promener ton chien zombi jte stupefix. -__-
Voisin : Mais non, dis moi plutôt tu as toute les clés de l'école sur toi ?
Crayonne : Tu m'as pris pour Teubé ou quoi ? Et pourquoi cette question d'abord ? Si tu me disais où tu m'emmenes se serait déjà plus facile !
Voisin : On va dans les caves de Boudebar.
Crayonne : Dans les caves ? Pourquoi faire, y'a un item secret genre saké sacrée dedans ? Un truc qui pourrait nous aider à remporter la victoire ?
Voisin : Ca j'en sais rien, tu lui demanderas...
Crayonne : Gné ? A qui ?
Voisin : A la personne qui m'a envoyé te chercher !
Tout en parlant ils étaient arrivés devant la porte des fameuses caves, derrière laquelle se trouvait un long escalier qui menait au reserve d'alcool de l'école.
Voisin : Si t'as pas les clés faut trouver un moyen de défoncer la porte !
Crayonne : C'est du vandalisme... laisse moi faire. "the lock !"
"click"
Crayonne : Connaissant Teubé un sort aussi simple est plus facile à prononcer pour lui que de trouver la bonne clef dans le bordel qui lui sert de trousseau.
La porte grinça alors et la lumière du soleil éclairait quelque peu le long escalier sinueux qui menait en bas.
Crayonne : j'espere que tu sais où tu m'emmenes parce que je connais pas trop les caves moi, c'est un vrai labyrinthe là dedans. "lumos !"
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MessageSujet: Re: Sano Rotter 5, la guerre des sorciers   Sano Rotter 5, la guerre des sorciers Icon_minitimeLun 4 Fév - 14:05

Pendant que les deux s'engouffrait dans l'escalier, à une centaine de mêtre de là, la bataille continuait de faire rage. Les potions de Jack Daniel qui étaient bien arrivé à destination avait quelque peu revigoré les guerriers et pour éviter un autre bras arraché, Gwenolafée, Bélial, Pini et quatre autres élèves de 4ème années dont Binasse Ventrapatte s'était répartie la trentaines d'élèves trop tôt devenu des soldats. Chaque groupe avait amorcé une sorte de formation en V avec leur tête leur chef de groupe qui assurait ainsi à ses compagnons de guerre un minimum de protection tout en dictant les sorts offensifs les plus appropriés.
Bélial : Que les groupes se dispèrsent ! Nos enemis n'ont aucune organisation, ils ne s'attendaient surement pas à ce qu'une résistance s'organisent aussi vite. Nous devons concentré tout nos enemis en un même point pour les prendre en sandwich et je vous prie de me pardonner cette expression.
Gwenolafée : Madame la directrice, si je puis me permettre, tout à l'heure j'ai effectué le sort "sirento malicius" ce qui a plutot bien fonctionné sur les clowns. Ils semblent fort sensibles aux cris puis-je suggerer de...
Bélial : Bonne idée ! Que tout ceux qui savent utiliser ce sort l'applique maintenant ! "SYRENTO MALICIUS !"
Gwenolafée : "syrento malicius !"
Binasse : "syrento malicius !"
Pini : "syrento..." ah merde nan moi jle connais pas ^^'.
Tout comme dans l'entré de l'école quelque minutes auparavant des ondes sonores accompagnés de cris s'élevèrent non pas d'une seule baguettes mais de plusieurs.
Les détrakés se bouchèrent une fois de plus les oreilles tant bien que mal en se tordant de douleur, ce qui permis aux huit groupes de les encercler petit à petit.
La partie n'était pas gagné pour autant mais ça facilitait quelque peu le combat pour les défendeurs de l'école.
Kamichan au coté de Bélial : D’accord ça marche plutot bien. Mais nous ne pourrons pas les tenir ainsi indéfiniement. Que ferons nous quand nous aurons épuisé toute nos forces ?
Bélial : Et bien si vous avez une meilleure idée ma detestable filleule, il serait temps de nous en faire profiter ! Pour l’instant on se contente de les immobiliser pendant que les autres combattant leur assenes des sorts d’attaques suffisament puissant pour je l’espere en mettre quelques uns k.o. Prions pour que ce temps gagné soit suffisant…
Kamichan : Suffisant pour des secours vous voulez dire ? Crayonne Badgranger semblait dire tout à l’heure que personne ne viendrait à notre aide.
Bélial : C’est bien mal LE connaître…
Kamichan décida d’arreter là la conversation pour se concentrer sur le sirento malicius qui demandait un effort physique conséquent.

Dans le bureau du directeur de l’hopital pikatrique, on s’impatientait quelque peu.
Louisus : Bon d’accord, ils se défendent pas si mal. Ils élaborent des stratégies… vous vous rendez compte, des stratégies ! Quel déshonneur pour la sorcellerie alcoolisé d’en arriver à de telles bassesses.
Il finit par détourner les yeux de la fenetre pour rejeter un coup d’œil au plan qu’il avait sur son bureau.
1. Approcher sournoisement Boudebar.
2. Défoncer la porte en hurlant.
3. Tuer tout le monde.
Louisus : Certes mon plan n’est pas des plus élaborés mais en même temps c’est un patient qui l’a rédigé lors d’un atelier loisir. -__- Bon en plus pour cette premiere vague j’ai vraiment envoyé les fonds de tiroir à chaussettes de mon armée…
Sbire trainant dans le bureau : Si vous envoyez la deuxième vague tout de suite, l’école sera à vous en moins de deux et vous aurez la tête de Lindanagall sur un plateau.
Louisus : Rah non c’est trop barbare et puis même voir mon armée se faire laminer c’est quand meme divertissant. Je ne suis pas tellement inquiet pour la suite du combat, juste un peu déçu par son commencement. J’enverrai le reste des troupes plus tard quand il le faudra vraiment. Et puis tout ne repose pas sur mes troupes, j’ai quand même un traître fait maison dans la place… il agira quand je lui en aurai donné l’ordre. Depuis le temps qu’il fait parti de Boudebar tout en restant sous mes ordres il n’attend que ça.


Chapitre.
A la rencontre du fantôme.


Crayonne et Voisin avait précautionneusement descendu les marches du long escaliers, leur baguettes éclairant les alentours.
Crayonne : Maintenant qu’on est en bas on devrait pouvoir trouver l’interrupteur. On y verra plus clair.
Voisin : Ouai enfin façon de parler, disait Voisin en éclairant les alentours avec sa baguettes, la derniere fois que je suis venu ici on a tous pu constater à tel point Teubé ne savait pas changer des ampoules electriques moldus. On aurait du l’embarquer aussi d’ailleurs.
Enfin ils étaient arrivé au bas de l’escalier et les interminables allées des caves de Boudebar s’offraient à leurs vues. L’endroit était aussi bordélique et délabré que la dernière fois que Voisin y avait mis les pieds lors de la visite organisé par le professeur Sevycious. Les tags dessiné par Teubé lors de ses longues soirées de beuverie étaient toujours présent et les ampoules au plafond toujours aussi peu nombreuses à fonctionner.
Crayonne : Si seulement… hélas d’apres Lindanagall Teubé s’est barré au tout début de la bataille avec Cédricus Skizofrénus. J’ai une petite idée de où ils ont pu aller et m’est avis que c’est une grosse connerie. Enfin bref…

Voisin : Je l’ai trouvé !
Voisin parlait de l’interrupteur qui une fois enclenché illumina toute les parties des caves dont les ampoules fonctionnaient encore.
Crayonne : Une si belle architecture, quel gachis. >< Hé où tu vas Sakdoss ?!
Voisin : Là ou je l’ai rencontré la premiere fois, me semble que c’était par là.suis moi !.
Voisin emena Crayonne vers une des allées sineuses et sombres dans lesquelles, à perte de vue, des étagères abritaient des bouteilles ayant traversés les siècles.
Voisin : Maintenant qu’on y est, je pense que je peux t’en dire plus.
Crayonne : Oui vas-y… chuchota une Crayonne pas rassuré du tout et déjà prete à sortir sa baguette.
Voisin : Ca s’est passé le jour où le professeur Sevicious a emmené un groupe d’élève ici pour une visite chiante au possible. La poussière m’a fait eternué et bêtement j’ai été viré du cour. Et pendant que je cherchais la sortie une voix m’a appelé…
Crayonne : Une voix ?
Voisin : Oui alors jme suis approché et j’ai commencé à parler avec… cette voix.
Crayonne : Jme demande si les détrakés sont pas venu ici pour t’enfermer dans leur hopital en fait…
Voisin : Roh mais non ><. Bon et en fait cette voix, elle m’a dit qu’un danger menaçait l’école et que tu étais la seule personne à pouvoir nous sauver tous !
Crayonne : Gné ? Jvois pas pourquoi moi seul pourrais sauver… attend. Tu m’as pas dis d’où provenait cette voix.
Voisin : Ah eu bah justement jvoulais pas en parler ^^’. Et c’est bien à cause de ça d’ailleurs que j’ai gardé ça pour moi jusqu'à maintenant, parce que j’ai eu du mal à le croire au début et…
Crayonne : Répond !
Voisin : >< C’était un fantôme !
Crayonne : Crétin ! A Boudebar on ne fait SURTOUT pas confiance aux fantômes ! Crois moi ils sont rarement ici avec de bonnes intentions.
Voisin : Oh alors jte dis que j’ai vu un fantôme et tu me crois ?
Crayonne : Sano et moi on a déjà eu à faire à un fantôme et il voulait nous tuer. (enfin surtout lui)
« experliarmus !»
La baguette de Crayonne sauta en l’air et alla rouler sous une armoire de bouteille.
Crayonne : Merde !
Au loin deux silhouettes, dont une venait de jeter le sort désarmant, sortirent peu à peu de l’ombre.
« Badgranger, ça fait plaisir de se revoir. »
« Oh oh, dit l’autre voix. Même si on est plus à l’école tu as bien retenu tes leçons d’hypocrisie Aco. »
Crayonne : Aco et Lyte…
Voisin : Qui ça ?
Aco pointa sa baguette sur Voisin.
Aco : On te veut aucun mal à toi alors ne t’avise pas de sortir ta baguette, on t’a à l’œil.
Crayonne : Aco et Lyte, bande d’enfoiré qu’est-ce que vous foutez là ?!
Lyte : « Courbaturis ! »
Une rayon noir sorti de la baguette de Lyte et frappa Crayonne, qui sous l’effet du sors de courbature puissance 10 s’écroula au sol en criant.
Lyte : Un peu de respect sale petite rate de bibliothèque. Où veux-tu qu’on soit à part ici dorénavant ?
Aco : Oh bien sur toi et tes potes les « défenseurs du bien » vous êtes bien tranquilement en stage à continuer votre cursus scolaire. Alors que pour NOUS c’est foutu !!!
Un autre rayon noir sorti aussi de la baguette de Aco et infligea à Crayonne des douleurs supplémentaires.
Voisin : Laissez là !
Lyte : « boum ! »
Voisin fit un petit vol plané et percuta une autre étagère massif
Lyte : On t’a dit de te tenir tranquil toi. Au prochain mot de trop c’est la mort qui t’attend. Laisse les grandes personnes s’expliquer entre elles…
Aco : Enfin… « grande » c’est un grand mot pour toi Crayonne, petite naine péteuse.
Un surplus de courbaturis fit souffrir Crayonne encore un peu plus.
Lyte : Quand les agents du DESASTRE et ta click d’empaffé vous avez arreter la confrérie des sorciers maléfiques…
Crayonne qui peut à peine parler : Je l’ai… je l’ai su après oui… il y a avait ton père parmis eux.
Lyte : Oui il y avait mon père !!! Je detestais cette pourritue de père, certe. Mais sais-tu ce que ça fait d’avoir un père déclaré comme mage noir dans son CV ? Bah vois-tu ça fait tache. Alors le jour où je me suis présenté à mon stage je me suis fais refoulé ! Toute ma carrière de sorciers est fichu !
Aco : Quant à moi je devais effectuer ma période de stage chez Redingott le marchand de robe de sorciers du chemin de dégrisement. Redingott qui ? QUI ?
Crayonne : Aaaaaaaaaaahhh !!!
Nouveau sort courbaturis sur Crayonne.
Aco : Qui faisait parti de la confrérie des sorciers maléfiques comme le père de Lyte !
Lyte : Quand Lindanagall a appris ça tu te doutes bien qu’elle n’a pas voulu prendre de risque avec nous. Alors on a reçu une gentille lettre de Boudebar nous disant que ce n’était même pas la peine de chercher un autre stage ou de remettre les pieds un jour à Boudebar. Viré ! On a été viré !
Crayonne malgré la douleur tentait de garder sa dignité et son gout pour les réparties bien senties.
Crayonne : J’y peux rien si notre directrice a fait le grand ménage, sales racailles !
Lyte : Alors ça espèce de garce tu vas me le payer…
« Assez ! »
Voisin : Ah ! C’est la voix du fantôme ! Crayonne il va nous aider !
Au bout du couloir sombre la silhouette fantôme sorti du mur. Une silhouette que malgré son apparence de spectre, Crayonne reconnut avec effroi.
Crayonne : Loico…
Voisin : Loico ?
Le fantôme arborait un sourire sadique, trop heureux de cette retrouvaille qu’il n’avait que trop attendu.
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MessageSujet: Re: Sano Rotter 5, la guerre des sorciers   Sano Rotter 5, la guerre des sorciers Icon_minitimeLun 4 Fév - 14:08

Chapitre
La vengeance du fils au cœur noir


(je met le titre en grand parce que c'est vraiment mon titre de chapitre preferé *_* )
Crayonne : Loico Malofoy, le fils de Louisus Malofoy, celui là même qui attaque l’école en ce moment.
Voisin : Et merde…
Loico : Merci euh… Voisin c’est ça ? Merci de m’avoir amené Crayonne. J’ai attendu longtemps mais ca valait le coup.
Voisin en un éclair sorti sa baguette magique.
Voisin : « Paralysius ! »
Bien sur le sort traversa le fantôme.
Loico : Ah ah ! Tu n’es qu’en premère année non ? On t’a pas encore appris que…
Voisin : J’suis pas stupide. Je sais très bien faire une diversion ! « Shield ! »
Voisin avait vite tourné sa baguette en direction de Crayonne pour lui lancer le sort de protection mais Aco et Lyte avaient fini par réagir.
Aco et Lyte : « malotrus ! »
Le premier année fit un nouveau vol plané mais cette fois il s’abattit beaucoup plus violement sur le mur et s’effondra, inanimé, sur le sol.
Loico : Vous êtes toujours aussi lent tout les deux.
Aco : Pardon Loico, mais après tout on t’a quand mit à terre cette pisseuse de Badgranger.
Loico : Mouai enfin bon j’aurai pu tout aussi bien le faire moi-même. Dit le jeune fantome en sortant sa baguette.
Lyte : Oh alors t’a réussi à garder ta baguette même après ta mort ?
Loico : Oui c’est une chose que j’ai appris au fil du temps. Je savais que c’était possible puisque Vic Vasysantête était un fantome mais elle avait quand même une baguette. Alors pendant tout ce temps j’ai profité de mon nouveau talent de passe muraille pour fouiller dans ses affaires restés dans l’école afin de découvrir la formule qui me permettait d’accomplir cet exploit. Ca m’a prit du temps, ça s’est pas fait en un jour. C’est pour ça que j’attendais le moment propice pour m’en servir.
Crayonne : T’aime toujours autant t’écouter parler petite merde…
Loico : Ooooh Crayonne ^^. Ton franc parler m’a manqué pendant tout ce temps. Mais s’il te plait… ta gueule.^^ « Crucifix ! »
Crayonne s’éleva et se retrouva en position de crucifié.
Loico : On apprend pas encore la torture à Boudebar, si ? « Ecartelis ! » (écartelement)
Crayonne : Raaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaah !!!

A une centaine de metre au dessus, Pini sur le champ de bataille eut un mauvai pressentiment. Pini : Professeur ! Crayonne n’est toujours pas revenu c’est pas normal !
Bélial : On a eu les potions c’est le principal. Où qu’elle soit ça ne peut pas être pire qu’ici ! Et concentrez vous sur les attaques enemis !
Pini qui évite un sort in-extremis : Oula oui. Mais quand même j’aimerai bien m’assurer qu’elle aille bien !
Bélial : Pas question vous restez là ! Vous n’êtes pas le plus mauvaix de nos élèments et on ne peut pas se permettre de… enfin bref laissez moi combattre en paix !
Pini reflechissa en quatrième vitesse à un moyen de s’assurer que son ami allait bien sans pour autant quitter le champ de bataille. En un éclair il se mit un peu à l’écart et attrapa deux élèves du groupe dont il avait la charge.
Pini : « Locate Crayonne » (permet de trouver une personne)
Une sphère magique à peine plus grosse que deux balles de tennis apparu et s’éloigna aussitôt.
Pini : Vous deux vous suivez cette boule et vous vous assurez que la stagiaire de la directrice aille bien, je compte sur vous, allez !
Les deux élèves partirent suivre la boule, mais ils manquèrent de discretion et en cachette un petit groupe de détrakés les suivit sans que Pini ne s’en aperçoive.

« Ecartelis ! »
Crayonne : Grrrraaaaaahhhh !!!
Loico : J’aime toujours autant ta voix, dit-il en s’approchant de sa victime. Te souviens tu du jour où l’on s’est rencontré ? Bon en fait moi je m’en souviens pas. Mais je me souviens très bien… (il touchait le visage de Crayonne du bout de sa baguette et lentement descendi jusqu’au niveau de son cœur) de ma première rencontre avec… Sano ! (il enfonce sa baguette dans la poitrine de Crayonne au niveau du cœur ce qui lui arrache un petit cri de douleur). Hum je sens ton cœur battre plus vite rien qu’en prononçant son nom. Sano… le petit Rotter « the boy who lived ». (il s’écarte de Crayonne et lève les bras au ciel)
Mais franchement ! Qu’est-ce que tu lui trouves ?!!! Un type qui n’a rien de spécial si ce n’est d’avoir vécu « d’horribles » choses quand il était bébé. Ooooooh le pauuuuuvre, on a du pleurer dans les chaumières qu’on a apprit que ses parents avait été tué. Bah en fait nan ! Personne n’en avait rien à foutre à l’époque ! Ton Sano qui s’est toujours pris pour un héros n’est qu’un gros mégalo tout juste bon à s’attirer les pires emmerdes pour justifier le personnage de héros qui s’est lui-même inventé ! Mais !
Je dois reconnaître que sans lui je ne me serais peut être jamais interessé à toi. Je l’ai appris que l’année dernière quand je suis rentré dans la confrérie des sorciers maléfiques qui voulait t’enlever pour ressuciter Dolldemort, mais alors comme ça tes parents étaient des mages noirs ? Et pas n’importe lesquels à ce qu’on raconte. Ta mère surtout comptait parmis les plus cruelles serviteur de Dolldemort, la classe ! Et bien sur personne n’en savait rien. Toi tu jouais les saintes nitouches, la rate de bibliothèque qui aidait Sano dans son combat pour le bien. Décidement vous avez beaucoup joué sur les apparences toi et lui. Vous vous êtes bien fichu de la gueule du monde !!!
Un nouveau cri de Crayonne résonne dans les caves, Loico exulte.
Loico : Tu n’as plus la force de parler ? Ou bien sais-tu que j’ai raison… peu importe. Quoi qu’il en soit Crayonne… je t’ai aimé.
Crayonne à demi-inconsciente leva quand même la tête.
Loico : Oui je t’ai aimé. Peut être était-ce par pur jalousie car tu étais la compagne de mon pire enemi. Un amour impossible car moi le diabolique Loico qui serait amoureux de Crayonne Badgranger l’héroine ? Et héroine grace à qui ? Sano Rotter encore lui ! Non mon père ne me l’aurait pas pardonné. Alors au final Sano a vraiment été le centre de tout mes problèmes. Il défiait les sorciers maléfiques, il me défiait moi et il défiait mon cœur. Le problème avec toute cette histoire c’est que sans lui tu ne serais jamais sorti du lot. Tu serais resté une fille discrète bien que surement une étudiante modèle. Tu n’aurais pas combattu les forces du mal et de ce fait je ne t’aurai pas trouvé ce charisme qui t’es si particulier. C’est dégueulasse tu m’entend ! C’est dégueulasse ce qu’a fait Sano ! Il t’a révélé à mes yeux comme la femme idéale tout en empêchant cet idéal car tu étais sa petite amie ! Il a reveillé quelque chose dans mon cœur tout en l’empechant de s’épanouir et c’est comme ça que je suis mort ! JE SUIS MORT CAR IL A TOUJOURS VOULU ME TUER DE L’INTERIEUR ET CA NE SUFFISAIT PAS POUR LUI ALORS IL M’A TUE TOUT COUR CE PORC !!!!!!!!!!!!!
L’énergie dégagé par la colère de Loico vint rebondir sur les murs et plafond et fit trembler toute la cave.
Crayonne : Tu… tu voulais me tuer…
Loico reprenait son souffle, bien que étant fantôme il n’eut pas besoin de respirer et dans son regard on pouvait lire toute la folie qui s’était emparé de lui.
Loico : Mais j’avais pas le choix ! J’étais… j’étais enrolé chez les sorciers maléfiques, les serviteurs de Dolldemort et…
Crayonne : Tu as combattu Dolldemort à nos cotés…
Loico : Oui mais… euh… raaaaaah ><.
Le fantôme de Loico se prit la tête dans les mains comme tiraillé de l’intérieur par tout ses sentiments contradictoires.
Loico : Je… tu me rejettes encore ! Je m’ouvre à toi et tu me rejettes, tu me méprises ! hurla un Loico en larme. « Courbaturis ! »
Mais cette fois aucun sort ne sortit de sa baguette.
Crayonne : Loico… (Crayonne combatait de toute ses forces pour rester consciente apres tout les sorts qu’elle avait reçu.) Loico tu es malade. Tout ça t’a rendu fou. Tu étais notre enemi puis Dolldemort que tu étais censé adorer s’est servi de toi, ça ne t’a pas plus et pendant le combat dans la salle caché d’Aroma Vinaigre tu as combattu à nos cotés. Tu as combattu celle là même que tu as tenté de faire ressuciter deux ans plus tard avec la confrérie des sorciers maléfiques. Et au milieu de tout ça tu m’aimais et me détestait en même temps ? Tout tes tiraillements intérieur mélangé à tes pouvoirs magiques puissant ont fait de toi un être instable. Tu viens de m’ouvrir ton cœur alors cet amour que tu voulais enfouir au fond de toi s’est reveillé.
Loico : Tagueule ! « Courbaturis ! » « Ecartelis ! » rah pourquoi ça marche pas !
Crayonne : C’est parce que tu ne veux plus me faire de mal Loico. Regarde la vérité en face malgré ta puissance, tu es faible !!!
Loico : Non je désire plus que tout que tu souffres ! Aco et Lyte faite là souffrir !!!
Loico se retourna vivement mais ne vit plus ses camarades debout, en fait ils étaient tout les deux à terre.
Loico : Que, que que…
Crayonne : Bien joué Voisin. Wink
Voisin lui par contre était bien debout sa baguette encore fumante à la main, contemplant les corps inconscient.
Voisin : Désolé mais c’est eux qui ont souffert. Tout à l’heure quand j’ai visé Crayonne avec le sort shield en fait c’était une ruse, le sort était pour moi et il m’a protegé de l’attaque de tes deux lourdeaux de sbire. J’ai fais semblant d’être sonné même si bon quand même j’ai du perdre connaissance une minute ou deux. Et pendant que tu faisais ton spitch j’ai paralysé ces deux crétins. Oui je dis crétin car ils étaient un peu géné que leur chef dévoile ses sentiments devant eux et ils se sont retourné. Du coup personne n’a vu le mouvement de baguette que j’ai fais et qui les ont paralysé. Un petit sort Morphéus plus tard et hop au pays des songes les deux sbires.
Loico : Tss… quel piêtre Sakédor tu fais. Tu m’as laissé torturé Badgranger sous tes yeux sans réagir ?
Voisin : -_- J’avou que c’était pas agréable à voir mais j’avais besoin d’y voir un peu plus clair dans toute cette histoire. Mon père adoptif m’a toujours appris à me mefier des histoires un peu louche et je comprenais rien à la votre. Maintenant je sais un peu mieux contre qui et pourquoi je dois me battre. Dit-il en pointant sa baguette sur Loico.
Loico : Tu m’as l’air plein de ressource petit… j’ai eu tort de te sous estimer.
Loico leva sa baguette fantôme et Voisin fut d’un coup désarmé, mais pas par Loico. Les trois tournèrent la tête vers l’origine de ce sort.
Loico : Oh des détrakés…
En effet cinq détrakés avaient penetré la cave et s’approchaient d’eux.


Dernière édition par le Lun 4 Fév - 14:12, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Sano Rotter 5, la guerre des sorciers   Sano Rotter 5, la guerre des sorciers Icon_minitimeLun 4 Fév - 14:11

Chapitre.
Quand les détrakés attaquent, la situation se détraquent.

Les clowns tueurs prirent la parole tour à tour.
- Ca pour une surprise.
- C’est une drole de surprise oui.
- Le fils de notre maître.
- Vivant, mort ?
- Mort-vivant, fantome, spectre. Une forme de non-vie.
- Abject en vérité.
- Fantôme fantoche.
- Qui prend au piège deux mioches.
- La torture c’est moche.
- Que leurs têtes rentrent dans nos poches !

Voisin : Rah j’en rate pas une on a été suivi !
Détraké 21: Pas vraiment non. Pendant le combat j’ai vu quelqu’un envoyer un sort « locate » destiné à Crayonne que je connais de réputation. Deux élèves se sont lancé à la poursuite de la sphère alors on a fait de même.
Détraké 22 : Oui alors malheureusement on a du tuer ces deux rejetons. ^^
Détraké 23 : Qu’importe ils n’ont pas souffert.
Détraké 22 : Ah si si ils ont sacrément souffert ^^’ .
Détraké 23 : Ah bon ? Rah comment dit-on dans ces cas là… ah oui on dit « euh…oups ».
Ces trois détrakés là rirent en cœur, les deux autres semblaient plus sérieux.
Détraké 25 : Numero 4 on fait quoi du fils Malofoy ?
Détraké 24 : Le fils Malofoy est mort et enterré.
Détraké 22 : Mais on doit quand même prévenir son père qu’il existe sous forme de fantôme non ?
Détraké 24 : Si tu as envie d’aller voir le terrible Louisus Malofoy pour lui dire que son fils qu’il croyait disparu se cachait en fait à Boudebar depuis tout ce temps et ce même en étant un fantôme, c’est ton droit. Mais je crois bien que ce sera là la dernière bétise que tu diras.
Loico : Qu’est ce que vous entendez par là ? Vous êtes les serviteurs de mon père, j’exige que vous me rameniez auprès de lui quand tout ça sera terminé. C’est bien pour ça que vous êtes là non ? Vous avez tous attaquer l’école pour me retrouver car tout le monde sait bien qu’un fantôme ne peut quitter de lui-même le lieu où son âme demeure.
Détraké 21 : Voyez-vous ça mes chers collègue. C’est touchant, le petit Loico croit qu’on a fait tout ces efforts pour le ramener à son cher petit papa.
Détraké 22 : Je crains fort mon ptit gars que ton père n’ait d’autres raisons pour justifier cet invasion. Et d’abord comment serait-il au courant que tu es devenu un fantôme ? Et même si c’était le cas qu’est-ce qu’il ferait de toi à présent ?
Loico : Quoi ?! Je suis son fils, je sais qu’il désire venger ma mort !
Détraké 25 : C’est déjà fait. Ton père a tenu M.Drolletod pour responsable de ta mort et l’a executé lui-même. Sa vengeance accompli il est passé à autre chose, crois moi.
Détraké 23 : Pff uhuhuh. Et puis franchement… c’est vrai que Sano Rotter t’a balancé du toit de l’école ? C’est comme ça que tu es mort ? Oh à moins que tu te sois pris les pieds dans ta cape de « mangemort », ça signifit bien à quel point ce rôle te depassait ! ahahahah !
Les autres détrakés le rejoignirent dans ce rire glauque. Ca n’était pas du tout au gout de Loico qui de rage serait de toute ses forces sa baguette.
Loico : « Liberas ! » (sort de libération d’entrave magique) « heal ! » (sort qui redonne des forces et guerie un peu les blessures.)
Crayonne : Loico tu me libères et tu me soignes ?
Loico : Juste le temps qu’on se debarasse de ces cinq guignol et après on reprendra notre petite discussion.
Crayonne : Ok… répondit Crayonne qui se releva péniblement et récupéra sa baguette.
Détraké 23 : Alors qu’avons-nous là ? Un fantôme aussi minable mort qu’il ne l’était de son vivant, une nana et un élève haut comme trois pommes. Hum… sortilège de désarmement pour les trois ?
Détraké 22 : Que non ! Ce serait trop facile. Ce combat dans la plaine est une vraie plaie, amusons-nous un peu avant d’y retourner…
Les cinq clowns levèrent leur baguette prêt à commencer le combat mais Crayonne n’était pas tenté par un affrontement directe.
Crayonne : « Dominos ! » On se casse !
Le sort Dominos de Crayonne fit basculer les amoires et étales pleines de bouteilles et le tout commença à s’effondrer comme un jeu de dominos (d’où le nom du sort, je sais c’est méga futé lol). Dans le fracas assourdissement des meubles massif et des centaines de bouteilles qui se brisent, les détrakés s’écartent pour éviter le plus possible les éclats de verre et les liquides tandis que Crayonne, Loico et Voisin s’échappent de l’autre coté.
Crayonne : J’apprecie que tu n’en profites pas pour disparaître dans un mur Loico.
Loico : C’est vrai que ce serait facile pour moi mais ça ne changera rien à la situation, alors pour l’instant je reste. Je veux te proteger pour mieux te tuer ensuite.
Crayonne : Super. ^^’
Voisin : je vais tenter une diversion supplémentaire ! « Fire arrow ! »
Crayonne : Aaaaaaaah non !
De la baguette de Voisin une flèche de feu fila droit vers un des meubles renversé qui commença à prendre feu. Les Détrakés ayant flairé un danger plus grand que Voisin ne l’esperait s’écartèrent encore plus.
Crayonne : Courez !!!!!!! dit elle en attrapant Voisin.
Voisin : Quoi mais non c’est bon, le meuble en feu nous fais déjà gagner du temps. ^^’
BOUUUUUUUUUM
Une explosion dont on ressentit les vibrations jusqu’à la plaine souffla une bonne partie de la cave pourtant immense et l’incendit se propagea de plus belle.
Crayonne et Voisin furent à moitié enseveli sous des décombres divers et seul Loico, grâce à ses pouvoirs de fantômes bien sur, avait échappé aux projections.
Loico : Je retire ce que j’ai dis. Il est complêtement con ce Voisin. On enflamme pas une cave pleine de bouteilles d’alcools brisés crétin !!!
Dans la cave en feu il était devenu très difficile de se déplacer voir de se reperer. L’état des lieux rendait la fuite difficile et dangereuse, pourtant il fallait bien sortir de ce brasier.
Crayonne : Bon les flammes se propage ça va être l’enfer si on reste là. Loico faut que tu traverses tout ça pour retrouver la sortie.
Mais Loico ne semblait pas à son aise.
Loico : C’est pas que je veux pas mais les vapeurs d’alcool et les flammes… hum je savais pas que même en étant un fantôme ça m’effraierait.
A quelques mêtre de là on entendit de petites explosions. En effet les détrakés eux aussi tentaient de se sortir de là. Ce que Loico, Voisin et Crayonne ne savaient pas c’est que le détraké numero 23 avait péri dans l’effondrement des armoires et l’explosion.
Soudain dans la plaine ou le combat faisait toujours rage…
Un détraké : L’un des notres a péri. Je le sens…
Sans dire un mot de plus 5 autres détrakés se dirigèrent vers les caves en cachette.
Mais au loin, caché derrière un arbre, quelqu’un les aperçus…
Crayonne : Bon je vais essayer quelque chose qui devraient être radicale pour éteindre l’incendie. « STORM GUST !!! »
Tout comme dans la plaine au moment où elle y était arrivé avec les renforts, Crayonne leva sa baguette en prononçant ce sort. Le storm gust provoque une tempête de neige peut être aussi effrayante et dangereuse qu’un brasier mais l’utiliser dans une lieu clos relêve de l’impossible et pourtant…
Loico : Ca marche !
En effet le talent de Crayonne était averé et un cercle de nuage se forma dans la salle. Cercle de nuage duquel une tempête de neige sortit, le vent soufflant si fort que Voisin fut emporté et Crayonne dut s’accrocher. Dans les caves c’était vraiment le chaos à présent. L’effondrement des étales puis l’incendit provoquant une explosion et maintenant cette tempête neige. Des milliers de bouteilles d’alcool détruites par tout cela. Teubé en aurait fait une attaque.
Détraké : Les mioches se barrent !
Loico : Crayonne !
Crayonne : Voisin !
Voisin : Oui moi !!! cria Voisin trop content qu’on remarque sa mauvaise posture.
Voisin s’était accroché quelques mêtres plus loin à une armoires renversés pour ne pas être emporté plus loin mais il ne pourrait tenir longtemps. Loico quand à lui regrettait de n’avoir pas eu le courage de franchir les flammes quelques instant auparavent car contrairement à sa peur de traverser le brasier qui n’était que psychologique, l’impact de la tempête avait sur lui un reel effet physique. Car un vent puissant, surtout d’origine magique pouvait emporter la forme ectoplasmique et frêle d’un fantôme. Alors il pointa sa baguette sur lui afin de remedier à cela.
Loico : « Grossomodo ! »
Ce sort fit prendre du « poid » à Loico dont le corps fantôme gonfla d’un coup prenant beaucoup plus de masse et lui donnant l’air, il faut le dire, completement ridicule.
Crayonne ne put retenir un petit rire, mais il fallait s’occuper de Voisin.
Crayonne : Un sort de semelle de plomb nous aidera à rester debout ! « restosol ! »
Le sort était très efficace si bien que Crayonne et Voisin étaient literralement collés aux dalles subissant le blizzard de plein fouet. On ne pouvait pas dire que la situation était très reluisante.
Voisin : Et maintenant pour nous proteger du froid tu vas faire une boule de feu ? était obligé de crier Voisin pour se faire entendre.
Crayonne : Ca veut dire quoi ça ?! C’est toi qui nous a entrainé dans cette galère et qui a tout fait cramer !
Voisin : Mais moi j’suis qu’un premier année, j’ai le droit de faire des erreurs. ^^’
Plus loin les détrakés reprenaient du poils de la bête et étaient plus que jamais déterminé à faire des brochettes de gamins pour leur faire payer cette galère.
Détraké 22 : Ca suffit les conneries ! Qu’on les tue tout les trois !
Détraké 21 : Faut d’abord arreter cette tempête !
Détraké 24 : Mais pendant ce temps ils n’iront pas loin. « monstruo elementalis ! »
Le monstruo elementalis permet de créer comme son nom l’indique, des monstres élémentaux. En l’occurrence ici trois bonhommes de neiges monstrueux qui sortirent du sol enneigé.
Détraké 25 : Bien ! J’avais oublié à quel point tu étais doué pour créer des créatures tel que celles-ci. Ca va les retenir un ptit moment pendant qu’on prépare un contre sort pour arreter cette tempête.
Les créatures de neige glissèrent sur le sol esquivant sans difficulté les débris de meubles et de bouteilles étant complêtement dans leur élements parmis le blizzard.
Quelques débris plus loin l’équipe improbable tentait de se situer dans un lieu qu’ils ne connaissaient déjà pas bien à la base et encore moins bien sous cette configuration, quoique…
Crayonne : Je pensais que tu pouvais peut être nous retrouver le chemin de la sortie vu que tu hantes les lieux depuis plusieurs mois. ^^’
Loico : Faut pas croire que j’ai passé mon temps ici à me promener. La vie d’un fantôme c’est pas forcement ce qu’on croit. Déjà apres ma mort j’ai erré dans les limbes dont la seule description ferait mourir de terreur le plus érudit des…
Crayonne : Ok on s’en fout ! Voisin tu arrives à te déplacer avec le sort restosol ?
Et Voisin arrivait en effet à se déplacer puisqu’il avait bougé de plusieurs mêtres.
Voisin : Ouai et jvous attend pas ! Je crois que c’est moins dangereux là haut qu’ici ! dit-il en faisant des grand pas comme s’il avait les pieds enlisés.

Crayonne : En supposant que l’escalier ait pas cramé avec l’explosion ^^’. « SCHLACK ! »
Un flot de sang jaillit de la joue gauche de Crayonne car sans qu’elle le voit venir quelque chose l’avait violement percuté. La chose emporta un flot pourpre de sang dans son élan, sang qui apparu comme un rayon de lumière rouge dans le décor blanc immaculé.
La stagiaire de Lindanagall tomba sur le flant en tentant d’amortir sa chute. Les yeux écarquillé elle ne senti pas la douleur de suite tellement le coup avait été brutale et rapide. Une vilaine balafre pissant le sang lui défigurait à présent le visage.
Loico : Crayonne !!! Rah jpeux pas bouger comme ça, finit les conneries « ex-grossomodo » !
Le corps fantôme de Loico reprit une corpulance normale.
Voisin quant à lui vit ce qui avait provoqué cette blessure. A environ trois mêtre de Crayonne se trouvait un bonhomme de neige arborant un sourire de lion prêt à bondir sur sa proie. De son bras sa main griffue s’était détaché pour aller frapper Crayonne et une autre lui repoussait. Voisin fut tétanisé par ce monstre, d’autant plus qu’à Bourg-la-bière le climat faisait qu’on ne voyait pas souvent des bonhommes de neiges.
Loico s’était précipité sur Crayonne et tentait de la prendre dans ses bras mais son corps fantôme ne fit que la traverser.
Loico : Crayonne, Crayonne !!!
Crayonne : Oui euh…
Crayonne était sonné et avait besoin de quelques secondes pour se remettre. Alors Loico pointa sa baguette sur le monstre de neige.
Loico : C’est un monstre élémental Voisin. Puisque tu connais le fire arrow c’est le moment de l’utiliser à bon escient !
Voisin ne réflichit pas et lança ce sort sur le monstre. La flèche de feu traversa la matière neigeuse mais celle-ci se reforma aussitôt.
En guise de réponse le bonhomme de neige n’émit qu’un bruit semblable à un crissement de pneu.
Voisin : Euh Loico ça marche pas des masses.
Crayonne : Qu’il attende que j’aille mieux et dans quelque secondes cette merde élémentale n’en menera pas large… dit Crayonne qui avait l’aide de la magie de Loico allait déjà mieux.
Loico : J’ai arreté l’hémorragie c’était pas bien grave mais c’est pas une raison pour jouer les héroines. Reprend tes esprits on s’occupe de ce monstre. Voisin, avec moi !
Voisin rejoignit Loico qui lança un sort « shield » sur Crayonne pour la proteger de la bataille.
Et il eut bien raison car les deux autres bonhommes de neiges apparurent eux aussi et engagèrent le combat. Heureusement l’affaiblissement de Crayonne avait arreté la tempête de neige mais le sol restait enneigé et gélé..
Voisin : Tu le sais surement pas mister fantome mais chez moi je suis un champion de whiskytch !
Voisin joignit le geste à la parole en attrapant une bouteille gelé au sol pour la lancer avec une force admirable sur le bonhomme de neige le plus proche de lui qui se la prit dans les dents. Une autres des créatures élémentale répliqua par la technique du lancé de mains griffu qui avait si bien fonctionné sur Crayonne et qui menaçait maintenant Loico. Voisin qui avait pour une fois comprit que cela ne marcherait pas, ne chercha pas à proteger Loico car la mains griffu le traversa.
Loico : Heureusement, ils sont pas très futé. « incendio ! »
Un jet de flamme atteint l’adversaire de neige au niveau du ventre (ventre qui touchait le sol, les bonhommes de neiges n’ayant pas de pied à ma connaissance) et celui-ci commença à fondre. Le troisième monstre quant à lui aussi bête que les deux autres s’évertuait à vouloir briser le bouclier protégeant Crayonne qui baguette à la main et les idées pas encore très claire était malgré tout prete à repliquer.
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MessageSujet: Re: Sano Rotter 5, la guerre des sorciers   Sano Rotter 5, la guerre des sorciers Icon_minitimeLun 4 Fév - 14:14

Chapitre.
Renfort de monstres


Les trois jeunes sorciers avaient beau avoir de la ressource,il n’en était pas moins en sursis ! Car je le rappelle, il restait quatre détrakés qui maintenant approchaient à grand pas, brisant les obstacles à coup de sort destructeur démontrant bien là leur détermination à en finir avec ces trois horribles mectons.
Détraké 21 : Un big mac au foie de boudebarien, voila ce dont j’ai envie !
Détraké 22 : Accompagné d’un milkshake au sang de morveux.
Détraké 24 : Ou d’une bonne tisane à la flore intestinale !
Détraké 25 : Et d’un smecta pour accompagner le tout, car franchement à vous entendre j’ai la nausée. -_-
« Mais qu’est-ce que vous foutez vous quatre ! »
Détraké 21 : Oups…
Timidement les quatres détrakés se retournèrent pour apercevoir cinq autres de leur camarade de combat.
Seul l’un d’eux prenait la parole.
Détraké 26 : Alors pendant que nous on se fait tuer sur le champ de bataille, vous, vous faites le boxon ici ! Détraké 21 j’ai jamais pu te saquer sache que je serais pas tendre envers toi une fois devant Louisus.
Détraké 21 : Euh bah c’est qu’on a suivi deux élèves qui venaient ici en cachette pendant la bataille et…
Détraké 26 : « Maxima ecartelis »
La scène fut rapide et sanglante. Le détraké 21 se soulava du sol et en moins de deux ses quatres membres furent arraché de son corps. Le tout retombant mort sur le sol gelé.
Détraké 26 : C’est la guerre là haut et croyez le où pas mais les boudebariens de défendent bien ! Et vous, vous vous faites tuer ici ! En tant que votre supérieur je compare ça à de la desertion ! Gaaaaaaarde à moi !
Les autres clowns tueur se mirent au garde à vous devant leur superieur qui même appartenant aux fonds de tiroires à chaussettes de l’armée, pour citer Louisus, était craint par les autres monstres.
Détraké 26 : Détraké 25, heureusement vous, vous êtes en vie. Je suis surpris de vous voir à la tête de ce bataillon de crétin !
Détraké 25 : Euh oui mon… commandant ou général ou que sais-je puis que vous n’avez aucun de ces grades… Durant la mélé l’élève de Boudebar qui a tué mon frêre qu’il combattait sur sa fourche à lancé un sort de recherche sur Crayonne Badgranger mon… capitaine. Alors j’ai pris des hommes avec moi pour la retrouver, m’étonnant qu’elle ne soit pas sur le champ de bataille. Et en la retrouvant ici nous avons aussi retrouver Loico Malofoy mon… caporal. A l’état de fantôme je précise !
Détraké 26 : Hum le chérubin Malofoy… est-ce lui qui a tué le numero 21 ?
Détraké 25 : Euh non, c’est vous à l’instant même. Regardez vous avez un de ces oeils sur l’épaule.
Détraké 26 : Oh oui, je vais le mettre de coté pour ma collection. Bon alors lequel est mort ?
Détraké 25 : Le numéro 23 mon adjudant. Un jeune élève se prénomant Voisin d’après les paroles des deux autres, a mit le feu aux bouteilles d’alcool renversé par un sort d’effondrement de Badgranger. Ce qui a provoqué une explosion. Il s’est sacrifié de son plein gré… quand je l’ai mis de force devant moi pour me protéger. ^^’
Détraké 26 : Oh bonne tactique. Et qu’en est-il à présent des trois jeunes fuyares, en esperant qu’ils ne sont que trois vu les dégats qu’ils ont déjà occasionné ici.
Détraké 25 : Oui mon maitre ils ne sont que trois et sont je pense encore en vie. Nous avons envoyé trois monstres élémentaux de neiges à leur poursuite. Ils se déplacent mieux que nous dans la cave recouverte de neige par un storm gust de Badgranger.
Détraké 26 : Tu surestimes ce genre de créature ! Elles ne feront pas long feu face à eux vu la facilité avec laquelle ils vous ont semé. Mais maintenant nous sommes huit je veux que dans dix minutes maximum nous remontions en ayant leur sang sur nos tuniques.
Les autres approuvèrent.

Baam
Crayonne au prise avec l’un des bonhommes de neige venait de percuter le sol tout en retenant les bras du monstres qui tentait de l’étrangler.
Loico : Voisin ! La bulle de protection a laché, va aider Crayonne !
Crayonne dont l’effort physique se lit à présent sur le visage : Rooh pas besoin de ton aide !
Elle donna un violent coup de pied dans le ventre du monstre. Mais c’était un mauvaix calcul car du coup son abdomen se détacha dans une nuée de neige et sa partie haute, celle qui bien entendu contenait les mains et la tête, tomba lourdement sur elle. Le monstre avait maintenant tout loisir de l’éventrer.
Voisin : « Séparo ! »
Les deux corps en lutte furent séparé par le sort de Voisin et la boule de neige se retrouva à même le sol. Mais elle ne s’avouait pas vaincu pour autant et aussitôt elle se servit de ses mains griffu pour ramper sur les dalles gelés.
Crayonne : Roh sale bête !
Splash !
Crayonne s’était relevé et avait donné un puissant coup de pied dans la tête de la créature qui volat en éclat de neige.
Soudain c’est toute la salle qui trembla et tout le monde dut s’accrocher un bref instant pour ne pas perdre l’équilibre.Car un grondement sourd provint de la surface, plus précisement de la plaine où se déroulait le combat et les vibrations en traversèrent les caves de l’école.
Voisin : Crayonne c’est toi qui a fait ça ?
Crayonne : Eh oh mon coup de pied était pas si puissant que ça. -_- Non ça venait d’au dessus… il s’est passé quelques choses dans la plaine. Je… je commence à être inquiète.
Les trois fixèrent alors le plafond comme si ils pouvaient voir à travers et ils ne virent pas que les détrakés s’étaient dangereusement approché d’eux…

Car ce n’était pas cinq détrakés qu’ils devraient affronter, mais huit maintenant. Ne parlons même pas des trois bonhommes de neiges qui n’avaient servi qu’a gagner du temps.
Détraké 25 : Ce n’est pas le plafond qu’il faut regarder.
Détraké 24 : Peut être y recherchent t’ils une lueur d’espoir.
Détraké 22 : Ou admirent-ils le ciel puisqu’ils y seront bientôt.
Détraké 25 : Ou alors…
Détraké 26 : La ferme. -_-
Voisin : Il y en a plus que tout à l’heure. Bredouilla Voisin terrifié.
Loico : Tant mieux, on va enfin pouvoir passer aux choses sérieuses. On se les partage !« Courbaturis ! »
Détraké 26 : « gosth blaster ! »
La baguette de Loico fentit l’air tandis que son proprietaire était projeté à trois mètres de là.
Détraké 26 : Je connais les sorts anti-fantômes, désolé pour toi.
Détraké 25 : Ouai et nous on connaît les sorts anti-moucherons. « lasero ! »
Crayonne : « repousstou ! »
Détraké 27 : « boum ! »
Voisin : « Shield ! »
Un rapide combat s’en suivi et bien entendu Crayonne et Voisin furent rapidement débordé, leurs enemis étant en surnombre.
Détraké 28 : « Crucifix ! »
Voisin : Rah !
Voisin fut crucifié dans les airs.
Crayonne : Voisin débat toi !
Détraké 29 : La ferme toi ! « détonas ! »
Une étincelle sorti de la baguette du détraké 29 et rejoignit celle de Crayonne tout en remontant dangereusement sur son bras.
Boum !
Crayonne : Aaaaaaaaaah !
Le bras droit de Crayonne avait semblé exploser de l’interieur sa manche était en lambeau et sa chaire était fortement atteinte mais son membre était encore entier ! Grâce soit rendu aux habits confectionné par Rochelderoy, sans ça le bras aurait été completement arraché. Mais sa baguette, elle, était en miette.
Détraké 28 : « electros ! »
Voisin en crucifié reçu une violente décharge electrique qui fit fumer ses habits et sa chairs, il cria aussi fort que Crayonne.
Loico au loin reprenait un peu ses esprits mais n’avait pas sa baguette, celle-ci lui ayant échappé des mains. Voyant l’horreur de la situation, il n’eut d’autres reflexes que la fuite, esperant trouver du secours ou bien tout simplement s’échapper et oublier tout ça, il ne le savait pas vraiment. Quoi qu’il en soit il lévita en pagaille vers la sortie.

Mais un bras humain attrapa au vol son bras fantôme. Une sensation de contact que Loico avait oublié depuis bien longtemps et qui rendit sa surprise plus grande encore.
« Tu n’espères pas t’échapper comme ça ? »
Loico : Que… TOI ?!
Plus loin…
Détraké 22 : « courbaturis ! »
Détraké 25 : « ecartelis ! »
Détraké 27 : Mega kick de la mort sans magie mais avec une grosse botte ! paf.
Crayonne et Voisin se prirent les coups tour à tour.
Détraké 28 : C’est bon, on peut peut être les tuer maintenant ?
Détraké 26 : Ouai allez, jme charge de la ptite pisseuse pour commencer. « Mortemus ! »
Crayonne : GROUAAAAAAAAAH
La magie noir s’engouffra à l’intérieur du corps de la stagiaire de Bélial la faisant souffrir atrocement. C’est alors que Voisin eut un sursaut d’energie.
Voisin : Grah ! « Ca… Catapultas ! »
Il s’infligea le sort ce qui le libera du « crucifix » le projetant par la même occasion sur le détraké 26 qui faisait tant souffrir Crayonne et la sauvant in-extremis puisque le mortemus s’arreta.
Détraké 25 : Sale petit merdeux c’est toi qui mourra en premier finalement !
Il leva sa baguette et allait prononcer une formule qu’on entend pas souvent mais qui n’a pas son pareil pour tuer quelqu’un du premier coup…


Dernière édition par le Lun 4 Fév - 18:35, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Sano Rotter 5, la guerre des sorciers   Sano Rotter 5, la guerre des sorciers Icon_minitimeLun 4 Fév - 14:17

Chapitre.
Sano Rotter


Mais son bras s’était arreté. Tout son corps en fait semblait figé ou plutôt gelé…
Sano : « diamond dust »
Puis le corps du détraké se brisa en fines lamelles de glace qui dans une grasse inimaginable dans toute cette sauvagerie, se volatilisa.
De suite le corps de Loico fut lancé à bras le corps sur le sol au milieu du groupe.
Sano : Vous aviez oublié celui là je crois.
Crayonne sous l’influence de la douleur des coups reçu et des sorts se sentit soulevé.
« Le combat est fini, je suis morte… j’aurai fais de mon mieux j’espere… maintenant je vais rejoindre… rejoindre mon père. » se dit la jeune fille.
Sano qui venait de prendre Crayonne dans ses bras defit sa cape qu’il déposa à terre et y déposa soigneseument Crayonne.
Sano : Repose toi mon amour, tu l’as bien mérité depuis le temps. Wink Et puis… je ne veux pas que tu vois ça.
Puis il se releva. Ses habits de sorciers étaient bien abimé par le temps qu’il avait passé à s’entrainer avec son père Saké. Il avait grandit, ses cheveux avaient poussés, son regard s’était endurçi et ici et là, quelques cicatrices recouvraient son corps devenu plus musclé. Assurement il n’était plus le même. Il joignit ses mains en fermant les yeux.
Sano : « nuage du mal… »
Un brouillard plus noir que l’ébène le recouvrit lui ainsi que les septs détrakés qui n’avaient pas encore réagi.
Voisin au sol ne perçu pas ce qu’il se passait dans l’obscurité.
Puis Sano sorti du brouillard, sa chemise et sa baguette, maintenant taché de sang.
Sano : « tenêbres suspendues… »
La masse noir se dissipa et les cadavres de six détrakés était éparpillés sur le sol. N’en restait qu’un seul, le numero 25 qui de ses yeux semblait avoir aperçu l’enfer.
Sano lui lança un regard sans équivoque.
Sano : J’ai tué tes camarades. Plus cruellement peut être qu’ils ne l’auraient fais avec mes amis. Tu es vivant et tu seras surement le seul être de ton espèce que je laisserai partir en vie à présent. Ne retourne pas sur le champ de bataille, le combat est fini. Les renforts sont arrivés et tes compagnons sont mort où en fuite. Alors tu vas rentrer dans ta demeure de rat, tu vas voir ton maître et tu lui apporteras ceci.
Sano lança au détraké appeuré le doigt de l’un des cadavres qui portait la bague de l’ordre des détrakés.
Sano : Tu lui diras que mon prochain trophée sera sa tête. Maintenant… pars !
Le monstre ne demandant pas son reste, s’enfuit à toute jambes.
Enfin au calme, Sano prit le temps d’observer les lieux.
Sano : Vous n’y avez pas été de mains mortes à ce que je vois. Ne me dites rien je peux voir ce qu’il s’est passé.
Il ferma les yeux quelques secondes, se concentrant et visualisa tout les sorts qui avaient été lancé ici depuis le début de la bataille, grace aux résidus magiques invisible pour le communs des mortels.
Sano : Le storm gust de Crayonne, il a gagné en puissance d’une manière phénoménale. Je vois le reste aussi et je comprend ce qu’il s’est passé ici. Merci d’avoir sauvé Crayonne Voisin Sakdoss. Dit-il en se tournant vers lui.
Voisin : Tu… tu ne serais pas… Sano Rotter ?
Sano qui désigne les corps des détrakés : Si tu en doutes, je ne sais pas qui tuer d’autres en guise de rappel. Oui c’est bien moi et… je suis de retour…

Chapitre
Les renforts sont arrivés.


Sano : Et toi…
Baam !
Sano avait une fois de plus attrapé le corps ectoplasmique de Loico, par le col et le maintenait fermement contre un mur.
Sano : Que vais-je faire de toi Loico Malofoy ?!
Voisin : Ah ! Sano attend, il nous a aidé !
Sano : Il vous a tendu un piège, il a torturé Crayonne et je l’ai attrapé alors qu’il tentait de s’enfuir. Il ne vous a PAS aidé.
Loico : Eh eh Sano tu en sais des choses. Mais Voisin a raison j’ai tout de même aidé ces deux là. Que ca te plaise ou non. Dit-il dans un regard de défi.
Regard de défi qui ne plut pas à Sano puisqu’il projeta Loico à terre.
Sano : Tu aimes ça bouffer la terre, non ? C’est ce que doit faire ton cadavre à présent, c’est là qu’est ta place, dans ta tombe ! Ou plutot la fausse à purrin dans laquelle je t’ai jeté l’année dernière. D’ailleurs quand tout ça sera fini, j’irai bien jeter un coup d’œil à ton corps puisqu’il est resté là-bas. J’adorerai le voir bouffé par les vers. Oh mais tien ! Puisque tu es ENCORE là tu voudras peut être m’accompagner. Ca te rappelera ce qu’il en coute de me mettre en colère !
Loico : Ah ah ! Il est beau le Sano Rotter et dire qu’à Boudebar on me traitait de tout les noms derrière mon dos. Si tes fans te voyaient parler comme ça… schbling !
Un morceau de carrelage situé à deux centimètres de la tête de Loico avait volé en éclat.
Sano : Je crois que tu n’es pas en position de faire le malin.
Voisin : Oh arretez !
Voisin voulu se relever mais ses blessures l’en empecha et il ne fit que trebucher.
Sano : Tu as raison Voisin. Tu es blessé et Crayonne aussi, je vous ramène là haut. Et toi Loico « menotas ».
Des menottes magiques lierent les poings de Loico par une chaine que tenait fermement Sano.
Sano : Toi le petit connard prétentieux, tu vas nous suivre et tout le monde là haut pourra voir à quel point tu es tombé bien bas.

Mais moi, toi, vous et en fait nous tous ! qui lisont Sano Rotter. Nous voudrions bien voir ce qu’il s’est passé là haut pendant tout ce temps. Il serait dommage de le faire résumer de la bouche d’un des protagonistes (surtout que ce sera surement Bélial qui se sentira obligé de raconter et que ça risque d’être chiant au possible) alors remontons le temps de quelques minutes et revenons au cœur de la bataille !

Pini venait d’envoyer deux élèves à la poursuite de la sphère de Locate pour localiser Crayonne, sans se douter qu’il envoyait les deux à la mort puisqu’ils rencontreraient sur leur chemin un petit groupe de détraké comme nous l’avons su plus tôt.
Nous avions laissé le combat quand les défenseurs de Boudebar avaient fait en sorte d’encercler les détrakés. Cette stratégie (qui indignait tellement Louisus pour le simple fait que les bons utilisaient une stratégie plus élaboré que la sienne qui consistait à bourriner) cette stratégie donc, fonctionnait fort bien. Les bons était disposé en formation en V de manière à ce que chacun puisse lancer un sort sans toucher un compagnon et comme toute les formations en V encerclaient les détrakés, ceux-ci se retrouvèrent entassé et les premiers rangs subissaient de plein fouet toute les attaques.
Kami-chan dans le groupe de Bélial : Je ne savais pas que l’on pouvait apprendre une si bonne chose dans cette école. Quel est le professeur qui a enseigné ça ?
Bélial : Oh je ne sais pas, mais il faut être sacrément intelligent, donc moi sans doute.
Dans le brouhahah embyant personne n’entendit les quelques enemis qui appelaient par accio leur fourche volante. Celle-ci arrivèrent alors à eux et et six détrakés s’élevèrent dans les airs. Pini dut laisser sa formation combattre seul pour s’envoler lui aussi rejoint par d’autres. Mais les cibles des détrakés étaient justement les chefs de groupe des fameuses formation en V. Pini étant dans les airs n’était plus concerné et aucun enemi ne s’interessa à lui si bien qu’il dut tenter d’aller à leur rencontre mais d’autres au sol l’en empechait en lui envoyant sans cesse des sorts. L’un d’eux affecta un des élèves de quatrième année ayant rejoint Pini et la pauvre victime tomba de son rateau directement dans la fausse au lion ou plutot la fausse au détrakés. Inutile pour quiconque de tenter de lui porter secours, sa mort fut sans nul doute rapide.
Pini : Il faut redoubler de vigilance ! dit Pini qui tentait de semer deux détrakés qui volaient derrière lui.
« Je ne vous le fais pas dire Weslate. »
C’était Rochelderoy. (Pini : Rochelderoy sur un rateau ?o.o) Oui Rochelderoy sur un rateau qui finalement avait rejoint le champ de bataille et qui d’un coup de baguette avait renvoyé au sol les deux poursuivant de Pini.
Pini : Merci Professeur ! Mais euh… je suis étonné de vous voir combattre. D’autant plus sur un rateau.
Rochelderoy : Eh bien oui je suis moi-même étonné de me retrouver ici à vrai dire. J’ai eu dirons nous… une pulsion.
Quoi qu’il en soit le combat continua de plus belle. Les attaquent des détrakés en vol atteignirent quelques fois malheureusement leur cible et des deux cotés, les camps s’affaiblissaient.
Bélial : Il nous faudrait d’autres potions, mais je ne peux pas envoyer quelqu’un d’autre à la rencontre de Jack Daniel, il se ferait tuer tout de suite par un des détrakés sur leur fourche.
Kami-chan : Je peux y aller moi.
Bélial : Diantre non ! C’est dangereux je viens de le dire…
Mais Kami-chan avait déjà quitté la formation.
Bélial : Ma filleule ! Roh quelle peste quelle désobeissance et quelle suffisance, tout moi à son age c’est horrible.
Bélial s’employa rapidement à lancer sur sa filleule des sorts de protection et à la couvrir comme elle pouvait mais les détrakés prenant Bélial comme une cible prioritaire en profitèrent et continuèrent de l’attaquer de plus belle. La directrice de Boudebar se prit deux sorts qui abimèrent sa tunique spéciale de combat confectionné par Rochelderoy, mais peu importe puisque Kami-chan avait atteint l’entrée de l’école.
Rapidement elle couru jusqu’à la porte de la salle des banquets qui bizarrement était resté entre-ouverte, derriere pas un bruit…
Kami-chan : Voila qui est étrange se dit-elle…
Elle tira la porte vers elle et ce qu’elle redoutait s’était averé vrai. Dans la salle des banquets qui servait de lieu de replis pour les élèves ne pouvant combattre et les blessés, plus aucun corps n’était débout tous étaient à terre. Inconscient ou mort ? Kami-chan ne pouvait le dire.
Kami-chan : « Talkus : message pour Bélial Lindanagall, tout le monde dans la salle même Jack Daniel est inconscient. Il manque… Rochelderoy. »
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MessageSujet: Re: Sano Rotter 5, la guerre des sorciers   Sano Rotter 5, la guerre des sorciers Icon_minitimeLun 4 Fév - 14:18

Aussitôt dans la plaine, Bélial reçut le message. Elle avait tout comme Pini aperçu Rochelderoy sur un rateau quelques secondes plus tôt. Elle lança un catapultas sur les détrakés qui la harcelaient et se tourna sur l’élève de son groupe qu’elle jugeait le plus apte à prendre sa place.
Bélial : Toi tu prend la tête de la formation en V. « accio rateau ! »
Elle couru sauta en l’air et atterit sur un rateau qui arrivait in-extremis tout en mettant les gaz en direction de son sous-directeur. Avec une force et une vitesse qu’on ne lui imaginait pas, elle attrapa au vol Rochelderoy le tenant par la seule force de son bras droit et le conduisit au loin derriere la cabane de Teubé à l’orée du bois de Bourgogne.
Elle l’y jeta à terre en le menaçant de sa baguette.
Bélial : Tu as cinq seconde pour répondre. Avec ou contre nous ?
Rochelderoy saisi vite la situation dangereuse dans laquelle il était et prefera répondre en toute sincérité.
Rochelderoy : Avec vous.
Bélial : Cette voix, ce n’est pas celle de Rochelderoy. Si tu as pris la peine de prendre sa place pour me répondre et combattre alors je te crois. Quant à vous qui êtes caché dans le bois, il serait peut être temps de faire votre entrée non ?
Car effectivement dans l’ombre du bois un groupe assez consequant de personnes était caché.
« Oui bon on vient à peine d’arriver. » -_-
Bélial : Plus tard les explications, maintenant que nous sommes en nombres boutons hors de notre école ces affreux monstres que l’on puisse prendre une pause bien mérité.
L’une des personnes du groupe, prit subitement la tangeante et se dirigea vers les caves.
Bélial : Et lui où il va ?
« Jouer les héros comme d’habitude… »

Pini avait vu Bélial attraper Rochelderoy pour une raison qu’il ne connaissait pas et il se dit qu’entre Teubé et Cédricus qui disparaissaient, ainsi que Crayonne leur camps se rétricissait dangereusement.Mais de l’endroit où il avait vu Bélial se poser avec Rochelderoy un grondement retentit, il n’en cru pas ses yeux…
Les buissons et plantes aux alentours se firent écraser par une horde de sorciers et sorcières qui chargeaient, ayant à leur tête Bélial Lindanagall et… Saké Rotter !!! Le D.E.S.A.S.T.R.E au grand complet s’était réuni pour pretter mains fortes à l’école de Boudebar. Les sorts commencèrent à fuser et des explosions rententirent à l’endroit même ou se trouvait les détrakés. Parmis le groupe d’infirmier sadiques ce fut aussitôt la panique et la plupart voyant le troupeau arriver sur eux ne cherchèrent pas même pas à le combattre, seul comptait la fuite. Les détrakés sur leur fourche prirent de l’altitude et les autres à pied courèrent comme des dératés vers la sortie du domaine boudebarien. Les défenseurs de l’école qui se battaient depuis le débuts, commencèrent à lacher leur baguette. Il avait remportés cette manche. Epuisés, ils s’affalèrent sur le sol.
Cette fois, ils avaient gagnés.

Chapitre
Retrouvailles


Quelques agents du Desastre s’occupaient de rassembler les élèves qui avait combattu, pendant que les autres se battaient avec les rares détrakés qui voulaient rester et que d’autres agents poussaient les fuyards vers la sortie.
Des annonces retentissaient un peu partout :
« J’ai deux blessé, là ! »
« Celui-là est mort… ceux-là aussi… »
« Y’a un détraké qui fait semblant de ne plus respirer, je l’acheve ? »

Pini se pausa en douceur vers Saké, Rochelderoy et Bélial qui avançaient doucement.
Pini : Ca alors, j’y crois pas ! Monsieur Rotter, c’est bien vous ?!
Saké : Salut Weslate ! Dis t’a pas vu Teubé ?
Bélial : Tss, l’elfe de maison a filé avec Skizofrénus au début de la bataille. Le diable seul sait où ils sont allé.
Saké : Roh là là z’auraient pu m’attendre. Je parie qu’ils ont été botter les fesses de Louisus.
Pini : Monsieur Rotter euh… Sano il est pas avec vous par hasard ? ^^‘
Saké : Mais au fait qu’est-ce tu fous là toi ? T’es pas en stage ? T’es quand même pas un redoublant si ? Mwahahahaahahahh !!!
Bélial : Weslate, votre camarade Sano s’est dirigé vers les caves il y a quelques minutes. Vous devez aller le rejoindre car je n’ai aucune idée de ce qui se trame là-bas.
Pini : Compris professeur ! Répondit Pini presque au garde à vous avant de courir vers l’entrée des caves.
Saké le regarda s’éloigner.
Saké : Il a changé.
Bélial : Il a plus évolué cette dernière heure, que pendant les quatre années qu’il a passé ici. Il s’est battu d’une manière remarquable.
Saké : C’est bien, il va nous falloir des gars comme lui.
Bélial : Oui moi aussi je doute que ce soit fini. Vous avez vu les uniformes des détrakés ?
Saké : Ouai… Presque aucuns gradés… Vous avez combattu les plus faibles.

(grand silence)

Saké : Et merci mon chien, hein !!!
Bélial : Quoi, je ne vous dois rien Saké. Je maitrisais la situation.
Saké : Vous oui, mais certains de vos élèves…
Bélial et Saké étaient maintenant tout les deux à contempler le champ de ruine. La pelouse était parsemé de trou et ici et là gisaient des cadavres de Détrakés et d’élèves. La tactique de Bélial avait porté ses fruits malgré tout car il y avait eu plus de victime enemi mais chaque adolescent tué ou blessé, si peu nombreux étaient-ils, c’était quelques choses de terribles à vivre pour la directrice.
Saké : Il va falloir s’organiser. En tant qu’ancien dirlo et avec votre accord je vais prendre les choses en mains pour l’instant.
Et Saké prit la direction de l’école, laissant là Bélial car il savait qu’elle avait besoin d’être seule.

Pini : Y’a quelqu’un ?! Sano, t’es là ?
Pini était à l’entrée de l’escalier qui descendait vers les caves. Vu l’état des marches et la pénombre de l’intérieur il hésitait un peu à s’y engoufrer.
« Bouh »
Pini : Aaaaaaaaaaah !!!
Pini fit brusquement plusieurs pas en arrière et en tomba sur le cul. Devant lui le spectre de Loico était sorti de l’ombre. Derriere c’était Sano qui avait fait le « bouh ».
Sano : mwahahah ! Jt’ai bien eu, boulet.
Loico : Eh oh je suis pas ton jouet Rotter. -_-
Loico menotté magiquement par Sano était en tête du petit groupe. Derriere, Sano et Voisin portait Crayonne.
Sano : C’est bon Voisin t’a assuré de la porter avec moi jusque-là. Tout seul sur cet escalier pourri ça aurait été dangereux, tu peux te reposer.
Voisin ne se fit pas prier et s’allongea sur le sol épuisé.
Pini ne savait où donner de la tête entre son meilleur ami de retour et son pire enemi de retour aussi en fantôme.
Pini : Sa… Lo… Sa… Lo…
Sano : Salaud ? Oh bah merci pour l’acceuil. ^^‘
Pini : Nan mais… C’est c’est c’est…
Loico : « C’est c’est c’est », l’imita Loico. Bah oui j’suis un fantôme crétin, t’en a jamais vu dans ta famille de vieux bouseux ?
Sano : T’inquiete Pini, c’est mon prisonnier, il bougera pas le petit doigt. Et puis Crayonne est dans les vaps et blessé mais rien de grave. Donc…
Pini : Donc ?
Sano : Donc saute moi dans les bras, grand con ! XD
Pini : Mwahahah SANO !!! Cria t’il en lui sautant dans les bras et en l’ensserant fermement. Sano, Sano, Sano ! Sano Rotter il est de retour ! TU es de retour !!! Bordel je… oh là là là là ! Tu as vu tout ça ?! Lui dit-il en désignant le champ de bataille. C’est nous ! On les a repoussé, on a vaincu les détrakés ! Bon bien sur ton père a…
Sano : Non non, j’ai vu un peu de la bataille et je peux te dire que la victoire ne vient pas au desastre mais vraiment à vous. Vous avez été formidable, TU as été formidable. Cette façon que t’avais de voler sur ton rateau et tout, vrouuum terrible ! J’ai du retard sur le vol en rateau faudra que tu m’apprennes à voler aussi bien que toi. ^^‘
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MessageSujet: Re: Sano Rotter 5, la guerre des sorciers   Sano Rotter 5, la guerre des sorciers Icon_minitimeLun 4 Fév - 14:20

Et pendant qu’ils continuaient à se prendre pour des héros, Pini et Sano qui portaient chacun Crayonne et Voisin, suivit toujours de Loico, rejoignirent le reste des gens dans l’école.
Finalement la salle des banquets avait retrouvé son agitation d’origine, tout les gens endormis par Rochelderoy avant qu’il ne rejoigne la bataille étaient reveillé. Une bonne vingtaine de blessé étaient aligné dans le coin infirmerie et le Dr Green assisté par des medecins du Desastre s’occupait d’eux. Crayonne était donc allongé et déjà soigné. Sano et Pini ne la quittaient pas.
Dr Green : Vous croyez pas que l’endroit est assez exigu comme ça sans que deux personnes soient au chevet de la même patiente ?
Sano le regard noir : Et vous docteur, qui sera à VOTRE chevet si je m’enerve ? *.*
Le docteur Green s’éloigna rapidement…
Pini tout bas : Oh oh ^^‘ en échange des cours de vol faudra que tu m’apprennes ton regard noir.
Sano : Ca s’apprend pas, c’est naturel chez moi mwahah. Mais il avait raison, ils ont besoin de la place pour les blessés et Crayonne ira mieux très vite.
Alors ils quittèrent le coin infirmierie. La salle des banquets avaient été magiquement quelques peu aggrandi et des cloisons formaient ça et là des pièces pour ceux qui désiraient se mettre à l’écard, comme Saké et Rochelderoy.
Saké : C’est bien que tu ais pris part à la bataille.
Rochelderoy : Euh… Gregus je suis très content de vous revoir mais je ne comprend rien à ce que vous dites. ^^‘ Je n’ai pas souvenir d’avoir quitté la salle.
Saké : Mouai le pire c’est que je te crois (arrete de m’appeler Gregus crétin). Mais je sais que l’autre en toi m’entend et je lui dis… merci. Mais dans pas longtemps faudra qu’on se reparle ton double et moi.
Rochelderoy : Mon double ? Gregus je ne comprend rien à ce que vous dites. Protestait Rochelderoy qui suivait maintenant Saké hors de la petite pièce.
Après avoir jarté le professeur de stylisme gothique, Saké entra dans une autre petite salle, qui ressemblait à une salle d’interrogatoire. Le fantome de Loico était toujours attaché par les liens magiques de Sano et l’on pouvait toujours lire dans ses yeux son regard de défis. Dans la salle se trouvait aussi deux autres agents du Desastre.
Loico : Je n’ai rien à dire.
Saké : Plus rien tu veux dire. J’ai parlé avec l’élève que tu as honteusement manipulé pour qu’il t’amène Crayonne. Donc pour ce qui est de ton plan de vengeance, tu n’as rien à m’apprendre. Ce que je veux savoir petit merdeux c’est ce que tu sais des plans de ton père, dit Saké en posant ses mains de façon à prendre apuis sur la table pour fixer Loico dans les yeux.
Loico : Je n’ai pas vu mon père depuis l’année dernière…
L’amertume dans la voix de Loico ne pouvait être fausse.
Saké : Il sait que tu existes sous forme de fantôme ?
Loico : J’en sais rien. Je crois pas sinon il aurait tout fait pour me sortir de l’école.
Saké : Ah oui tu crois ça…
Saké faisait maintenant doucement les cents pas dans la salle exigu.
Loico : Oui je le crois !
Saké : Ne hausse pas le ton avec moi, petite merde ! Tu sais dans quel état est Crayonne ?! TA Crayonne soit disant bien aimée ?
Le rouge monta au joue de Loico, à cet instant il aurait voulu tuer Voisin pour avoir répété à Saké ce qu’il avait dit sur ses sentiments.
Saké : Moi je vais te le dire. Elle est allongé sur un lit, épuisé par ce que ELLE, elle a combattu pour l’école ! Cria Saké en tapant du poing sur la table. ELLE, elle a vu ses parents mourir, ELLE elle a combattu jusqu’au bout Dolldemort, ELLE elle a survécu à la confrérie des sorciers maléfiques. ET ELLE ! Elle aime le fils de celui qui a tué ses parents. J’AI tué ses parents. Est-ce pour autant qu’elle a voulu se venger ? A t’elle essayé d’attirer Sano dans un piège pour le tuer, espérant se venger de moi ? A t’elle jamais attenté à ma vie pour ce que j’ai fais ? Tu connais la réponse Loico Malofoy. Ce que tu as fais est impardonnable ! Tu as agis comme un gamin, un débile, un taré. Un raté, un looser qui n’a jamais su faire la différence entre le bien et le mal. Tu aimais Crayonne et tu detestais son copain, donc « fort logiquement » c’est elle que tu as choisi pour te venger. Ca te paraît logique ça ? Ca te paraît intelligent ? REPOND !!!
Loico : … Je… J’ai toujours voulu suivre ma propre voix et…
Saké : C’est des conneries ! Tu as voulu choisir la voix de Loico Malofoy ET celle de Louisus Malofoy un partisan des forces du mal, ton père. Tu croyais qu’il avait envoyé les détrakés pour te venger et encore une fois tu t’es planté mais pour une fois tu l’as compris tout seul. De tout les enemis qu’a connu cette école depuis ces dernieres années, tu es surement le plus débile… celui qui a fait du mal pour les plus mauvaises raisons.
Loico : Très bien… Bon je suis à votre merci hein ? Vous avez gagné la bataille contre les détrakés et l’école est sauvé pour l’instant. Je suis prisonnier ici… soit vous me laissez attacher, soit vous me liberez. Je suis mort ici je ne peux pas quitter cet endroit sinon j’en serais parti depuis longtemps. Pff… faites de moi ce que vous voulez…
Saké : « libero »
Les liens magiques de Loico disparurent.
Saké : TOI fais ce que tu veux. Crayonne est dans le coin infirmierie juste à gauche de l’entrée de la salle, elle est allongé inconsciente. Sano ne doit pas être loin et Voisin est assis avec les autres Sakédor de premier année. SI tu veux les tuer, vas y. Ah y’a aussi Pini qui doit être avec Sano je crois que tu l’aimes pas non plus, mais en même temps tu n’aimes pas grand monde dans cette école. Donc si tu veux tu peux essayer de tuer n’importe qui dans ces murs. Mais on aura tous l’œil sur toi Loico. Et tu seras pas le premier fantôme à re-mourir à Boudebar si tu fais le con. Allez maintenant dégage.
Et Loico sachant qu’il s’en tirait à bon compte, quitta la petite salle. Saké le suivit de peu et alla se pauser enfin à la table des professeurs. Rapidement il repassa en revu toute les entrevues qu’ils venaient d’avoir, surtout celle avec Voisin que je n’ai pas raconté ici.
Voisin était très heureux de revoir enfin celui qui appelait Tonton et de suite il demanda à tout hasard des nouvelles de son père.
« Ton père fait un boulot formidable. Il aura bientôt fini. » S’était contenté de répondre Saké à cette question. Puis il a ajouta à Voisin que lui même fut formidable dans les caves. Saké était très fier de lui et c’était pas peu dire. Enfin… il était fier de tout le monde. Jamais à vrai dire il n’avait été aussi fier de l’école qu’il avait dirigé toute ses années. Il contempla à nouveau la grande salle et tout ses occupants, le cœur plein de fierté et se perdit dans ses rêveries.
A la table se trouvait également Jack Daniel, Rochelderoy, le professeur Sevycious, Gwonolafée blessée à quelques endroits mais bien soigné et Bélial qui les avaient rejoins après s’être changé.
Jack Daniel : C’est scandaleux ce qui est arrivé dans les caves ! Toute nos reserve de whisky détruite !
A dire vrai le professeur de Cocktail était encore plus révolté par le sort qu’avait lancé Rochelderoy sur toute la salle pour les endormir avant d’aller prendre part au combat mais Saké et Bélial lui avait formellement interdit d’en parler.
Gwenolafée : Au contraire professeur ! Mademoiselle Badgranger et le jeune Sakdoss ont fait preuve d’un courage incroyable ! Vous rendez-vous compte, prit à parti par un fantome et par des détrakés, ils ont réussi à s’en sortir vivant.
Jack Daniel : Bah ce ne sont que des gosses, ça se remplace facilement, mais du whisky d’un age si avancé…
Cela ne l’empecha pas d’en vider un grand verre sauvé par sa reserve personnel.
Professeur Sevycious : Quand même vous auriez pu me laisser prendre part au combat. Et dire que c’est la petite Crayonne qui m’a formellement interdit de m’en meler.
Jack Daniel apres avoir avalé cul sec un quinzième verre et donc visiblement amoché : Et z’oré fai kwa ? Z’etes tro vieille et savé pa vou batre « hips ». Z’étiez + en sécurité dans vot’ bureau. Les détrakés save même po qui vou z’êtes « hips ».
Cette remarque fit taire la vieille Sevycious.
Bélial quant à elle se contentait d’une liqueur sans importance et étaient perdu dans ses pensées.
Saké : Ca va ?
Bélial : Au poil.
Saké : A ce point là…
Long silence…
Saké : Je…
Bélial : Que faisiez-vous pendant que mes élèves se faisaient tuer ?
Saké : Que, euh… je… bah j’arrivais.
Bélial : Eh bien vous êtes arrivé en retard.
Saké : Le temps de rassembler du monde tout ça… Bélial c’est pas à moi qu’il faut imputer les blesser et les morts.
Bélial : Vous nous avez abandonné pendant plusieurs mois.
Saké : Roh ça c’est un peu fort ! Alors y’a pas si longtemps vous me reprochiez de pas assez être présent aux cotés de Sano et alors que j’ai passé tout ce temps là avec lui vous me dites que je vous manquais ???
Petit silence cette fois.
Saké : Oh… donc en fait je vous manquais…
Bélial avala une gorgée de sa liqueur.
Bélial : Crétin.
Plus loin dans la salle.
Pini : Donc pendant tout ce temps là t’étais avec ton père ?
Sano : Bah oui c’était pas vraiment un secret. ^^’
Pini : Mais quand même t’a quasiment pas donné de nouvelles !
Sano : Roh Pini ! Tu sais pas tout. Nan en fait tu sais rien du tout. Mon absence était on ne peut plus normal. Bon bien sur c’est triste pour Crayonne, je sais que je lui manquais…
Pini : Bah ouai !
Sano : Mais j’avais régulièrement de ses nouvelles. ^^’ Je savais qu’elle allait bien. La seule condition que j’ai posé pour accepter cet isolement c’était d’être au courant de ses faits et gestes et de lui envoyer au moins un corbeau par mois avec une lettre. Et puis elle, au fond de son cœur, elle savait que de mon coté ça allait. Ce lien si particulier qui nous unit lui a permit de tenir tout ses longs mois sans moi.
Pini : Ouai bah t’a pas pensé à ton meilleur pote on dirait. T_T
Sano : Mais si voyons.^^ Enfin… non à vrai dire pendant les longues soirée d’hiver c’est plutôt à Crayonne que je pensais :p .
Pini répondit par une violente tape dans le dos de son camarade.
A quelques rangés de là, c’est maintenant Voisin qu’on suivait avec Kami-chan.
Kami-chan : Le fameux Sano Rotter… c’est à ça qu’il ressemble ? Ca casse pas des briques.
Voisin : C’est un héros pas un manequin. ^^
Kami-chan : Toi aussi apparement tu as joué les héros dans les caves. J’aurai bien voulu voir ça Wink. Dit-elle en levant son verre en guise de félicitation.
Voisin : Oh bah à vrai dire, tout à été tellement vite… enfin bon contrairement à toi la violence c’est pas mon truc, j’aime pas ça.
Kami-chan : Tu sais parler aux femmes toi.
Voisin : T’a combattu d’une manière incroyable.
Kami-chan : On va pas passer la soirée à se lancer des fleurs. Dis moi plutot… tu le connais depuis quand Saké Rotter ?
Voisin : Oh depuis tout petit… oups merde.
Kami-chan : C’est trop facile avec toi.
Voisin : Comment t’as deviné que je le connaissais ? -_-
Kami-chan : Tu lui a sauté dans les bras tout à l’heure… je suis de nature curieuse et l’heure n’est plus aux secrets de polichinelle, alors dis moi tout.
Et cette fois Voisin se vida entierement de ses secrets.
Il raconta à Kami-chan son enfance paisible à Bourg-la-biere avec son père adoptif et parla du secret qui entourait ses véritables origines. Les visites de Saké qui à l’époque portait une fausse barbe et se faisait appeler Gregus Grumbledore et enfin trop content de pour une fois apprendre à Kami-chan une chose qu’elle ne savait pas, il se risqua même à raconter l’aventure au saké baveur lors de son voyage au chemin de dégrisement.
Kami-chan : Le memory hole… alors les rumeurs étaient vrais… Tu dis qu’à cette époque tu ne connaissais pas ce sort. J’espere que pendant nos mois passé à Boudebar tu as enfin eu la présence d’esprit de te renseigner la dessus.
Voisin : Oui j’ai fini par demander. C’est le sort qu’a inventé Dolldemort.
Kami-chan : Dolldemort… un nom que les sorciers alcoolo auront du mal à oublier…
La discussion de Kami-chan et Voisin fut interrompu car des cris de disputes raisonnaient depuis le coin infirmierie.
« - Je vous dis que ça va, Dr Green ! J’en ai vu des pires que ça alors foutez moi la paix ! »
« - N’empêche que ce n’est pas raisonnable mademoiselle Badgranger ! Si vous voulez une visite demandez là mais s’il vous plait ne vous deplacez pas pour l’instant ! »
« - D’accord je demande une visite… SAAAAAAAANOOOOOOOOOOOOOOO !!! »
Pini hurla de rire tandis que Sano n’affichait qu’un petit sourire serein.
Pini : Elle se remet vite XD. J’aurai trop voulu voir sa tête quand elle aurait vu que tu étais de retour, mais on dirait qu’elle a déjà compris.
Sano : Quand je te disais, qu’un lien nous unissait Wink.
Et sur ces paroles il se leva de sa chaise pour se diriger vers l’infirmerie.
D’un pas qu’il se voulait le moins impatient possible en apparence, il arriva vers le rideau qu’il tira doucement.
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MessageSujet: Re: Sano Rotter 5, la guerre des sorciers   Sano Rotter 5, la guerre des sorciers Icon_minitimeLun 4 Fév - 14:30

Sano : T’en fait du boucan.
Sur son lit Crayonne avait remonté sa couette jusqu’à son menton et fit des yeux de chien battus desquel commençaient à perler quelques larmes.
Crayonne : Mon mouchou t’es reviendu…
Le mouchou en question se passa une main dans les cheveux en prenant un air de beau gosse.
Sano : Ouai je sais, je t’ai manqué blablabla… ouai j’ai fais un retour triomphale tout ça tout ça…
Un livre vola à deux centimètre de sa tête.
Crayonne : Connard ! Te la pête pas comme ton père !
Sano s’approcha à pas de chat, et grimpa sur le lit de Crayonne pour s’approcher le plus possible de son visage, ne se souciant guère du monde qui l’entouraient.
Sano : Mais tu aimes ça quand je joue les héros Wink.
Crayonne : Petit con.^^
Et enfin… ils s’embrassèrent. Un long baiser fougueux mais terriblement ereintant pour une Crayonne encore vraiment fatigué, de ce fait elle se rendormi aussitôt dans les bras de l’amour de sa vie. Sano à ce moment là ressentit la joie immense d’avoir retrouvé celle qui aimait.
Dr Green : Bon eh bien on dirait que Crayonne est rétabli. ^^’ Je vous fais apparaître une pièce à part un peu plus loin avec un lit, vous pourrez l’y déposer et faire… hum vos cochonneries là avec la langue… Mais avant laissez là dormir quand même !
Sano ne se fit pas prier et porta Crayonne en dehors. Pini qui avait suivi son camarade, retrouva son frêre lui aussi réveiller.
Pini : Je suis très fier de toi, Aoki. Tu as terrassé un détraké avec le sort ancestrale de notre famille, que même moi je sais pas utiliser.
Aoki : C’est rien comparé à toi, frangin. Tu m’as épaté sur ton rateau. ^^
Voisin de loin avait vu Sano sortir avec Crayonne dans ses bras, il ne fut pas le seule émut par cette scène car beaucoup dans la salle les suivirent du regard.
Voisin : Tu sais Kami-chan, j’ai jamais trop compris pourquoi ce Sano était si connu. Bah franchement en le voyant lui et Crayonne combattrent dans la cave, j’ai finalement compris pourquoi. Je pense qu’ils sont d’un niveau supérieur à tout les élèves de Boudebar.
Kami-chan : Surement. Mais ce sont bien tout les élèves de Boudebar qui devront se surpasser pour la suite de la bataille. On est enfermé dans cette salle, car les recoins sombres du château ne sont pas sur du tout. La plaine et le bois j’en parle même pas , ça doit grouiller d’espion. Et nul doute que depuis son hopital Louisus Malofoy nous osberve.
Oh oui il les observe actuellement et il a la rage.


Et maintenant un peu de texte neuf.

Chapitre
Rapide aperçu de l’intrusion dans l’hopital pikatrique.


Louisus : Le desastre… ce ramassit de pseudo héros à la mort moi le noeux… le desastre!!!
Au départ c’était une affaire privé, moi, mes détrakés et le ministère de la beuverie contre des enfants et quelques professeurs. Bref un combat tout ce qu’il y avait de plus loyal. Alors le desastre, ça non c’est dla triche ! Qu’on prepare la seconde vague de mon armée !
Sbire : Maitre, c’est un peu le foutoir en bas…
Louisus : Comme d’habitude oui et alors ?
Sbire : Et alors il semblerait que deux personnes non identifié se soient introduit dans l’hopital… à n’en pas douter l’un d’eux aurait une arme en forme de clef permettant d’enfoncer toute les portes et l’autre à l’air de bien connaître les lieux…
Louisus : Que… alors des enemis s’incruste et je suis le dernier au courant ? Hum… à entendre leur description, je ne vois que Teubé Brindille et… hum Cédricus Skizofrénus… Les idiots ! Apportez moi leur tête illico presto !
Sbire : Eh bien quand je vous dis que c’est le bazar c’est que (vous allez pas être content) la plupart des patiens ont été liberé de leur chambre, même les plus instables et les plus dangereux.
Louisus : Quoi ?! Que ces deux crétins aient pu s’introduire ici dans la pagaille et y foutre le bordel, je n’ose y croire !
Sbire : Non maitre ne vous dirigez pas vers la porte, c’est trop dangereux. Il vaut mieux rester dans votre tour, elle est suffisament protegé il ne vous arrivera rien ici.
Louisus : Mais c’est pas possible ça ! J’aurai jamais pensé que ces deux idiots aient pu s’introduire dans l’hopital, ça faisait pas du tout parti du plan que j’avais pas conçu ><. Les détrakés s’en occupent j’espere ?
Sbire : Il est difficile de savoir ce qui se passe dans les étages inférieure maitre. De plus la libération des patients est peut être une diversion. Peut être ont-ils autre chose en tête.
Louisus : Je croyais justement qu’ils n’avaient rien dans la tête ces deux là. M’enfin je fais confiance à mes troupes. Quoi qu’ils en soient, que la deuxième vague de l’armée se prépare !
Plus bas dans l’édifice…
Teubé : M’enfin jte faisais confiance moi ! Tu me demandes de te suivre avec ma clef magique, ok. T’as un truc particulier à faire ici, ok. On s’introduira en douce, ok. Sauf que…
Cédricus : Sauf que je pensais pas que les détrakés qui attaquaient l’école reviendraient aussi vite.
Rapide résumé du périple de Teubé et Cédricus.
Durant la bataille ils se sont introduit en douce dans le parc de l’hopital pikatrik situé à quelques centaines de mêtre de Boudebar. Teubé ayant avec lui sa clef magique Keyblade, il put ouvrir les grilles et défaire les quelques protection magiques qui empechaient les importun de penetrer dans l’enceinte de l’établissement. Les quelques gardes présent ne posèrent pas de probleme à Cédricus qui put les endormir avant que l’alarme ne soit sonné.
Cédricus connaissant parfaitement les lieux guida Teubé à l’intérieur directement vers les dortoirs ou logeaient les patiens parmis lesquelles, des gens innocent enfermés sur ordre du ministère ou par Louisus mais aussi parmis eux se trouvaient des vrais foux qui pour la sécurité de tous étaient bien mieux enfermés. Quelques dortoirs furent ouvert, libérant ainsi les sorciers fous semant la panique dans l’hopital. Les détrakés en service n’étaient pas assez nombreux, la plupart d’entre eux étant mobilisé pour la guerre. Dans cette pagaille Teubé et Cédricus essayaient tant bien que mal d’avancer vers leur objectif. Mais les détrakés qui avaient chassé de l’école par le desastre venaient de rentrer au bercaille et comme si la bataille qu’ils venaient de mener n’avait pas suffit il se retrouvèrent au milieu d’une mutinerie de patients.
Cédricus et Teubé prit entre deux feux avaient du se cacher dans un coin.
Teubé : On dirait que l’attaque de l’école a prit fin, je serais d’avis de retourner à Boudebar. ^^’
Cédricus : Le chemin de la sortie me parait plus dangereux maintenant que celui qui nous menera à notre objectif.
Teubé : Putain, quel plan de merde !
Cédricus : Tu veux du lexomilus pour encaisser le choc ? ^^’
Teubé : Rentre toi ta baguette où je pense !
Cédricus : Chut !
Deux silhouettes s’approchaient de leur cachette. Plus précisement, deux silhouettes de détrakés.
Teubé : Me dit pas que y’a deux détrakés qui s’approchent. ^^’
« Bouh »
Teubé : Bwaaaaaaah !
« Silence ! »
Ce n’était pas deux détrakés qui avaient découvert Teubé et Cédricus dans leur petite cachette, mais un patien, que reconnu Cédricus.
Cédricus : Psykotis ! L’heure n’est pas au retrouvaille sinon jme jetterai à ton cou ! ^^
Ce Psykotis était un patien de longue date de l’hopital psykatrik il était vetu d’une simple tenu de l’hopital.
Cédricus : Teubé je te présente Psykotis, mon compagnon de chambre quand… j’étais là par erreur… hem enfin je t’ai déjà parlé de lui.
Teubé : Gue gue… enchanté Psykotis…
Psykotis : Enchanté ! ^^ Je suppose que vous devez être le fameux Teubé. Cédricus me parlait tellement de vous à l’époque que j’ai du tenter de me suicider quatre fois pour qu’il arrete. Oh et puis bien sur, moi aussi je suis là par erreur…
Cédricus : Oui c’est clair que tuer trois boidelos et se ballader en slip en trimballant leur cadavre dans les rues du chemin de dégrisement, c’était une erreur… hum mais bref.
Psykotis : Qu’est-ce qui vous amène ici ? T’as vu c’est la pagaille. ^^
Cédricus : Ouai chez nous aussi c’est le bordel on fait la guerre. ^^
Psykotis : Oh génial. ^^ Bah quoi que tu fasses je t’accompagne !
Teubé tout bas : Euh lui c’est un vrai fou jme trompe ? T’es sur que c’est une bonne idée de se le trimballer ?
Cédricus : C’est un vrai fou mais il est très fort, plus que nous deux réunis alors il nous sera utile.
Et dans la pagaille général des fous libéré dans l’hopital et des détrakés tentant de combattre cette rebellion, Cédricus, Teubé et maintenant Psykotis continuèrent leur périple.


Dernière édition par le Lun 4 Fév - 14:42, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Sano Rotter 5, la guerre des sorciers   Sano Rotter 5, la guerre des sorciers Icon_minitimeLun 4 Fév - 14:40

Chapitre.

« Saké ! »
Saké : Queuuuh kwa kwa ?!
Bélial : Vous dormiez ?
Saké : Nan je méditais en renflant, répondit Saké en se frottant les yeux.
Bélial : Je sais qu’il nous faut garder nos forces mais quand même.
Saké : Je vois que vous allez mieux en tout cas.
Bélial : Oui je ne vais pas m’accabler eternellement sur quelques blessés et morts. Dites moi, je pensais aller m’entretenir un instant avec Rochelderoy à propos de son étrange conduite de tout à l’heure. Vous venez avec moi ?
Saké : Pas la peine je lui ai déjà parlé et il a tout oublié.
Bélial : Hum c’est que l’autre désire rester encore caché en lui.
Saké : Ouai bah elle se cachera pas longtemps la Dolldemort !
Bélial : Moins fort… vous voulez semer la panique ou quoi ?
Saké : Tout le monde sera au courant tout ou tard de toute façon.
Bélial : Et donc que fait-elle ici ?
Saké : Vous savez comme moi que la mort de Dolldemort dans la salle caché d’Aroma Vinaigre c’était pas crédible. Elle avait emmagasiné l’énergie de Sano et je suis certains qu’elle avait prévu une sortie de secours en cas de pépin. Pendant toute ces années où elle est resté caché elle avait eu le temps de penser à tout. Donc je pense qu’elle avait trouvé un moyen de dissimuler son âme dans le corps de quelqu’un d’autre, si le sien venait à disparaître.
Bélial : Oui mais en l’occurrence, il n’a pas disparu, elle se l’est faite voler par la Doll Squirel qu’elle avait inventé de toute pièce.
Saké : Ouaip et du coup elle s’est planqué ailleurs. Le fait de choisir Rochelderoy n’est pas anodin, c’est le plus con ! Et comme ça elle avait toujours un pied dans la place.
Bélial : De toute évidence, nous n’avons pas les moyens de la faire sortir de ce corps d’emprunt.
Saké : Si moi j’ai un moyen, mais jvous en parlerai plus tard.
Bélial : sigh, encore des mystères… Vous pensez qu’elle a un plan quelconque contre nous ?
Saké : Possible… en tout cas l’attaque des détrakés n’était pas à son programme. Sinon elle ne serait pas intervenu en notre faveur en venant combattre à nos cotés.
Bélial : Dans le doute, je vais faire enfermer Rochelderoy.
Saké : Pas la peine, j’ai deux agents qui le surveille de loin et j’ai moi-même toujours un œil sur lui. Il enfin plutot elle ne pourra pas bouger le petit doigt sans qu’on s’en rende compte. Et pour l’instant elle n’a pas l’air de vouloir nous parler directement.
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MessageSujet: Re: Sano Rotter 5, la guerre des sorciers   Sano Rotter 5, la guerre des sorciers Icon_minitimeLun 4 Fév - 17:56

Ca faire plaisir de relire ce que j'ai déjà lu et de découvrir un nouveau chapitre !!!
Sano Rotter 5, la guerre des sorciers 273t
Je suis sûre que Psykotis va leur faire un coup de p**e parce que c'est un vrai fou completement imprévisible.
La deuxième vague va être lancée sur Boudebar, je ne veux manquer ça sous aucun pretexte.
Louisus va t-il enfin oser se bouger le derche et se battre lui aussi ?
Et puis bon, Rochelderoy quoi ! Je veux le voir se battre, même si ce n'est pas vraiment lui...
Sano Rotter 5, la guerre des sorciers 273p
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MessageSujet: Re: Sano Rotter 5, la guerre des sorciers   Sano Rotter 5, la guerre des sorciers Icon_minitimeLun 4 Fév - 19:54

aaaaaaaahh c'est pour ça qu'il a un comportement trop bizarre le Rochelderoy, je comprenais pas lol
trop drole Psykotis XD
ah ça fait du bien!! Sano Rotter 5, la guerre des sorciers 514
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MessageSujet: Re: Sano Rotter 5, la guerre des sorciers   Sano Rotter 5, la guerre des sorciers Icon_minitimeMer 6 Fév - 18:05

Toi aussi tu trouve ?
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MessageSujet: Re: Sano Rotter 5, la guerre des sorciers   Sano Rotter 5, la guerre des sorciers Icon_minitimeSam 16 Fév - 16:21

Bélial : Bon… Sinon j’ai suivi vos instructions j’ai activé toute les porte-à-perpette les plus sur de l’école.
Saké : Les plus sur hein ? Je vous ai bien dit que le ministère les feraient surveiller et que si des élèves se font choper en train de s’enfuir ça sera fini pour eux.
Bélial : Les plus sur j’ai dis. Malheureusement ça en réduit le nombre à trois. J’ai donc fais trois groupes de jeunes élèves et de blessés n’étant pas apte à combattre qui pourront sortir de l’école. Par sécurité chaque porte devra être gardé par au moins deux personnes aptes à les proteger en cas de pépins. Une fois tout ce ptit monde évacué on pourra se concentrer sur le combat. Un combat… à mort qui sait.
Saké : D’accord vous pouvez commencer doucement l’évacuation, par petits groupes d’abord pour ne pas attirer l’attention. Il sera plus sage d’évacuer le plus de gens pendant la prochaine bataille, là où les efforts de nos enemis seront concentré sur nous. Et vous allez ouvrir trois porte-à-perpette suplémentaire s’il vous plait.
Bélial : Ah non trop dangereux !
Saké : Du calme :p. Ces trois là ne seront pas pour sortir mais pour entrer.
Bélial : Il y aura d’autres renforts alors ? j’avou que cela ne me déplait pas.
Saké : Ouai et puis personnes ne peut surveiller les entrés de porte-à-perpette contrairement aux sorties alors autant en profiter. Faite donner l’ordre d’ouverture tout de suite je pense que quelques renforts sont déjà prêt à nous rejoindre, même si j’ignore leur nombre.
Bélial : Et qui avez-vous pu rallier à notre cause ?
Saké : C’est simple ! Qui d’autres que des Boudebariens peuvent défendre Boudebar ! J’ai envoyé des corbeaux en masses à d’anciens élèves, parents d’élèves, élèves en stages et autres. Vous devez pas être sans savoir que depuis quelques temps Boudebar passe pour être la cachette de Dolldemort donc on a mauvaise réputation et le ministère se sert de ça pour nous discrediter mais j’ose quand même esperer que quelques dizaines de personnes répondent à mon appel.
Bélial : Uh uh, à votre appel ? Vous auriez dû me laisser faire cet appel, j’ai bien plus de crédit que vous auprès des gens. ^^
Salé : -_-
Bélial : Pardon. ^^’
Saké : Non mais jsuis en train de tous vous entrainer dans une bataille monumentale mais… même si on gagne… Je veux dire qu’est-ce qu’on va faire après ? ^^’
Bélial : Ah oui bah si on bat les détrakés, le ministère de la beuverie va envoyer l’armée contre nous et on sera tous arreté et enfermé.
Saké : C’est ça le problème ! C’est pas parce qu’on gagne une bataille qu’on gagne une guerre !
Bélial : Je plaisante Saké. Si on gagne cette bataille on livre Dolldemort à la justice et tout rentrera dans l’ordre.
Saké : Euh la livrer…
Bélial : Quoi ça vous pose un problème ?
Saké : C’est que… c’est plus compliqué que ça. ^^’
« On a qu’à la livrer maintenant ! »
Pini venait de rejoindre Saké et Bélial à leur table.
Saké : Que… Weslate comment t’as fait pour nous entendre, j’ai lancé un sort de « discretion » pour qu’on puisse discuter à l’abris des oreilles indiscrêtes comme les tiennes !
Pini : Teubé m’a apprit le sort « commérage et langue de pute » pour contrer ce genre de sort. Monsieur Rotter j’ai pas entendu le début de votre conversation mais si Dolldemort est ici on va la débusquer et la livrer ! dit-il en sortant sa baguette.
Saké : Ouai bah c’est justement parce que t’a pas entendu le début de la discussion que tu dis cette anerie ! Et puis on t’a pas sonné d’abord !
Bélial : Jeune Weslate, livrer Dolldemort maintenant ne servira à rien. Ce que veut Louisus c’est tous nous abattre. Dolldemort n’a pour lui aucun interêt. Si on lui livre il l’a fera disparaître et continuera à nous attaquer.
Pini : Bah on a qu’a la faire sortir en douce et l’amener directement au ministère. Comme ça ils donneront l’ordre à Louisus de tout arreter !
Saké : C’est nous qu’ils vont arreter après. L’école va être accusé de l’avoir caché déliberement.
Pini : Mais vous êtes le général du DESASTRE ou pas ? Vous ils vous écouteront. Surtout que Dolldemort a tué votre femme alors…
Saké entra dans une colère noire et se leva brusquement.
Saké : Ne met pas ça sur le tapis sale con ! Jte dis que ça te regarde pas alors casse toi au fond de la sale et ne nous espionne plus sinon jte fais arreter !!!
Pini : Pff…
Et Pini s’éloigna.
Bélial : Il est plein de bonne volonté mais il ne comprend pas les enjeux de tout ça. Il est jeune pardonnez-le.
Saké : Le pardon c’est une chose que j’ai oublié quand Whiskyky est morte.
Et Saké se leva lui aussi pour s’isoler un peu.
Bélial : Et moi je retrouve toute seule…

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MessageSujet: Re: Sano Rotter 5, la guerre des sorciers   Sano Rotter 5, la guerre des sorciers Icon_minitimeSam 16 Fév - 16:44

Up! j'ai édité le message entre temps pour rajouter la fin du chapitre.
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MessageSujet: Re: Sano Rotter 5, la guerre des sorciers   Sano Rotter 5, la guerre des sorciers Icon_minitimeSam 16 Fév - 17:00

la situation m'a l'air un peu désespérée je vois pas comment ils vont réussir à s'en sortir mais j'ai hâte de voir si les renforts vont arriver et ce qui va se passer.
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MessageSujet: Re: Sano Rotter 5, la guerre des sorciers   Sano Rotter 5, la guerre des sorciers Icon_minitimeSam 16 Fév - 17:23

Citation :
Teubé m’a apprit le sort « commérage et langue de pute »

Ca c'est du sortilège super pratique ^^;
Avec un nom pareil, tout le monde veut le connaître !!!!
OUI !!! Pini à de plus en plus la classe décidément et mûrit de plus plus durant ce dernier tome...
Et puis Saké, quoi !!!
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MessageSujet: Re: Sano Rotter 5, la guerre des sorciers   Sano Rotter 5, la guerre des sorciers Icon_minitimeSam 16 Fév - 17:27

Oui je voulais montrer que Pini était capable de déjouer un sortilège de Saké. Meme un ptit truc comme ça, ça fait classe. Mais attention ! Rappelez-vous que notre cher péruvien ne sait MEME PAS ENCORE que Bavouille est mort !
Imaginez sa réaction quand il l'apprendra...
Bon là j'ai arreté je stagne un peu...
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MessageSujet: Re: Sano Rotter 5, la guerre des sorciers   Sano Rotter 5, la guerre des sorciers Icon_minitimeSam 16 Fév - 17:40

J'y ai mis le temps à le lire mais j'ai bien fait. Enfin le nouvel opus de Sano Rotter que j'avais pas lu (je dois être la dernière à le lire ^^').

J'adore trop !!!! Je me doutais qu'y avais un truc avec Rochelderoy mais pas qu'il servait d'hôte à Dolldemort Sano Rotter 5, la guerre des sorciers 143
Et pis, j'ai pas très bien compris les liens qui rapproche Voisin et Saké ^^'

Vite, la suite, la suite ^^ (je suis chiante je sais Sano Rotter 5, la guerre des sorciers 62ga )
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MessageSujet: Re: Sano Rotter 5, la guerre des sorciers   Sano Rotter 5, la guerre des sorciers Icon_minitimeSam 16 Fév - 17:47

d'après ce que jme souviens c'est Saké qui a confié Voisin à Bourbon Sacdoss et il leur rendait souvent visite. Voisin sait que Saké fait parti du désastre.
et non ya encore linda qui n'a pas lu le 5 je crois.
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MessageSujet: Re: Sano Rotter 5, la guerre des sorciers   Sano Rotter 5, la guerre des sorciers Icon_minitimeSam 16 Fév - 17:51

C'est vrai, Pini n'est pas encore au courant de la mort de son cher escargot de péruvie.
J'veux même pas y penser, le pauvre...
Ca fait vraiment du bien de lire du Sano Rotter. Une vraie drogue j'vous dit !!!
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MessageSujet: Re: Sano Rotter 5, la guerre des sorciers   Sano Rotter 5, la guerre des sorciers Icon_minitime

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